143 resultados para Coran 3 :55 et 4:157
em Université de Lausanne, Switzerland
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Aggregating fetal liver cell cultures were tested for their ability to metabolize xenobiotics using ethoxycoumarin-O-deethylase (ECOD), as marker of phase I metabolism, and glutathione S-transferase (GST), as marker for phase II reactions. Significant basal activities, stable over 14 days in culture were measured for both ECOD and GST activities. The prototype cytochrome P450 inducers, 3-methylcholanthrene (3-MC) and phenobarbital (PB), increased ECOD and GST activities reaching an optimum 7 days after culturing, followed by a decline in activity. This decline was partially prevented by 1% dimethyl sulfoxide (DMSO) added chronically to the culture medium. DMSO was also found to induce ECOD activity and to a lesser extent GST activity. Furthermore, it potentiated in a dose-dependent manner the induction of ECOD by PB. The food-borne carcinogen 2-amino-3,8-dimethylimidazo[4,5-f]quinoxaline (MeIQx) is metabolically transformed through a number of pathways in vivo. It was therefore used to examine the metabolic capacity in fetal and adult liver cell aggregates. Metabolism of MeIQx was mainly through N2-conjugation, resulting in formation of the N2-glucuronide and sulfamate conjugates for non-induced fetal liver cells. These metabolites were also found in large amounts in non-induced adult liver cells. Low levels of cytochrome P450-mediated ring-hydroxylated metabolites were detected in both non-induced fetal and adult liver cells. After induction with arochlor (PCB) or 3-MC, the major pathway was ring-hydroxylation (cytochrome P450 dependent), followed by conjugation to beta-glucuronic or sulfuric acid. The presence of the glucuronide conjugate of N-hydroxy-MeIQx, a mutagenic metabolite, suggested an induction of P450 CYP1A2. The metabolism of MeIQx by liver cell aggregates is very similar to that observed in vivo and suggests that aggregating liver cell cultures are a useful model for in vitro metabolic studies in toxicology.
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A preparation of organic working standards for the online measurement of C-13/C-12 and O-18/O-16 ratios in biological material is presented. The organic working standards are simple and inexpensive C-3 and C-4 carbohydrates ( sugars or cellulose) from distinct geographic origin, including white sugar, toilet and XEROX papers from Switzerland, maize from Ivory Coast, cane sugar from Brazil, papyrus from Egypt, and the core of the stem of a Cyperus papyrus plant from Kenya. These photosynthetic products were compared with International Atomic Energy standards CH-3 and CH-6 and other calibration materials. The presented working standards cover a 15 parts per thousand range of C-13/C-12 ratios and 9 parts per thousand for O-18/O-16, with a precision < +/- 0.2 parts per thousand for n > 10.
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Une cohorte de 6477 nouveau-nés de mères résidant dans le Canton du Vaud a été recrutée pendant une année (1993-1994) dans les 18 maternités vaudoises et celle de Châtel-St-Denis. L'objectif de l'étude EDEN (Etude du DEveloppement des Nouveau-nés) est de calculer l'incidence et la prévalence des affections chroniques de toute étiologie et pour toutes les catégories de poids de naissance, à 18 mois et à 4 ans. Ce rapport présente la méthode de l'étude et l'état de santé à la naissance. Cinq critères de sélection non exclusifs ont permis de cibler un groupe de nouveau-nés à haut risque de développer une affection chronique (12% des nouveau-nés, n=760): (1) le petit poids de naissance (n=408, 6.5% des naissances vivantes); (2) une malformation congénitale ou une maladie génétique (n=157, 2.4% des naissances vivantes); (3) une affection susceptible de devenir chronique liée à une utilisation importante des services de soins au cours de la petite enfance (n=61, 0.9% des naissances vivantes); (4) le transfert aux soins intensifs (n=287, 4.4% des naissances vivantes); (5) des difficultés sociales importantes (n=105, 1.6% des naissances vivantes). Le taux d'acceptation de l'étude par les parents est bon (90%). En tout 5.9% des enfants étaient prématurés et 2.2 pour mille sont décédés à < ou = à 7 jours de vie. Selon les indicateurs à disposition, le réseau vaudois répond efficacement aux besoins en soins obstétricaux et néonatals La durée moyenne du séjour hospitalier était de 7 jours, avec des variations importantes. L'influence néfaste du tabagisme pendant la grossesse se manifeste par un doublement du risque de poids de naissance < ou = à 2500g chez les fumeuses; 24% des femmes ont fumé pendant leur grossesse, pour les trois quarts jusqu'à l'accouchement. Un grand potentiel de prévention subsiste dans ce domaine. L'examen des enfants à 18 mois, terminé fin mai 1996, ainsi que celui des 4 ans, permettront de valider les critères de sélection à la naissance comme indicateurs précoces de problèmes de santé chroniques dans la petite enfance. Les nouveaux cas d'affection chronique seront alors signalés par les pédiatres et les médecins spécialistes. [Auteurs, p. 9]
