7 resultados para Cause ou conséquence

em Université de Lausanne, Switzerland


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

As a cause of small intestine occlusion, volvulus is often a consequence of a band or adhesions. Except in infants, it is rarely the primary cause of symptomatology. Between January 1976 and December 1992, 13 patients (7 women and 6 men, mean age of 56.8 years) were admitted in our department for an acute abdomen due to a spontaneous primary volvulus of the small bowel. Clinical examination and laboratory tests did not help in preoperative diagnosis. All patients underwent an explorative laparotomy. Six patients had had prior abdominal surgery but none of them presented adhesion or band. In 8 patients (62%), detorsion was sufficient. Resection of a segment of small bowel was necessary in 4 patients. Gangrenous of the entire bowel was observed in one patient who rapidly died. Two patients presented minor complications. One patient with Down syndrome died of bronchoaspiration. One patient has been reoperated on one year later for recurrence of the volvulus, and underwent a Noble procedure. We conclude that volvulus of the small bowel is a rare cause of acute abdomen that must be remembered. Early surgery is mandatory to reduce the risk of gangrene, which is known to double the mortality. Laparoscopy will be helpful in early diagnosis and therapy.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Abstract : Invariant natural killer T lymphocytes (iNKT) are a unique subpopulation of T lymphocytes recognizing glycolipid antigens in the context of the MHC class I-like molecule CD1d. Upon activation with the high affinity ligand α-galactosylceramide (αGalCer), iNKT cells rapidly produce large amounts of the pro-inflammatory cytokine interferon gamma (IFN-γ) and potently activate cells of the innate and adaptive immune response, such as dendritic cells (DCs), NK and T cells. In this context, iNKT cells have been shown to efficiently mediate antitumor activity, and recent research has focused on the manipulation of these cells for antitumor therapies. However, a major drawback of αGalCer as a free drug is that a single injection of this ligand leads to a short-lived iNKT cell activation followed by a long-term anergy, limiting its therapeutic use. In contrast, we demonstrate here that when αGalCer is loaded on a recombinant soluble CD1d molecule (αGalCer/sCD1d), repeated injections lead to a sustained iNKT and NK cell activation associated with IFN-γ secretion as well as with DC maturation. Most importantly, when the αGalCer/sCD1d is fused to an anti-HER2 scFv antibody fragment, potent inhibition of experimental lung metastasis and established subcutaneous tumors is obtained when systemic treatment is started two to seven days after the injection of HER2-expressing B16 melanoma cells, whereas at this time free αGalCer has no effect. The antitumor activity of the sCD1d-anti-HER2 fusion protein is associated with HER2-specific tumor localization and accumulation of iNKT, NK and T cells at the tumor site. Importantly, active T cell immunization combined with the sCD1d-anti-HER2 treatment leads to the accumulation of antigen-specific CD8 T cells exclusively in HER2-expressing tumors, resulting in potent tumor inhibition. In conclusion, sustained activation and tumor targeting of iNKT cells by recombinant αGalCer/sCD1d molecules thus may promote a combined innate and adaptive immune response at the tumor site that may prove to be effective in cancer immunotherapy. RESUME : Les lymphocytes «invariant Natural Killer T » (iNKT) forment une sous-population particulière de lymphocytes T reconnaissant des antigènes glycolipidiques présentés sur la molécule non-polymorphique CD1d, analogue aux protéines du complexe majeur d'histocompatibilité de classe I. Après activation avec le ligand de haute affinité α-galactosylceramide (αGalCer), les cellules iNKT produisent des grandes quantités de la cytokine pro-inflammatoire interferon gamma (IFN-γ) et activent les cellules du système immunitaire inné et acquis, telles que les cellules dendritiques (DC), NK et T. En conséquence, on a montré que les cellules iNKT exercent des activités anti-tumorales et la recherche s'est intéressée à la manipulation de ces cellules pour développer des thérapies anti-tumorales. Néanmoins, le désavantage majeur de l'αGalCer, injecté seul, est qu'une seule dose de ce ligand aboutit à une activation des cellules iNKT de courte durée suivie par un état anergique prolongé, limitant l'utilisation thérapeutique de ce glycolipide. En revanche, l'étude présentée ici démontre que, si l'αGalCer est chargé sur des molécules récombinantes soluble CD1d (αGalCer/sCDld), des injections répétées aboutissent à une activation prolongée des cellules iNKT et NK associée avec la sécrétion d'IFN-γ et la maturation des cellules DC. Plus important, si on fusionne la molécule αGalCer/sCD1d avec un fragment single-chain (scFv) de l'anticorps anti-HER2, on observe une importante inhibition de métastases expérimentales aux poumons et de tumeurs sous-cutanées même lorsque le traitement systémique est commencé 2 à 7 jours après la greffe des cellules de mélanome B16 transfectées avec l'antigène HER2. Dans les mêmes conditions le traitement avec l'αGalCer seul est inefficace. L'activité anti-tumorale de la protéine sCDld-anti-HER2 est associée à son accumulation spécifique dans des tumeurs exprimant le HER2 ainsi qu'avec une accumulation des cellules iNKT, NK et T à la tumeur. De plus, une immunisation active combinée avec le traitement sCD1d-anti-HER2 aboutit à une accumulation des lymphocytes T CD8 spécifiques de