3 resultados para 290-1

em Université de Lausanne, Switzerland


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Objectives: Glutamine synthetase is a critical step in the glutamate-glutamine cycle, the major mechanism of glutamate neurotransmission and is implicated in the mechanism of ammonia toxicity. 15N MRS is an alternative approach to 13C MRS in studying glutamate- glutamine metabolism. 15N MRS studies allow to measure an apparent glutamine synthesis rate (Vsyn) which reflects a combination of the glutamate- glutamine cycle activity (Vnt) and net glutamine accumulation. The net glutamine synthesis (Vsyn-Vnt) can be directly measured from 1H NMR. Therefore, the aim of this study was to perform in vivo localized 1H MRS interleaved with 15N MRS to directly measure the net glutamine synthesis rate and the apparent glutamine synthesis rate under 15N labeled ammonia infusion in the rat brain, respectively. Methods: 1H and 15N MRS data were acquired interleaved on a 9.4T system (Varian/Magnex Scientific) using 5 rats. 15NH4Cl solution was infused continuously into the femoral vein for up to 10 h (4.5 mmol/h/kg).1 The plasma ammonia concentration was increased to 0.95±0.08 mmol/L (Analox GM7 analyzer). 1H spectra were acquired and quantified as described previously.2 15N unlocalized and localized spectra were acquired using the sequence;3 and quantified using AMARES and an external reference method.4 The metabolic model used to analyze the total Gln and 5-15N labeled Gln time courses is shown on Figure 1A. Results: Glutamine concentration increased from 2.5±0.3 to 15±3.3 mmol/kg whereas the total glutamate concentrations remained unchanged (Figure 1B). The linear fit of the time-evolution of the total Gln from the 1H spectra gave the net synthesis flux (Vsyn-Vnt), which was 0.021± 0.006 mmol/min per g (Figure 1D). The 5-15N Gln peak (_271 ppm) was visible in the first and all subsequent scans, whereas the 2-15N Gln/Glu peak (_342 ppm) appeared after B1.5 h (Figure 1C). From the in vivo 5-15N Gln time course, Vsyn = 0.29±0.1 mmol/min per g and a plasma NH3 fractional enrichment of 71%±6% were calculated. Vnt was 0.26±0.1 mmol/min/g, obtained assuming a negligible Gln efflux.5 Vsyn and Vnt were within the range of 13C NMR measurements.6 Conclusion: The combination of 1H and 15N NMR allowed for the first time a direct and localized measurement of Vnt and apparent glutamine synthesis rate. Vnt is approximately one order of magnitude faster than the net glutamine accumulation.

