9 resultados para Cardiomyopathie dilatée

em Université de Lausanne, Switzerland


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AIM: The aim of this case report was to show the importance to research metabolic etiology, especially a carnitine deficiency in dilated cardiomyopathy of children. CASE REPORT: A three years old Togolese child presented muscular hypotonia, dyspnea. Examination showed left galop murmur and systolic murmur 2/6. Chest X-ray showed cardiomegaly (CTI: 0.66), electrocardiogram, a sinusal rythm, left ventricle hypertrophy and T wave abnormalities. Echocardiogram showed a markedly dilated left ventricle with reduced systolic function (EF: 0.43; reference range 0.55-0.80) and moderate mitral regurgitation. The inflammatory signs where negatives. Magnetic resonance imaging don't show signs of ischemic or myocarditis. The levels of free and total plasmatic carnitine decreased: 3μmol/L (N: 18-48μmol/L) and 5μmol/l (N: 29-70μmol/L) respectively. Mutation analysis of the gene SLC22A5 confirms the diagnosis of primary systemic carnitine deficiency. Treatment with oral carnitine was started at 200mg/kg per day. Within three weeks of treatment, we observed the decrease of all symptoms and the left ventricular size and function normalized (EF: 0.62). He has now been on oral carnitine for live. CONCLUSION: Primary carnitine deficiency is a cause of dilated cardiomyopathy in child. It must systematically be suspected when a child presents a primitive cardiomyopathy. The treatment with oral carnitine for live is simple, with excellent prognosis.

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Le terme de « myocardite » est utilisé pour décrire une inflammation non spécifique du muscle cardiaque. Cette inflammation, qui est le plus souvent d'origine infectieuse, peut également être d'origine toxique ou immunologique. Elle peut être associée ou non à une péricardite. Le tableau clinique est habituellement bénin, mais la myocardite peut se compliquer d'une mort subite ou d'un choc cardiogénique rapidement progressif nécessitant une assistance circulatoire ou une transplantation. Dans près de 25% des cas, l'inflammation peut devenir chronique et le cours clinique peut alors évoluer vers celui d'une insuffisance cardiaque globale sur cardiomyopathie dilatée. Après avoir présenté un cas, nous passons en revue les aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de cette entité pour laquelle les données fondées sur les preuves sont étonnamment peu nombreuses. Ces éléments justifient le bien-fondé de l'attitude pragmatique qui est généralement adoptée.

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Tako-tsubo cardiomyopathy or "transient left ventricular (LV) apical ballooning" clinically presents like acute myocardial infarction without angiographic stenosis on coronary angiogram and a transient (reversible) LV apical ballooning. We discuss here about a 56-year-old woman complains of first constrictive chest pain with ST elevation in leads V2-V6 and minimal enzymatic release. Coronary angiogram demonstrates vessels without stenosis and the left ventriculogram an extensive LV apical wall motion abnormalities. LV dysfunction will only be transient since 24 hours after admission echographic images demonstrate quite complete recovery of LV systolic function. The pain disappears 12 hours after admission and the creatine kinase level normalize after 48 hours.

