16 resultados para Brenchley, Julius Lucius (1817-1873) -- Portraits

em Université de Lausanne, Switzerland


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Vingt-six portraits par vingt-six exégètes. Tel est le défi proposé et assumé pour un parcours surprenant de lectures et d'interprétations multiples d'un Dieu unique et en même temps complexe. Quelle cohérence entre le Dieu fracassant de l'Exode et le Dieu crucifié de l'apôtre Paul ? Quelle continuité entre le Dieu de Gédéon et celui de Jésus : " Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? " (Mc 15,34) ? Le Dieu de l'entrée en Canaan ressemble-t-il vraiment à l'Agneau immolé de l'Apocalypse ? Mais déjà, au sein de la Bible hébraïque, les trompettes de Jéricho côtoient le Serviteur souffrant d'Isaïe. Comment comprendre aujourd'hui cette diversité de la présence de Dieu dans la Bible, si ce n'est par la diversité des regards d'exégètes dont la lecture croisée des textes bibliques nous invite à renouveler notre compréhension de Dieu ?

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Cet article tente de circonscrire l'économie des discours gymniques médicaux et orthopédiques entre 1817 et 1847. Il s'agit de décrire l'institutionnalisation d'une investigation des corps (masculins et féminins) au sein de l'orthopédie. Nous analyserons la manière dont les acteurs de la spécialisation contribuent à alimenter le processus en systématisation des pratiques d'exercice corporel, en nous appuyant sur les controverses - méthodologiques, pratiques et symboliques -, inhérentes au processus de structuration de l'espace social médical, et particulièrement à la formation de l'orthopédie.

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Résumé Né à Munich en 1880, Julius Spanier obtient le titre de médecin en 1904. Après deux ans de spécialisation en pédiatrie, il ouvre son propre cabinet de médecin généraliste et spécialiste des maladies de l'enfance à Munich. Dès 1913, il participe à l'essor de la pédiatrie sociale et préventive de sa ville natale en assumant la direction de consultations de nourrissons. Ce travail - en partie interrompu par la Première Guerre mondiale à laquelle a participé le Dr Spanier comme médecin militaire - prend fin en 1933 lors de la prise de pouvoir nazie en raison des origines juives de notre médecin. Ces 30 années correspondent en Allemagne à un essor particulier de la pédiatrie sociale et préventive. Au début du XXème siècle apparaissent les premières consultations de nourrissons ; ainsi que de nombreuses associations de médecine sociale. La Première Guerre mondiale donne un élan décisif à la pédiatrie sociale, qui devient désormais une affaire d'Etat et dont le but est la diminution de la mortalité des nourrissons afin de remplacer les pertes humaines subies sur les champs de bataille. Après la fin de la guerre, les idées eugéniques de promouvoir une race aryenne pure prennent une place croissante dans la pédiatrie sociale. Une autre facette du développement de la pédiatrie sociale en Allemagne est l'institution, vers la fin du XIXème siècle, des premiers médecins scolaires. Le développement de la médecine scolaire est plus discret que celui de la médecine sociale des nourrissons, car suscitant moins d'intérêt de la part de l'Etat. Il s'imprègne aussi cependant des idées eugéniques de l'entre-deux-guerres. A Munich également, la médecine scolaire, fondée en 1907, ne connaît qu'un faible essor, jusqu'en 1933 qui sera le théâtre des réformes nazies. Le Dr Spanier devient en 1919 médecin scolaire en emploi accessoire, s'occupant de deux écoles de quartiers populaires munichois. Lors de la prise de pouvoir par Hitler, il est démis de ses fonctions comme médecin scolaire. Toute une législation dirigée contre les médecins juifs est mise en place, qui conduit en 1938 au retrait du droit d'exercer. Une minorité de médecins, nommés « Krankenbehandler », sont encore autorisés à soigner exclusivement les membres de la communauté juive. A Munich, capitale du mouvement nazi, 14 « Krankenbehandler » sont désignés, dont le Dr Spanier. Leur consultation se trouve dans l'unique hôpital juif de la ville, dont le nombre de lits est largement insuffisant face aux besoins rencontrés au sein de la communauté juive. En plus de son travail comme médecin-chef de l'hôpital juif, le Dr Spanier est médecin dans un camp de travail et un ghetto juifs de Munich. En 1942, lui, sa femme, les infirmières et tous les patients de la clinique sont déportés vers le camp de concentration de Theresienstadt, étape précédant dans la plupart des cas une déportation vers Auschwitz. De 1942 à 1945, le Dr Spanier exerce ses fonctions de médecin auprès des déportés du camp, avec le peu de moyens à disposition et dans un dévouement infatigable. Lui et sa femme échappent miraculeusement à la mort et reviennent à Munich en 1945. Le Dr Spanier assume alors diverses fonctions comme médecin et au sein de diverses organisations de dénazification et reconstruction d'une communauté juive munichoise. Il meurt en 1959.