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Introduction. - En Suisse, la prescription de produits biologiqueschez les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde (PR) n'est nilimitée à des centres hospitaliers de rhumatologie, ni soumise à desdirectives strictes éditées par les autorités sanitaires sur le type oule nombre de traitements de fond préalables. La notion d'échec auxtraitements de fond n'est pas non plus précisément définie, et enparticulier l'activité de la maladie ne doit pas répondre à des critèresstricts, notamment en terme de valeurs de DAS, et ce contrairementà de nombreux autres pays où l'impact de ces restrictions aété publié récemment (1, 2).Le registre SCQM peut être considéré comme un bon reflet de lapopulation suisse avec PR, aussi bien pour la population suivie pardes centres hospitaliers que par les practiciens en cabinet privé, eton estime qu'environ 30 % des patients avec PR recevant des traitementsbiologiques en Suisse sont inclus dans ce registre.L'objectif primaire de cette étude est de comparer les caractéristiquesdes patients de notre registre à l'initiation et après un an de traitementbiologique avec celles de registres du même type dans des pays avecun accès plus restreint aux traitements biologiques. Les objectifssecondaires sont de comparer les patients traités en milieu hospitalieret ceux pris en charge en cabinet privé, et aussi d'examiner s'il existedes tendances temporelles (avant et après 2005).Patients et Méthodes. - Les données sont extraites du registre suissede PR (SCQM) qui comprend 4 500 patients inclus entre 1997 et2011. 2 715 patients bénéficient d'un traitement biologique, dont2 427 avec des données à l'introduction du traitement : DAS28/VS,DAS28/CRP, HAQ, durée de la maladie, nbre de tttt préalables, comorbidités,etc. Les principales données démographiques sont : âgemoyen 55 ans, 77 % de femmes 72 % FR+, médecins prescripteurs :62 % en cabinet, 21 % en centre hospitaliers et 16 % en centres universitaires.Nous avons calculés les moyennes (+/- écart type) pourdifférents paramètres de l'activité de la maladie.Résultats. - La moyenne du DAS28/VS à l'introduction du traitement(4,4 +/- 1,3) est nettement inférieur aux valeurs publiées pard'autres registres européens ou canadien (5,3 < > 6,6 ; 1,2). Il en ende même pour le HAQ (1 versus 1,4). Les biologiques sont introduitsaprès en moyenne 1,1 +/- 1 DMARD préalable contre > 3 en Suède,au Danemark ou au Canada.Les caractéristiques démographiques, le degré d'activité et les traitementsprodigués sont similaires entre les patients traités encabinet privé ou en milieu hospitalier, hormis pour une proportionmoindre de traitements iv en cabinet (20 % versus 40 %). Après2005, les traitements biologiques sont introduits beaucoup plusprécocemment, avec une durée médiane de maladie avant l'introductionde thérapies biologiques diminuant de 96 à 51 mois. Onnote également une répartition entre les divers produits biologiquesqui se diversifie. Même si les traitements sont introduits à undegré d'activité similaire (DAS28/VS moyen à 4,4 +/- 1,3) onobserve de meilleurs résultats à 1 an avec un DAS moyen à 1 an :3,5 +/- 1,4 avant 2005 contre 3,1 +/- 1,3 après 2005 (p = 0.0001).Conclusion. - Les données du registre suisse des PR (SCQM) suggèrentque, en l'absence de critères restrictifs d'accès aux traitements biologiques,ceux-ci sont prescrits à des scores d'activité de la maladie(DAS et HAQ) inférieurs, et plus précocemement en terme de nombrede DMARD préalables. Cette tendance se confirme dans le temps, etse retrouve aussi bien en milieu hospitalier qu'en cabinet.En terme de résultats, après 2005, plus de 50 % des patients atteignentun bas degré d'activité de la maladie en terme de DAS aprèsun an de traitement, chiffre qui semble justifier ce type de systèmepeu restrictif favorisant certainement une approche thérapeutiqueplus proche des nouveaux paragidmes de traitement avec une stratégiede type « treat to target ».Références[1] Curtis J R et al. Semin Arthritis Rheum. 40:2-14,2009.[2] Pease C, Pope JE, Truong D et al. Semin Arthritis Rheum, December2010.