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La cardiomyopathie hypertrophique (CMH) est la maladie cardiaque monogénique la plus fréquente, touchant environ 1 individu sur 500 dans la population (1,2). L'étiologie est familiale dans la majorité des cas avec une transmission de type autosomal dominant à pénétrance variable. Deux gènes principaux sont à l'origine de la maladie chez 70% des patients avec un test génétique positif. Il s'agit des gènes qui codent pour la chaine lourde β de la myosine (MYH7) et la protéine C liant la myosine (MYBPC3) (1-3). La CMH est définie par la présence d'une hypertrophie myocardique « inadéquate » car se développant en l'absence d'une cause d'augmentation de la post-charge (HTA, sténose aortique, membrane sous-aortique), d'une pathologie infiltrative ou d'un entrainement physique (4,5). Le plus souvent asymétrique et affectant préférentiellement le septum, cette hypertrophie s'accompagne dans près de deux tiers des cas d'une obstruction dynamique sous-aortique de la chambre de chasse du ventricule gauche par la valve mitrale (systolic anterior motion ou SAM). Cette obstruction est à la fois la conséquence du rétrécissement de la chambre de chasse par l'hypertrophie septale mais également d'un malpositionnement de la valve mitrale (6-8). On parle alors de Cardiomyopathie Hypertrophique et Obstructive (CMHO). L'obstruction - présente au repos dans 50% des cas et uniquement après manoeuvres de provocation dans l'autre moitié des cas (manoeuvre de Valsalva, test de vasodilatation par nitrite d'amyle) est à l'origine d'un gradient de pression entre le ventricule gauche et l'aorte, et donc d'une surcharge de pression pour le ventricule gauche. Cette surcharge de pression est à l'origine des symptômes classiquement rencontrés soit dyspnée et angor d'effort, présyncope voire syncopes à l'effort. Un gradient sous-aortique de plus de 50 mmHg (mesuré au repos ou après provocation) est considéré comme un gradient à valeur pronostique (6-8) et justifiant un traitement si associé à des symptômes. Le traitement médical des formes obstructives repose sur l'administration de substances inotropes négatives et/ou susceptibles de favoriser la relaxation myocardique tels que les béta-bloqueurs, les antagonistes du calcium et le disopyramide - pris isolément ou en association. Pour les nombreux patients qui deviennent réfractaires ou intolérants à ces traitements, deux interventions peuvent leur être proposées pour lever l'obstruction : une myotomie-myectomie chirurgicale du septum (9,10) ou une alcoolisation du septum par voie percutanée (7,8). Les indications à ces interventions sont les suivantes (7,8,11) : 1. Symptômes (dyspnée de classe fonctionnelle NYHA III ou IV, angor de classe fonctionnelle CCS III ou IV, syncope, ou présyncope) réfractaires au traitement médical ou intolérance du patient au traitement. Une dyspnée de classe II est considérée suffisante dans le cas de jeunes patients. 2. Obstruction sous-aortique avec gradient supérieur ou égal à 50 mmHg, au repos ou après manoeuvre de provocation, associée à une hypertrophie septale et à un mouvement systolique antérieur de la valve mitrale (effet SAM) 3. Anatomiecardiaquefavorableàuntraitementinvasif(épaisseurduseptumde plus de 16 mm) Si la myectomie chirurgicale reste la méthode de référence (12-18), l'alcoolisation septale du myocarde par voie percutanée est devenue un des traitements de choix dans la thérapie de la Cardiomyopathie Hypertrophique Obstructive réfractaire. Elle consiste à repérer par coronarographie l'artère septale nourrissant le septum basal hypertrophié, puis à y introduire un petit ballon pour isoler ce territoire du reste du lit coronaire avant d'y injecter une dose d'alcool à 95% comprise entre 1 et 5 cc. On crée ainsi un infarctus chimique, technique qui fut dans le passé utilisée pour le traitement de certaines tumeurs. Les effets ne sont pas immédiats et nécessitent généralement 2-3 semaines avant de se manifester. On assiste alors à une diminution progressive de l'épaisseur du myocarde nécrosé (7), à la disparition progressive de l'obstruction et à l'amélioration / disparition des symptômes. La question de savoir qui de la chirurgie ou de l'alcoolisation est le plus efficace a été source de nombreux débats (7,11-13,18). Par rapport à la chirurgie, les avantages de la méthode percutanée sont les suivants (11,14,15,18,19) : - Efficacités hémodynamique et fonctionnelle jugées comparable à la chirurgie selon les études - Taux de morbidité et de mortalité très faible et non supérieure à la chirurgie - Absence de sternotomie - Diminution de la durée de l'hospitalisation et surtout de la période de convalescence, le patient pouvant reprendre une activité dès son retour à domicile Certains experts émettent néanmoins des doutes quant à l'innocuité à long terme de la méthode, les zones nécrotiques pouvant servir de terrain arythmogène. Pour ces raisons, la méthode n'est pas recommandée chez les patients de moins de 40 ans (6,8). Le risque majeur de l'alcoolisation du septum proximal réside dans l'induction d'un bloc atrio-ventriculaire complet chimique, le noeud atrio-ventriculaire étant justement situé dans cette région. Ce risque augmente avec la quantité d'alcool administrée et nécessite, si persistance après trois jours, l'implantation d'un pacemaker à demeure. Selon les centres, le taux d'implantation d'un stimulateur varie ainsi entre 7% et 20% (7,14,20). L'efficacité clinique et l'incidence des complications est donc en partie liée à la compétence technique et à l'expérience de l'opérateur (7,14), mais aussi aux choix des patients. Il peut donc varier grandement selon les centres médicaux. L'étude proposée vise à analyser les résultats de l'alcoolisation obtenus à Lausanne, jusqu'à présent pas encore été étudiés, et à les comparer à ceux de la littérature.

