92 resultados para Base territorial
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
Resection of midline skull base lesions involve approaches needing extensive neurovascular manipulation. Transnasal endoscopic approach (TEA) is minimally invasive and ideal for certain selected lesions of the anterior skull base. A thorough knowledge of endonasal endoscopic anatomy is essential to be well versed with its surgical applications and this is possible only by dedicated cadaveric dissections. The goal in this study was to understand endoscopic anatomy of the orbital apex, petrous apex and the pterygopalatine fossa. Six cadaveric heads (3 injected and 3 non injected) and 12 sides, were dissected using a TEA outlining systematically, the steps of surgical dissection and the landmarks encountered. Dissection done by the "2 nostril, 4 hands" technique, allows better transnasal instrumentation with two surgeons working in unison with each other. The main surgical landmarks for the orbital apex are the carotid artery protuberance in the lateral sphenoid wall, optic nerve canal, lateral optico-carotid recess, optic strut and the V2 nerve. Orbital apex includes structures passing through the superior and inferior orbital fissure and the optic nerve canal. Vidian nerve canal and the V2 are important landmarks for the petrous apex. Identification of the sphenopalatine artery, V2 and foramen rotundum are important during dissection of the pterygopalatine fossa. In conclusion, the major potential advantage of TEA to the skull base is that it provides a direct anatomical route to the lesion without traversing any major neurovascular structures, as against the open transcranial approaches which involve more neurovascular manipulation and brain retraction. Obviously, these approaches require close cooperation and collaboration between otorhinolaryngologists and neurosurgeons.
Resumo:
La notion que le début d'une schizophrénie puisse être marqué par une zone d'ombre aux caractéristiques vagues et aspécifiques n'est pas nouvelle dans l'histoire de la psychiatrie. Cependant, la question de son repérage et des traitements adaptés réapparaît dans les débats psychiatriques au cours de ces dernières années. Beaucoup d'efforts sont actuellement déployés pour repérer les phases prodromales à travers des outils très différents pour ce qui est de la conceptualisation dont ils sont issus (psychiatrique, psychologique ou phénoménologique). Il n'est néanmoins pas clair quelle proposition psychothérapeutique pourrait mieux profiter à ces patients, pour qui il est le plus souvent question d'un malaise aspécifique, du registre relationnel et existentiel, et pas encore d'une « maladie » stricto sensu. Dans cet article, à l'aide d'un suivi psychothérapeutique d'un jeune patient à risque de psychose, la question de la psychothérapie des prodromes est esquissée en essayant d'articuler la notion de symptômes de base, concept psychologique issu des travaux de Huber et Gross, avec une compréhension psychanalytique et d'inspiration phénoménologique. Les symptômes de base et leur transformation possible dans le processus psychothérapeutique sont décrits ainsi dans la perspective d'une théorie de la réparation de l'appareil à penser et de l'intersubjectivité de la dyade thérapeutique.