13 resultados para Apchon, Claude Marc Antoine (1721-1783) -- Portraits

em Université de Lausanne, Switzerland


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Ballet dancers have on average a low bone mineral content (BMC), with elevated fracture-risk, low body mass index (BMI) for age (body mass index, kg/m2), low energy intake, and delayed puberty. This study aims at a better understanding of the interactions of these factors, especially with regard to nutrition. During a competition for pre-professional dancers we examined 127 female participants (60 Asians, 67 Caucasians). They averaged 16.7 years of age, started dancing at 5.8 years, and danced 22 hours/week. Assessments were made for BMI, BMC (DXA), and bone mineral apparent density (BMAD) at the lumbar spine and femoral neck, pubertal stage (Tanner score), and nutritional status (EAT-40 questionnaire and a qualitative three-day dietary record). BMI for age was found to be normal in only 42.5% of the dancers, while 15.7% had a more or less severe degree of thinness (12.6% Grade2 and 3.1% Grade 3 thinness). Menarche was late (13.9 years, range 11 to 16.8 years). Food intake, evaluated by number of consumed food portions, was below the recommendations for a normally active population in all food groups except animal proteins, where the intake was more than twice the recommended amount. In this population, with low BMI and intense exercise, BMC was low and associated with nutritional factors; dairy products had a positive and non-dairy proteins a negative influence. A positive correlation between BMAD and years since menarche confirmed the importance of exposure to estrogens and the negative impact of delayed puberty. Because of this and the probable negative influence of a high intake of non-dairy proteins, such as meat, fish, and eggs, and the positive association with a high dairy intake, ballet schools should promote balanced diets and normal weight and should recognize and help dancers avoid eating disorders and delayed puberty caused by extensive dancing and inadequate nutrition.

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Comment se prépare et s'expérimente la transition à l'âge adulte lors de placements juvéniles? Ce livre est une invitation à entrer dans la réalité institutionnelle d'adolescentes et d'adolescents proches de leur majorité, placés dans des structures d'hébergement socio-­éducatives, appelées aussi foyers. Basé sur un riche matériel de terrain, il dévoile toute la complexité du travail d'accompagnement en interrogeant la place centrale accordée à la notion d'autonomie dans les prises en charge éducatives. Il prend appui autant sur le point de vue des professionnel·le·s que sur celui des jeunes placé·e·s pour montrer comment les dimensions identitaires, civiles et citoyennes viennent s'adosser à la mission de ces institutions, en particulier lors des nombreuses séquences ritualisées qui rythment le vivre ensemble jour après jour. Il en résulte une analyse anthropologique originale du placement juvénile qui intéressera le monde professionnel directement aux prises avec les réalités de ces adolescentes et de ces adolescents souvent issus de groupes socio­-économiques défavorisés. Les réflexions proposées intéresseront également le monde des sciences sociales soucieux de comprendre la façon dont les institutions articulent des vécus singuliers aux attentes politiques et sociales qui pèsent sur une partie de la jeunesse.

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The structural basis of the antifracture efficacy of strontium ranelate and alendronate is incompletely understood. We compared the effects of strontium ranelate and alendronate on distal tibia microstructure over 2 years using HR-pQCT. In this pre-planned, interim, intention-to-treat analysis at 12 months, 88 osteoporotic postmenopausal women (mean age 63.7 +/- 7.4) were randomized to strontium ranelate 2 g/day or alendronate 70 mg/week in a double-placebo design. Primary endpoints were changes in microstructure. Secondary endpoints included lumbar and hip areal bone mineral density (aBMD), and bone turnover markers. This trial is registered with http://www.controlled-trials.com, number ISRCTN82719233. Baseline characteristics of the two groups were similar. Treatment with strontium ranelate was associated with increases in mean cortical thickness (CTh, 5.3%), cortical area (4.9%) and trabecular density (2.1%) (all P < 0.001, except cortical area P = 0.013). No significant changes were observed with alendronate. Between-group differences in favor of strontium ranelate were observed for CTh, cortical area, BV/TV and trabecular density (P = 0.045, 0.041, 0.048 and 0.035, respectively). aBMD increased to a similar extent with strontium ranelate and alendronate at the spine (5.7% versus 5.1%, respectively) and total hip (3.3% versus 2.2%, respectively). No significant changes were observed in remodeling markers with strontium ranelate, while suppression was observed with alendronate. Within the methodological constraints of HR-pQCT through its possible sensitivity to X-ray attenuation of different minerals, strontium ranelate had greater effects than alendronate on distal tibia cortical thickness and trabecular volumetric density.

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A nationwide survey was conducted in Switzerland to assess the quality level of osteoporosis management in patients aged 50 years or older presenting with a fragility fracture to the emergency ward of the participating hospitals. Eight centres recruited 4966 consecutive patients who presented with one or more fractures between 2004 and 2006. Of these, 3667 (2797 women, 73.8 years old and 870 men, 73.0 years old in average) were considered as having a fragility fracture and included in the survey. Included patients presented with a fracture of the upper limbs (30.7%), lower limbs (26.4%), axial skeleton (19.5%) or another localisation, including malleolar fractures (23.4%). Thirty-two percent reported one or more previous fractures during adulthood. Of the 2941 (80.2%) hospitalised women and men, only half returned home after discharge. During diagnostic workup, dual x-ray absorptiometry (DXA) measurement was performed in 31.4% of the patients only. Of those 46.0% had a T-score < or =-2.5 SD and 81.1% < or =-1.0 SD. Osteoporosis treatment rate increased from 26.3% before fracture to 46.9% after fracture in women and from 13.0% to 30.3% in men. However, only 24.0% of the women and 13.8% of the men were finally adequately treated with a bone active substance, generally an oral bisphosphonate, with or without calcium / vitamin D supplements. A positive history of previous fracture vs none increased the likelihood of getting treatment with a bone active substance (36.6 vs 17.9%, ? 18.7%, 95% CI 15.1 to 22.3, and 22.6 vs 9.9%, ? 12.7%, CI 7.3 to 18.5, in women and men, respectively). In Switzerland, osteoporosis remains underdiagnosed and undertreated in patients aged 50 years and older presenting with a fragility fracture.

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Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.