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L'hypertrophie ventriculaire pathologique chez les nouveau-nés des mères diabétiques une étude rétrospective RESUME Objectif L'incidence du diabète chez les femmes enceintes ne cesse de croître, de même que les complications chez leurs nouveau-nés. C'est pourquoi, nous avons étudié la population de mères diabétiques suivies dans notre établissement entre les années 2003-2005 dans le but d'analyser spécifiquement le problème d'hypertrophie ventriculaire pathologique (HVP) chez les nouveau-nés de cette population. Méthode et résultats Dans notre étude rétrospective comprenant 87 grossesses de femmes diabétiques (92 nouveau-nés), 16 présentaient un diabète de type 1, 17 de type 2 et 54 ont développé un diabète gestationnel (DG). Le médian des hémoglobines glycquées (HbAlc) pour cette population est de 5.8% (5.3-6.5) : 17 avaient une HbAlc au-dessus de la norme, dont 2 souffrant d'une cardiomyopathie congénitale (CMC) et six d'une HVP. Un total de 75 nouveaux-nés étaient normaux, cinq avaient une CMC et 12 une HVP (1/12 décédé post-natalement, 1/12 mort-né, 2/12 nécessitant un accouchement prématuré, 8/12 normaux). Les 16 mères avec un diabète de type 1 accouchèrent de trois nouveau-nés avec une CMC et de 50% avec une HVP, comprenant un enfant décédé et un prématuré né par césarienne à cause d'une HVP. Dans le groupe des 17 nouveau-nés issus d'une mère connue pour un diabète de type 2, un cas présentait une CMC et 25% des cas une HVP. Parmi les 54 grossesses avec un DG, on dénombre un cas de CMC et un cas de HVP. Conclusion Les grossesses de mères souffrant d'un diabète de type 1 et de type 2 comportent toutes deux un risque augmenté de développement d'une HVP comparées à celles de mères ayant développé un diabète gestationnel. Les contrôles glycémiques sont insuffisants pour éviter la survenue d'une HVP. Comme aucun autre paramètre prédictif n'a pu été défini jusqu'alors, nous concluons qu'un suivi échographique rapproché de ces grossesses peut prévenir des complications périnatales sévères.

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Mon projet de recherche s'est articulé autour des arythmies supraventriculaires chez les patients adultes porteurs d'une cardiopathie congénitale (Adults with Congenital Heart Disease ou ACHD). Grâce aux progrès de la chirurgie cardiaque et de la cardiologie, la survie à l'âge adulte des enfants nés avec une malformation cardiaque est excellente et la population des ACHD ne cesse de croître, tout en vieillissant. Les arythmies cardiaques sont une complication à long terme bien connue chez ces patients et une des principales causes de mortalité et de morbidité. Mon travail de recherche comporte une perspective épidémiologique avec une étude de population et une perspective anatomique, avec une étude d'imagerie cardiaque par échographie. 1. Étude épidémiologique : Arythmies auriculaires (AA) chez les patients porteurs d'une cardiopathie congénitale. Sous le titre anglais Atrial Arrhythmias in Adults with Congenital Heart Disease, cette étude a été publiée dans le journal américain Circulation. A travers les résultats de cette étude, j'ai démontré, pour la première fois dans une aussi grande population, que les AA étaient fréquentes chez les patients ACHD, que le risque à long-terme pour ces patients de développer des AA était élevé, et que le développement d'AA avait un impact négatif en termes de mortalité, de morbidité et d'intervention. 2. Étude anatomique : Les paramètres échographiques associés à la fibrillation auriculaire (FA) chez les patients adultes porteurs d'une cardiopathie congénitale. Sous le titre anglais Mirror image atrial dilatation in Adult Patients with Atrial Fibrillation and Congenital Heart Disease, cette étude a été publiée dans le journal américain International Journal of Cardiology, j'ai démontré dans cette étude que les patients ACHD avec une pathologie isolée du coeur gauche présentaient une dilatation progressive de l'oreillette gauche (OG) lorsqu'ils développaient de la FA. Chez les patients avec une pathologie isolée du coeur droit, j'ai décrit une image « miroir » : l'oreillette droite (OD) était toujours plus grande que l'OG βί présentait une dilatation progressive lors de FA. Ces résultats soutiennent l'hypothèse que la FA pourrait provenir de l'OD dilatée chez les patients ACHD avec une pathologie du coeur droit et ouvrent de nouvelles perspectives diagnostiques et thérapeutiques chez ces patients:

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Etude de cohorte en France et en Suisse (7 centres). Analyse sémiologique des cas de maladie de Fabry (MF). Les cas index étaient 12 H, 5 F : âgemoyen au diagnostic 30 (9-58) et 34 ans (10-49), resp. Chez les H, le 1er symptôme était : acroparesthésies (acroP) (n=9) en moyenne à 8 ans (4-19). Le délai moyen premier symptôme-MF était de 17 ans (0-51), plus court en cas d'acroP qu'en cas d'autre symptôme révélateur (12.3 vs 19.6 ans). Les acroP « négligées » retardaient le diagnostic : angiokératomes (n=1, délai 28 ans), AVC du sujet jeune (n=2, délais 20 et 24 ans), insuffisance rénale terminale (n=1, délai 51 ans). Deux patients avaient une sémiologie complète : acroP, angiokératomes, hypohidrose, cornée verticillée, atteinte cérébrale, rénale (2 transplantations), cardiaque. Une hypoacousie était fréquente (n=6). Les errances diagnostiques ont été : SEP, neurobrucellose, PAN, cardiomyopathie hypertensive malgré l'absence d'HTA. Chez les F, le 1er symptôme était : acroP (n=3), cornée verticillée (n=1), angiokératomes (n=1). Le délai premier symptôme-MF était en moyenne de 15.6 ans (0-37). Tous les patients, à l'exception d'1 F, sont sous traitement enzymatique. Dans leurs familles, 47 autres cas (27H/20F) ont été diagnostiqués. La MF est à transmission dominante liée à l'X, avec expressivité variable. Elle atteint l'homme et la femme. Le diagnostic est trop tardif : l'interniste doit connaître la MF pour laquelle existe un traitement par alpha-galactosidase.

