5 resultados para CITRUS LIMON

em Université de Lausanne, Switzerland


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BACKGROUND: Citrus fruit has shown a favorable effect against various cancers. To better understand their role in cancer risk, we analyzed data from a series of case-control studies conducted in Italy and Switzerland. PATIENTS AND METHODS: The studies included 955 patients with oral and pharyngeal cancer, 395 with esophageal, 999 with stomach, 3,634 with large bowel, 527 with laryngeal, 2,900 with breast, 454 with endometrial, 1,031 with ovarian, 1,294 with prostate, and 767 with renal cell cancer. All cancers were incident and histologically confirmed. Controls were admitted to the same network of hospitals for acute, nonneoplastic conditions. Odds ratios (OR) were estimated by multiple logistic regression models, including terms for major identified confounding factors for each cancer site, and energy intake. RESULTS: The ORs for the highest versus lowest category of citrus fruit consumption were 0.47 (95% confidence interval, CI, 0.36-0.61) for oral and pharyngeal, 0.42 (95% CI, 0.25-0.70) for esophageal, 0.69 (95% CI, 0.52-0.92) for stomach, 0.82 (95% CI, 0.72-0.93) for colorectal, and 0.55 (95% CI, 0.37-0.83) for laryngeal cancer. No consistent association was found with breast, endometrial, ovarian, prostate, and renal cell cancer. CONCLUSIONS: Our findings indicate that citrus fruit has a protective role against cancers of the digestive and upper respiratory tract.

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BACKGROUND AND OBJECTIVES: Cytochrome P450 (CYP) 3A4 is the main CYP isozyme involved in methadone metabolism. We investigated the influence of grapefruit juice, which contains inhibitors of intestinal CYP3A, on the steady-state pharmacokinetics of methadone. METHODS: For 5 days, 8 patients undergoing methadone maintenance treatment received 200 mL water or grapefruit juice 30 minutes before and again together with their daily dose of methadone. Blood sampling for R-, S-, and R,S-methadone plasma determination was performed over a 24-hour period. CYP3A activity was determined by measuring the plasma 1'-hydroxymidazolam/midazolam ratio. RESULTS: A decrease in the midazolam ratio was measured in all patients after grapefruit juice (mean +/- SD before grapefruit juice, 9.3 +/- 5.9; mean +/- SD after grapefruit juice, 3.9 +/- 1.2; P <.05). Grapefruit juice led to a mean 17% increase in the area under the curve extrapolated to 24 hours for both enantiomers of methadone (range, 3% to 29% [P <.005]; range, -4% to 37% [P <.05]; and range, 1% to 32% [P <.01]; for R-, S-, and R,S-methadone, respectively). A similar increase in peak level and decrease in apparent clearance were measured with grapefruit juice, whereas time to peak level, terminal half-life, and apparent volume during the terminal phase of R-, S-, and R,S-methadone were not affected by grapefruit juice. No symptom of overmedication was either detected by the clinical staff or reported by the patients. CONCLUSIONS: Grapefruit juice administration is associated with a modest increase in methadone bioavailability, which is not expected to endanger patients. However, it cannot be excluded that a much stronger effect may occur in some patients, and thus grapefruit juice intake is not recommended during methadone maintenance treatment, in particular in patients initiating such a treatment.