l'antigène d'immunisation, ceci exclusivement dans des tumeurs qui expriment l'antigène HER2. Cette combinaison résulte dans une activité anti-tumeur accrue. En conclusion, l'activation prolongée des cellules iNKT redirigées à la tumeur par des molécules recombinantes αGalCer/sCDld conduit à l'activation de la réponse innée et adaptative au site tumoral, offrant une nouvelle stratégie prometteuse d'immunothérapie contre le cancer. RESUME POUR UN LARGE PUBLIC : Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde. Sur un total de 58 millions de décès enregistrés au niveau mondial en 2005, 7,6 millions (soit 13%) étaient dus au cancer. Les principaux traitements de nombreux cancers sont la chirurgie, en association avec la radiothérapie et la chimiothérapie. Néanmoins, ces traitements nuisent aussi aux cellules normales de notre corps et parfois, ils ne suffisent pas pour éliminer définitivement une tumeur. L'immunothérapie est l'une des nouvelles approches pour la lutte contre le cancer et elle vise à exploiter la spécificité du système immunitaire qui peut distinguer des cellules normales et tumorales. Une cellule exprimant un marqueur tumoral (antigène) peut être reconnue par le système immunitaire humoral (anticorps) et/ou cellulaire, induisant une réponse spécifique contre la tumeur. L'immunothérapie peut s'appuyer alors sur la perfusion d'anticorps monoclonaux dirigés contre des antigènes tumoraux, par exemple les anticorps dirigés contre les protéines oncogéniques Her-2/neu dans le cancer du sein. Ces anticorps ont le grand avantage de spécifiquement se localiser à la tumeur et d'induire la lyse ou d'inhiber la prolifération des cellules tumorales exprimant l'antigène. Aujourd'hui, six anticorps monoclonaux non-conjugés sont approuvés en clinique. Cependant l'efficacité de ces anticorps contre des tumeurs solides reste limitée et les traitements sont souvent combinés avec de la chimiothérapie. L'immunothérapie spécifique peut également être cellulaire et exploiter par immunisation active le développement de lymphocytes T cytotoxiques (CTL) capables de détruire spécifiquement les cellules malignes. De telles «vaccinations »sont actuellement testées en clinique, mais jusqu'à présent elles n'ont pas abouti aux résultats satisfaisants. Pour obtenir une réponse lymphocytaire T cytotoxique antitumorale, la cellule T doit reconnaître un antigène associé à la tumeur, présenté sous forme de peptide dans un complexe majeur d'histocompatibilité de classe I (CHM I). Cependant les cellules tumorales sont peu efficace dans la présentation d'antigène, car souvent elles se caractérisent par une diminution ou une absence d'expression des molécules d'histocompatibilité de classe I, et expriment peu ou pas de molécules d'adhésion et de cytokines costimulatrices. C'est en partie pourquoi, malgré l'induction de fortes réponses CTL spécifiquement dirigés contre des antigènes tumoraux, les régressions tumorales obtenus grâce à ces vaccinations sont relativement rares. Les lymphocytes «invariant Natural Killer T » (iNKT) forment une sous-population particulière de lymphocytes T reconnaissant des antigènes glycolipidiques présentés sur la molécule non-polymorphique CD1d, analogue aux protéines CMH I. Après activation avec le ligand de haute affinité α-galactosylceramide (αGalCer), les cellules iNKT produisent des grandes quantités de la cytokine pro-inflammatoire interferon gamma (IFN-γ) et activent les cellules du système immunitaire inné et acquis, telles que les cellules dendritiques (DC), NK et T. En conséquence, on a montré que les cellules iNKT exercent des activités anti-tumorales et la recherche s'est intéressée à la manipulation de ces cellules pour développer des thérapies anti-tumorales. Néanmoins, le désavantage majeur de l'αGalCer, injecté seul, est qu'une seule dose de ce ligand aboutit à une activation des cellules iNKT de courte durée suivie par un état anergique prolongé, limitant l'utilisation thérapeutique de ce glycolipide. Notre groupe de recherche a donc eu l'idée de développer une nouvelle approche thérapeutique où la réponse immunitaire des cellules iNKT serait prolongée et redirigée vers la tumeur par des anticorps monoclonaux. Concrètement, nous avons produit des molécules récombinantes soluble CD1d (sCD1d) qui, si elles sont chargés avec l'αGalCer (αGalCer/sCDld), aboutissent à une activation prolongée des cellules iNKT et NK associée avec la sécrétion d'IFN-γ et la maturation des cellules DC. Plus important, si la molécule αGalCer/sCD1d est fusionnée avec un fragment single-chain (scFv) de l'anticorps anti-HER2, la réponse immunitaire est redirigée à la tumeur pour autant que les cellules cancéreuses expriment l'antigène HER2. Les molécules αGalCer/sCDld ainsi présentées activent les lymphocytes iNKT. Avec cette stratégie, on observe une importante inhibition de métastases expérimentales aux poumons et de tumeurs sous-cutanées, même lorsque le traitement systémique est commencé 2 à 7 jours après la greffe des cellules de mélanome B16 transfectées avec l'antigène HER2. Dans les mêmes conditions le traitement avec l'αGalCer seul est inefficace. L'activité anti-tumorale de la protéine sCDld-anti-HER2 est associée à son accumulation spécifique dans des tumeurs exprimant le HER2 ainsi qu'avec une accumulation des cellules iNKT, NK et T à la tumeur. En conclusion, l'activation prolongée des cellules iNKT redirigées à la tumeur par des molécules récombinantes αGalCer/sCD1d conduit à l'activation de la réponse innée et adaptative au site tumoral, offrant une nouvelle stratégie prometteuse d'immunothérapie contre le cancer.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

