107 resultados para Cochin, Nicolas, 1610-1686.

em Université de Lausanne, Switzerland


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Entretien conduit par Bernard Garnger avec François Roustang et Nicolas Duruz, deux auteurs qui ont beaucoup écrit sur la psychothérapie et son évolution.

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En français (Fouet des 'fascinateurs' hérétiques) dont l'objectif est de prouver la réalité du sabbat des sorciers, dans le contexte du début de la répression de la sorcellerie démoniaque et des contestations qu'elle suscite dans certains lieux et milieux. Il y démontre en particulier la réalité des apparitions démoniaques et expose les moyens de ses protéger des assauts des démons. Il illustre son propos au moyen d'exemples scripturaires et surtout de récits des premiers martyrs et des Pères du désert empruntés au Speculum historiale de Vincent de Beauvais, qu'il recopie textuellement ou résume. Nicolas Jacquier montre ainsi une bonne connaissance d'ensemble de cette oeuvre. En Anglais "An attentive reader of Vincent de Beauvais' Speculum historiale in the XVth century : the Burgundian inquisitor Nicolas Jacquier and the reality of demonic apparitions." In 1458, the Dominican inquisitor Nicolas Jacquier writes his Flagellum hereticorum fascinariorum (Scourge of Heretical Witches), which aims at proving the reality of the witches' Sabbath. He pens this work in the context of the onset of the repression of diabolical witchcraft and the disputes which arise from it in certain places and circles. He in particular demonstrates the reality of demonic apparitions and exposes the means by which one is to protect oneself from the assaults of demons. He illustrates his subject by means of scriptural examples, making particular reference to the narratives of the first martyrs and of the Fathers of the desert borrowed from Vincent de Beauvais' Speculum historiale, that he either reproduces word for word, or summarizes. Nicolas Jacquier thus demonstrates a good knowledge of the entirety of this work.

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Dans les années trente, Ella Maillart et Annemarie Schwarzenbach quittent la Suisse pour l'Afghanistan. Deux décennies plus tard, L. Pestelli et N. Bouvier s'embarquent à leur tour sur les routes d'Orient. Filles et fils de grands industriels, d'universitaires ou de diplomates, ces quatre écrivains-voyageurs mettent un point d'honneur à s'éloigner d'une conception bourgeoise du voyage en présentant leur départ comme un moyen de se définir dans l'ailleurs, c'est-à-dire en dehors de leur héritage social, familial, national et occidental. L'Orient leur semble le lieu des possibles. Or, malgré leur désir de table rase, ils s'aperçoivent vite que, quoi qu'ils fassent, leur corps porte les stigmates de l'Occident. Ils vont donc tenter de le modifier. Si le but du voyage n'est pas de faire totalement disparaître le corps, ce n'est qu'en le risquant, en l'offrant au monde, pour le meilleur et souvent pour le pire, que les voyageurs croient pouvoir goûter aux délices du dehors. Mais ce bonheur charnel, physique, sensuel voire érotique, comment le dire ? Et quelle langue adopter pour rendre compte de sa présence physique au monde ? La réunion de ces quatre auteurs d'époques, de genres et de plumes différents, nous permet d'observer l'évolution des représentations du corps dans le récit de voyage au vingtième siècle tout en questionnant nos habitudes de lecture. Quelle représentation attendons-nous du corps dans un récit de voyage ? Celui-ci est-il vraiment le lieu privilégié pour remettre le corps à l'ouvrage ? The Boby at work. Body representations ìn the narratives of Eila Maillart, Annemarie Schwarzenbach, Nicolas Bouvier and Lorenzo Pestelli. In the 1930s, Ella Maillart and Annemarie Schwarzenbach left Switzerland for Afghanistan. Two decades later, Lorenzo Pestelli and Nicolas Bouvier set out on the routes to the East. Daughters and sons of prominent industrialists, academics or diplomats, these four writer-travellers made a point of straying away from the bourgeois conception of travel by presenting their departure as a way of defining the self away from social, family, national and Western inheritance. The East appears to them as the location of many possibilities. Yet, in spite of their desire for a clean slate, they soon realise that, no matter what they do, their body carries the stigma of the West. They will thus try to modify it. If the aim of their travelling is not to make the body disappear completely, it is only by putting it at risk and by offering it to the world, for better and often for worse, that the travellers believe they can taste the delights from the outside. But how to put in words this carnal, physical, sensual and even erotic pleasure? And what language can be chosen to account for one's presence in the world? Working jointly on four writers, from different eras, genres and styles, helps us to observe the evolution of the representations of the body in travel literature in the 20`h century and at the same time it questions our reading habits. What representations of the body do we expect in travel literature? Is travel literature really the privileged location to put the body back to work?

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Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.

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Au carrefour du divertissement et de l'information, l'émission télévisuelle, Les Guignols de l'info, parodie le monde culturel, politique et médiatique français par le biais des personnalités qui le composent. Créée dans une optique humoristique, l'émission pointe certains dysfonctionnements émergeant dans l'espace public. Elle dénonce ainsi une instrumentalisation du discours par les politiques à l'exemple des stratégies d'évitement déployées par Nicolas Sarkozy dans l'entretien analysé. Plus largement, cette dénonciation tend à révéler la présence d'un nouveau type de populisme dans les pratiques de communication médiatique actuelles. L'émission participe de ce fait à un commentaire citoyen sur l'espace public.