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NOTE METHODOLOGIQUE Avant d'entamer notre travail d'analyse, nous tenons à souligner d'emblée un certain nombre de remarques sur les obstacles affrontés et aux difficultés que nous avons rencontrées durant cette recherche. Plusieurs observations s'imposent quant aux concepts utilités, aux sources et travaux consultés et à la manière d'aborder la thématique nationale et nationaliste albanaise. Sachant que notre objectif a été de rompre avec le discours dominant sur le thème de l'identité nationale albanaise et de celui des travaux qui sont l'oeuvre, dans la plupart des cas, d'observateurs et d'acteurs à la fois, il fallait utiliser avec beaucoup de précaution les termes désignant aujourd'hui des groupes ethniques ou alors des entités territoriales contemporaines telles que le Kosovo ou la Macédoine. Pour la clarté de l'analyse, il était nécessaire d'utiliser certains concepts tels que l'ethnie, populations albanophones, albanaises ou proto-albanaises, toutefois, nous n'avons pas retenu le même sens que celui des acteurs. Lorsqu'on évoque ces populations, ce n'est pas le sens ethnique contemporain que nous retenons, mais celui qui pouvait prévaloir dans les contextes historiques auxquels nous nous sommes référés. Quant aux lieux et entités politiques d'aujourd'hui, nous avons choisi de recourir aux concepts tels qu'espace ou aire culturelle albanophone pour éviter de projeter dans le passé des catégories contemporaines comme le fait volontiers l'iconographie nationaliste. Enfin, par un souci d'impartialité, nous avons utilisé l'appellation des villes et des noms des figures historiques selon les contextes historiques abordés et avons précisé, entre parenthèses, l'appellation dans d'autres langues aussi. Concernant les sources et les travaux utilisés, comme nous venons de l'évoquer, la plupart d'eux sont émaillés par des considérations d'ordre idéologique et prennent clairement position soit en faveur de la position albanaise, soit de celle serbe, macédonienne ou autre. En fait, dans l'entreprise nationaliste, la définition d'un problème est un enjeu de luttes dans le temps et dans l'espace. Afin d'éviter de s'enliser dans le piège d'une lecture unilatérale des événements historiques, nous avons systématiquement utilisé des sources directes, croisé les sources d'information, sélectionné les publications utilisées selon leur rigueur scientifique et les références utilisées dans l'élaboration de leur argumentation. L'établissement d'une chronologie fiable a été une tâche difficile. En fait, comme nous l'avons rappelé dans notre introduction, peu d'ouvrages traitent de la question identitaire albanaise. En ce qui concerne la littérature albanaise, celle-ci est abondante, cependant, nous avons exclusivement utilisé des travaux universitaires qui ont le souci de la clarté et de l'objectivité et qui abordent la question albanaise sur la base des sources variées consultées (basées sur les archives officielles albanaise, serbe et internationale). Toutefois, nous avons d'une part relevé que certains travaux historiques utilisés ont été produits en Albanie durant la période du régime totalitaire d'Enver Hoxha. L'influence de ce régime dans la lecture de l'histoire ressort implicitement dans le choix des thèmes et des faits socio-historiques relatés par les auteurs. D'autre part, la littérature albanaise du Kosovo et de Macédoine et l'approche qu'elle effectue de la question nationale albanaise varie selon les contextes politiques. Ainsi, par exemple, les publications des années 1980 sur la Ligue de Prizren sont riches et fiables et poursuivent des objectifs autres que ceux visant à légitimer les revendications politiques albanaises. Quant aux travaux des auteurs serbes et macédoniens sur la question nationale albanaise, force est de constater qu'ils sont sous une forte influence nationaliste sur cette question. En fait, les travaux de Dimitrije Tucović, d'Aleksandar Matkovski et la publication dirigée par Nebojša Popov font exception à toute une production qui ne prend pas uniquement partie dans son jugement, mais qui a une attitude pour le moins problématique à l'égard des Albanais du Kosovo et de Macédoine. Compte tenu de ces constatations et de ces difficultés et afin de nous protéger des éventuelles approximations, nous avons systématiquement vérifié les faits socio-historiques relatés par la littérature historique occidentale qui portait sur Byzance, sur l'Empire ottoman ou alors sur la période plus contemporaine. Tout au long de notre recherche, nous avons privilégié certaines références des chercheurs (triés sur la base de leur connaissance de la question et des sources consultées) sur la région des Balkans pour l'établissement de notre chronologie (notamment ceux de Tahir Abdyli, de Skender Anamali, d'Ivo Banac, de Sadulla Brestovci, de Georges Castellan, d'Alain Ducellier, d'Ali Hadri, de Branko Horvat, de Kristo Frashëri, de Hivzi Islami, de Kristaq Prifti, de Noel Malcolm, d'Aleksandar Matkovski, de Pajazit Nushi, de Stefanaq Pollo, de Selami Pulaha, de Halim Purellku, de Skënder Rizaj, de Limon Rushiti, de Michel Roux, de Zija Shkodra, de Stavro Skendi de Dimitrije Tucović et de Miranda Vickers). Ces travaux nous ont été d'une grande utilité, même si les thématiques abordées étaient parfois complémentaires à notre objectif de recherche.

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High intakes of fruit and vegetables may reduce the risk of cancer at several sites. Evidence has been derived mainly from case-control studies. We reviewed the relationship between consumption of vegetables and fruit and the risk of several common cancers in a network of Italian and Swiss case-control studies including over 10 000 cases of fourteen different cancers and about 17 000 controls. Data were suggestive of a protective role of vegetable intake on the risk of several common epithelial cancers. OR for the highest compared with the lowest levels of consumption ranged from 0·2 (larynx, oral cavity and pharynx) to 0·9 (prostate). Inverse associations were found for both raw and cooked vegetables, although for upper digestive tract cancers the former were somewhat stronger. Similar inverse associations were found for cruciferous vegetables. Frequent consumption of allium vegetables was also associated with reduced risk of several cancers. Fruit was a favourable correlate of the risk of several cancers, particularly of the upper digestive tract, with associations generally weaker than those reported for vegetables. A reduced risk of cancers of the digestive tract and larynx was found for high consumption of citrus fruit. Suggestive protections against several forms of cancer, mainly digestive tract cancers, were found for high consumption of apples and tomatoes. High intakes of fibres, flavonoids and proanthocyanidins were inversely related to various forms of cancer. In conclusion, data from our series of case-control studies suggested a favourable role of high intakes of fruit and vegetables in the risk of many common cancers, particularly of the digestive tract. This adds evidence to the indication that aspects of the Mediterranean diet may have a favourable impact not only on CVD, but also on several common (epithelial) cancers, particularly of the digestive tract.