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Introduction Quatre génotypes pathogènes de l'hépatite E (HEV) sont actuellement connus. Ils présentent des caractéristiques épidémiologiques différentes. Les génotypes 1 et 2 infectent uniquement l'homme et sont à l'origine d'épidémies dans des pays en voie de développement. Les génotypes 3 et 4 se présentent sous forme de zoonose, endémiques chez des cochons et autres mammifères dans des pays industrialisés. Ces derniers génotypes sont à l'origine de cas sporadiques d'hépatite E autochtones. La majorité des tests de sérologie actuellement commercialisés se basent sur des virus de génotype 1 et 2. Le bénéfice de l'utilisation d'un test sérologique basé sur le génotype 3 dans des pays industrialisés n'a pas été étudié jusqu'à présent. Dans cette étude, les performances de tests sérologiques basés sur des antigènes de plusieurs génotypes de l'HEV ont été comparées. Méthode Les tests ont été appliqués à deux populations distinctes: une population de 20 patients, chez qui une infection aiguë d'hépatite E, génotype 3, a été documentée par PCR sanguine, et une population de 550 donneurs de sang de la région de Lausanne. Le dépistage des IgGs anti-HEV a été effectué dans le sérum des deux populations par trois «Enzyme Immuno Assays» (EIA) à savoir MP Diagnostics, Dia.Pro et Fortress. Les échantillons positifs avec au moins un des EIA ont été testés par un «Immunodot Assay», le recomLine HEV IgG/IgM. Tous les EIA sont basés sur des antigènes des génotypes 1 et 2, alors que l'immunodot se base sur des antigènes des génotypes 1 et 3. Résultats Tous les échantillons des cas d'hépatite E documentés et 124 sur 550 échantillons des donneurs de sang étaient positifs avec au moins un des tests sérologique. Parmi les cas confirmés par PCR, 45 %, 65 %, 95 % et 55 % étaient respectivement positifs avec le test de MP Diagnostics, Dia.Pro, Fortress et recomLine. Parmi les échantillons positifs des donneurs de sang avec au moins un des tests, 120/124 (97 %) étaient positifs avec le test Fortress, 19/124 (15 %) étaient positifs avec tous les EIA et 51/124 (41 %) étaient positifs avec le recomLine. Parmi les cas d'hépatite E confirmés, 11/20 (55 %) étaient positifs avec le recomLine et parmi ceux-ci, une réactivité plus forte pour le génotype 3 était observée dans 1/11 (9 %) et une réactivité identique dans 5/11 (45.5 %) cas. Conclusions Même si le recomLine contient des protéines dérivées de l'HEV génotype 3, sa sensibilité est inférieure à l'EIA de Fortress dans les cas d'hépatite E aiguë de génotype 3. De plus, chez environ 45 % des patients, le recomLine ne parvient pas à identifier une infection comme étant causé par un virus du génotype 3. Dans la population de donneurs de sang, nous avons observe de grandes variations dans les séroprévalences mesurées, allant de 4.2 % à 21.8 % selon les tests sérologiques employés.
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[Table des matières] Introduction. 2 Stratégies de prévention dans d'autres régions. 3. Australie (Australian Better Health Initiative 2006-2010). 4. Royaume-Uni. 5. Suisse. 5.1 En résumé ... 5.2 Vers une loi fédérale (?) 5.3 Suisse : synopsis. 6. Saint-Gall. 6.1 Poids corporel sain pour les enfants. 6.2 Santé au travail. 6.3 Dépendances. 6.4 Prévention et promotion de la santé dans les communes. 6.5 Saint-Gall : synopsis. 7. Valais. 8. Tessin. 8.1 Canton du Tessin : Synopsis I (programme général). 8.2 Canton du Tessin : Synopsis II (activités en cours). Annexe 1 : 21 buts de santé pour la Suisse (Santé Publique Suisse). Annexe 2 : 7 thèses sur la nouvelle réglementation de la prévention et de la promotion de la santé en Suisse (Office fédéral de la santé publique).