In liver, the glyoxylate cycle contributes to two metabolic functions, urea and glucose synthesis. One of the key enzymes in this pathway is glyoxylate reductase/hydroxypyruvate reductase (GRHPR) whose dysfunction in human causes primary hyperoxaluria type 2, a disease resulting in oxalate accumulation and formation of kidney stones. In this study, we provide evidence for a transcriptional regulation by the peroxisome proliferator-activated receptor alpha (PPARalpha) of the mouse GRHPR gene in liver. Mice fed with a PPARalpha ligand or in which PPARalpha activity is enhanced by fasting increase their GRHPR gene expression via a peroxisome proliferator response element located in the promoter region of the gene. Consistent with these observations, mice deficient in PPARalpha present higher plasma levels of oxalate in comparison with their wild type counterparts. As expected, the administration of a PPARalpha ligand (Wy-14,643) reduces the plasma oxalate levels. Surprisingly, this effect is also observed in null mice, suggesting a PPARalpha-independent action of the compound. Despite a high degree of similarity between the transcribed region of the human and mouse GRHPR gene, the human promoter has been dramatically reorganized, which has resulted in a loss of PPARalpha regulation. Overall, these data indicate a species-specific regulation by PPARalpha of GRHPR, a key gene of the glyoxylate cycle.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

NR2E3, a photoreceptor-specific nuclear receptor (PNR), represses cone-specific genes and activates several rod-specific genes. In humans, mutations in NR2E3 have been associated with the recessively-inherited enhanced short-wavelength sensitive S-cone syndrome (ESCS) and, recently, with autosomal dominant (ad) retinitis pigmentosa (RP) (adRP). In the present work, we describe two additional families affected by adRP that carry a heterozygous c.166G>A (p.G56R) mutation in the NR2E3 gene. Functional analysis determined the dominant negative activity of the p.G56R mutant protein as the molecular mechanism of adRP. Interestingly, in one pedigree, the most common causal variant for ESCS (p.R311Q) cosegregated with the adRP-linked p.G56R mutation, and the compound heterozygotes exhibited an ESCS-like phenotype, which in 1 of the 2 cases was strikingly "milder" than the patients carrying the p.G56R mutation alone. Impaired repression of cone-specific genes by the corepressors atrophin-1 (dentatorubral-pallidoluysian atrophy [DRPLA] gene product) and atrophin-2 (arginine-glutamic acid dipeptide repeat [RERE] protein) appeared to be a molecular mechanism mediating the beneficial effect of the p.R311Q mutation. Finally, the functional dominance of the p.R311Q variant to the p.G56R mutation is discussed.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

A 98-year-old woman was referred to our hospital because of myoclonia. The concentration of calcium and vitamin D in the serum was low. In this context, we concluded of neuromuscular irritability secondary to hypocalcaemia. The symptoms disappeared after a treatment of intravenous calcium. This case shows how important it is to investigate electrolytes in case of neuromuscular irritability symptoms in elderly people.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Opsismodysplasia (OPS) is a severe autosomal-recessive chondrodysplasia characterized by pre- and postnatal micromelia with extremely short hands and feet. The main radiological features are severe platyspondyly, squared metacarpals, delayed skeletal ossification, and metaphyseal cupping. In order to identify mutations causing OPS, a total of 16 cases (7 terminated pregnancies and 9 postnatal cases) from 10 unrelated families were included in this study. We performed exome sequencing in three cases from three unrelated families and only one gene was found to harbor mutations in all three cases: inositol polyphosphate phosphatase-like 1 (INPPL1). Screening INPPL1 in the remaining cases identified a total of 12 distinct INPPL1 mutations in the 10 families, present at the homozygote state in 7 consanguinous families and at the compound heterozygote state in the 3 remaining families. Most mutations (6/12) resulted in premature stop codons, 2/12 were splice site, and 4/12 were missense mutations located in the catalytic domain, 5-phosphatase. INPPL1 belongs to the inositol-1,4,5-trisphosphate 5-phosphatase family, a family of signal-modulating enzymes that govern a plethora of cellular functions by regulating the levels of specific phosphoinositides. Our finding of INPPL1 mutations in OPS, a severe spondylodysplastic dysplasia with major growth plate disorganization, supports a key and specific role of this enzyme in endochondral ossification.