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Une lésion fonctionnelle ou structurale des artérioles intramurales influence le seuil ischémique du myocarde. Le diagnostic de dysfonction microvasculaire est retenu en présence d'une diminution du flux coronaire maximal et de coronaires angio-graphiquement normales ou presque normales. Un trouble de la microcirculation peut traduire une dysfonction endothéliale chez le sujet diabétique ou hyperlipidémique, ou une lésion structurale ou fonctionnelle dans le cadre de la cardiomyopathie hypertrophique, la sténose aortique ou l'hypertension artérielle. Après recanalisation de l'artère responsable d'un infarctus, la mesure de la fonction microcirculatoire permet d'estimer la qualité de la reperfusion myocardique. L'appréciation de la fonction microvasculaire est un enjeu majeur dans l'évaluation de l'ischémie du myocarde en l'absence de sténose coronaire. Functional or structural lesions in intramural arterioles influence the ischemic threshold of the myocardium. Microvascular dysfonction is evidenced by a decrease in coronary blood flow during maximum hyperemia in the presence of angiographically normal or near-normal coronary arteries. Microvascular dysfonction may reflect endothelial dysfonction in diabetic or hyperlipidemic patients, as well as structural and functional changes in patients with hypertrophic cardiomyopathy, aortic stenosis or hypertension. Assessing microvascular fonction after thrombolysis or primary angioplasty for acute myocardial infarction allows to estimate the quality of myocardial reperfusion. Assessing microvascular fonction is a major component of the evaluation of myocardial ischemia in the absence of coronary artery stenoses.

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Contexte Le développement du défibrillateur automatique interne (DAI) a considérablement amélioré la survie des patients souffrant de tachycardies ventriculaires (TV) soutenues; cependant, ce traitement n'est pas curatif mais palliatif1. En effet, il ne permet pas d'éradiquer les TV mais les interrompt par diverses thérapies (stimulation ventriculaire; chocs). Plusieurs études ont montré que l'ablation des TV par radiofréquence permet de diminuer l'incidence des chocs délivrés par le DAI et ainsi d'améliorer la qualité de vie des patients2. Objectifs Notre objectif est de déterminer les résultats de l'ablation par radiofréquence à moyen terme, dans une population de patients souffrant d'une cardiopathie ischémique avec tachycardies ventriculaires soutenues et porteurs d'un DAI. Méthode Il s'agit d'une étude clinique rétrospective monocentrique comprenant des patients avec ancien infarctus, TV soutenue et porteurs d'un DAI hospitalisés pour ablation de la TV dans le Service de cardiologie du CHUV. Les données ont été obtenues à partir des dossiers cliniques archivés (Archimède), de la banque de données DAI et ablation (programmes filemaker) du service de cardiologie ainsi que de l'interrogation des mémoires des DAI. L'analyse de ces données a été réalisée à partir de tableaux Excel. Les moyennes et médianes des données récoltées ont été calculées ; les tests de Student et de Mann-Whitney ont été utilisés pour comparer les résultats avant et après ablation. Résultats Le collectif comprend 21 patients (19 hommes), âge moyen : 65 ± 11 ans. La fraction d'éjection du ventricule gauche est de 28±10%. La moyenne des thérapies du DAI en réponse aux TV au cours des six mois précédant l'ablation est de 65.1 ± 177.9 thérapies avec une médiane de 8 thérapies. Cette moyenne baisse à 11.5 ± 26.7 au cours des six mois qui ont suivi l'ablation et la médiane a chuté à 0 intervention du DAI. L'incidence des TV, décroit clairement après l'ablation. Cette diminution est statistiquement significative (p = 0.046). Après les six mois de suivi, 12 des 21 patients (57%) n'ont eu aucune récidive ; 4 patients (19%) ont eu une diminution du nombre de chocs. Au total, trois quarts des patients bénéficient donc de l'ablation. Conclusion Nos résultats démontrent une diminution spectaculaire et significative de l'incidence des TV post-infarctus après ablation par radiofréquence chez les porteurs de DAI.