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Résumé: Introduction : L'utilisation de méthodes endoscopiques peu invasives est en constante augmentation pour le traitement des lésions tumorales précoces de l'oesophage. Le but du traitement comprend l'éradication complète de tous les foyers de dysplasie ou de carcinome in situ, notamment dans les métaplasies intestinales de l'oesophage de Barrett, qui peuvent dégénérer en adénocarcinome. Plusieurs techniques d'ablation de la muqueuse oesophagienne (laser, argon plasma, electrocoagulation, photothérapie dynamique, résection endoscopique) ont été utilisées jusqu'à présent, mais aucune n'a vraiment donné entière satisfaction. Les techniques actuelles de résections endoscopiques par fibroscopie sont entre autres limitées par le grand nombre de séances nécessaires à l'éradication complète de la lésion et par la petite taille des fragments de muqueuse obtenus, ce qui rend l'analyse histologique difficile. Dans notre étude animale, nous avons évalué la faisabilité, l'efficacité et la sécurité d'une méthode de résection endoscopique à l'aide d'un nouvel oesophagoscope rigide. Matériel et méthode : Le résectoscope est formé d'un oesophagoscope rigide avec une fenêtre distale transparente à travers laquelle la muqueuse et une partie de la sous-muqueuse sont aspirées et ensuite réséquées avec une anse thermique. Les diverses fenêtres utilisées ont une taille comprise entre 2.2 et 4.4 cm. Le mouton a été choisi en raison de la ressemblance de son oesophage avec celui de l'humain en ce qui concerne l'épaisseur de son oesophage et sa structure histologique. Nous avons effectué 55 résections hémi-circonférentielles sur 21 animaux et 11 résections circonférentielles sur 11 autres. La Mitomycine-C, une substance qui inhibe la prolifération fibroblastique, a été utilisée dans 8 résections circonférentielles à différents intervalles de temps afin d'empêcher la survenue de sténoses oesophagiennes. Résultats : Toutes les résections hémi-circonférentielles ont permis d'obtenir des fragments compacts de tissu avec des bords nets, ce qui permet une excellente étude histologique. La surface du tissu prélevé était en corrélation avec la taille de la fenêtre du resectoscope. Nous avons ainsi pu obtenir des fragments avec des dimensions comprises entre 6 et 12 cm2. Pour les résections circonférentielles, les tissus étaient obtenus en 2 parties, en inversant de 180° la position de l'appareil. La profondeur de la résection a été optimale dans 58 cas sur 65 avec une découpe précise au niveau de la sous-muqueuse sans lésion de la couche musculaire sous- jacente. Il n'y a pas eu de complications après les résections hémi-circonférentielles. Les complications engendrées par les résections circonférentielles (sténose, perforation) n'ont plus été rencontrées après application locale de Mitomycine-C administrée à des intervalles de temps bien précis. Conclusion : Notre méthode de résection endoscopique de la muqueuse oesophagienne offre une nouvelle approche très prometteuse par rapport aux options déjà disponibles. Elle apparaît supérieure en ce qui concerne la taille de tissu prélevé, la précision et régularité de la profondeur de résection, ainsi que la facilité et sûreté du diagnostic histologique et des marges de sécurité. Les résections hémi-circonférentielles se sont révélées sûres chez le modèle animal. Cette nouvelle technique mérite de plus amples investigations pour les résections circonférentielles avant son utilisation chez l'humain. Abstract: Background and Study Aims: We undertook this retrospective study to evaluate the frequency and prognosis of endoscopic treatment of laterally spreading tumors (LSTs) in the rectum. The recurrence rate for lesions of the lower rectum was compared with that of the upper rectum. Patients and Methods: During the period from July 1989 to June 2002, a total of 1237 rectal tumors were detected. LSTs accounted for 6.9% (85/1237) of all rectal tumors. A total of 224 tumors of the lower rectum were detected among the 1237 rectal tumors. LSTs accounted for 16.1 % (36/224) of all the lower rectal tumors. From 85 LST lesions, 67 were evaluated for their prognosis after endoscopic mucosal resection (EMR). Patients whose LSTs had been resected were followed up by endoscopy at the following frequencies: once 15 (22.4%); twice (more than 1 year), 20 (29.9%); three times (more than 3 years), 21(31.3%); and four times or more (more than 5 years), 11 (16.4%). Results: A total of 67 patients with endoscopically treated LSTs were followed up by endoscopy. We observed recurrences in two lesions of the upper rectum (2/38, 5.3%) and five lesions of the lower rectum (5/29, 17.2%) (P = 0.2364); all seven lesions were resected piecemeal. LSTs whose horizontal margin reached the pectinate line frequently recurred in the lower rectum, at a rate of 80% (4/5). However, all patients were completely cured by additional endoscopic resections, the greatest number of treatments being four. Conclusion: For early detection of recurrence and successful endoscopic cure, further colonoscopic examination within a few months after the first treatment is necessary.