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CHAPITRE PREMIER: INTRODUCTION 1. Considérer l'idéal... L'idéal n'est probablement pas de ce monde, mais il importe de tendre vers lui. Il restera peut-être hors de portée, mais le seul fait de le considérer doit déjà être assimilé à un progrès. Dans le cadre de l'exécution des peines privatives de liberté, l'idéal dont nous parlons ici fait référence à la prise en charge du détenu et à la volonté d'offrir à ce dernier, un jour, la possibilité de réintégrer la société. Le système carcéral se doit dès lors de mettre tout en oeuvre pour permettre au détenu d'acquérir les outils nécessaires à sa future liberté; cette liberté qui, dès les premiers jours d'incarcération déjà, devra être envisagée. L'idéal est donc de voir le détenu évoluer progressivement vers le monde libre, le respect de ce monde et des valeurs qu'il véhicule. C'est l'idéal que dessine le nouveau Code pénal (CP), plus particulièrement au travers des principes qu'il consacre aux articles 74 et 75 al. 1 CP: «le détenu a droit au respect de [sa] dignité»; «l'exercice de [ses] droits ne peut être restreint que dans la mesure requise par la privation de liberté et par les exigences de la vie collective dans l'établissement»; «l'exécution de la peine [...] doit améliorer le comportement social du détenu»; «l'exécution de la peine doit correspondre autant que possible à des conditions de vie ordinaires, assurer au détenu l'assistance nécessaire» et «combattre les effets nocifs de la privation de liberté». De la réalité carcérale à l'idéal législatif, il est toutefois certains écueils. Les différents professionnels qui sont en contact avec les détenus le confirmeront volontiers, pour la plupart. Il existe des détenus qui ne veulent pas se réintégrer diront certains, alors que d'autres mettront en avant l'insuffisance de moyens humains ou financiers. Une réalité doit cependant triompher de toutes les autres: il est nécessaire de faire évoluer le système pénitentiaire. Tout comme la société, dont elle est partie intégrante, la prison doit évoluer avec son temps, et les développements que suit le monde libre se doivent d'aller au-delà des murs. Notre approche de la thématique restera évidemment théorique, mais elle sera dictée par cette volonté progressiste. Si les concepts abordés peuvent parfois paraître naïfs dans leur développement, ils n'en seront pas moins l'expression d'un idéal, celui-là même qu'il est bon de considérer, parfois, pour permettre le progrès. II. La méthodologie La difficulté de traiter des principes régissant l'exécution des peines privatives de liberté est multiple. L'une des premières problématiques est liée au fédéralisme suisse et au fait que l'exécution des peines ressort de la compétence cantonale (art. 123 al. 2 Cst.). Il en résulte des pratiques cantonales parfois différentes. Il est alors non seulement difficile d'aborder l'ensemble des ces différences, mais il peut même être discutable de les tolérer, au sens où elles présentent parfois des inégalités de traitement entre les détenus du pays. L'attribution récente de compétences expresses en la matière à la Confédération (art. 123 al. 3ère phr. Cst.) devrait toutefois permettre, à notre sens, de réduire ces inégalités et, plus généralement, de favoriser une uniformisation des pratiques à travers le pays. Une deuxième difficulté est due à l'évolution législative actuelle. En effet, l'entrée en vigueur du nouveau Code pénal impose une «mise à jour» substantielle aux cantons, dont les normes mais aussi les infrastructures doivent être adaptées au nouveau droit. Au-delà du nombre considérable de bases légales que compte notre pays en matière d'exécution des peines privatives de liberté, il faut en outre jongler avec l'élaboration d'une multitude de nouvelles lois cantonales. Nous renonçons à dresser ici la liste exhaustive des bases légales cantonales concernées, non seulement parce qu'il nous paraît difficile de connaître l'ensemble de ces évolutions législatives récentes ou à venir, mais aussi parce qu'il s'agit avant tout de traiter de problématiques générales soulevées par l'exécution des peines privatives de liberté, ce qui ne nécessite pas une revue exhaustive des différentes législations cantonales. Certaines de ces bases légales seront néanmoins mentionnées, ci et là, pour illustrer ou appuyer quelques-uns de nos propos. La troisième difficulté qu'il faut mentionner ici relève du lien étroit qui existe entre le droit de l'exécution des peines et la criminologie, ainsi que, plus généralement, l'ensemble des sciences s'intéressant à la déviance en tant que maladie (psychiatrie, psychologie, médecine, etc.). Il nous semble en effet difficile de traiter de la prise en charge du détenu par la seule voie juridique et, à ce titre, nous proposerons une analyse empreinte de considérations criminologiques substantielles et notamment de différentes données fournies par des études de criminologie. Dans la limite de nos compétences - plus que restreintes en la matière -, il sera parfois également traité de l'exécution des peines sous l'angle de la psychologie, de la psychiatrie, ou encore de la médecine. Enfin, il faut reconnaître que la thématique traitée est vaste. Les différents principes énumérés aux articles 74 et 75 al. 1 CP ne peuvent en effet être abordés sans que référence soit faite aux nombreuses dispositions traitant de l'exécution des peines privatives de liberté et qui se doivent d'en être la consécration. Cette réalité impose une approche générale du fonctionnement du milieu carcéral et l'analyse de l'exécution d'une peine privative de liberté sur toute sa durée, du premier jour d'incarcération jusqu'à la libération, en passant par les différents aménagements et élargissements possibles qui, très souvent, seront essentiels à la réintégration sociale du détenu. En l'espèce, il nous semble nécessaire de rappeler ici la particularité de la population étudiée, qui se distingue notamment par son hétérogénéité. Or, il ne sera pas toujours possible, dans le cadre de ce travail tout au moins, de s'arrêter sur les spécificités propres à chaque type de détenu(s). On pense ici plus particulièrement aux détenus étrangers - qui sont nombreux dans les prisons suisses -, plus particulièrement lorsque ceux-ci font l'objet d'une mesure d'expulsion au terme de leur peine. Certains se demandent en effet s'il est pertinent de favoriser la resocialisation d'un individu qui ne résidera pas en Suisse une fois libéré, sans parler des difficultés pratiques qu'il peut y avoir à proposer un régime progressif, et plus particulièrement l'ouverture vers l'extérieur, à des gens qui n'ont, aux plus proches alentours (la Suisse est un petit pays) de l'établissement de détention, aucune attache sociale. Il nous semble toutefois ressortir du devoir étatique d'offrir, à ces personnes aussi, une exécution de peine qui, dans toute la mesure du possible, ressemble à celle réservée aux indigènes. C'est dans cette optique, d'ailleurs, que nous tenterons de traiter de quelques unes des principales problématiques soulevées par la mise en application des principes régissant l'exécution des peines privatives de liberté.

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OBJECTIVE: Best long-term practice in primary HIV-1 infection (PHI) remains unknown for the individual. A risk-based scoring system associated with surrogate markers of HIV-1 disease progression could be helpful to stratify patients with PHI at highest risk for HIV-1 disease progression. METHODS: We prospectively enrolled 290 individuals with well-documented PHI in the Zurich Primary HIV-1 Infection Study, an open-label, non-randomized, observational, single-center study. Patients could choose to undergo early antiretroviral treatment (eART) and stop it after one year of undetectable viremia, to go on with treatment indefinitely, or to defer treatment. For each patient we calculated an a priori defined "Acute Retroviral Syndrome Severity Score" (ARSSS), consisting of clinical and basic laboratory variables, ranging from zero to ten points. We used linear regression models to assess the association between ARSSS and log baseline viral load (VL), baseline CD4+ cell count, and log viral setpoint (sVL) (i.e. VL measured ≥90 days after infection or treatment interruption). RESULTS: Mean ARSSS was 2.89. CD4+ cell count at baseline was negatively correlated with ARSSS (p = 0.03, n = 289), whereas HIV-RNA levels at baseline showed a strong positive correlation with ARSSS (p<0.001, n = 290). In the regression models, a 1-point increase in the score corresponded to a 0.10 log increase in baseline VL and a CD4+cell count decline of 12/µl, respectively. In patients with PHI and not undergoing eART, higher ARSSS were significantly associated with higher sVL (p = 0.029, n = 64). In contrast, in patients undergoing eART with subsequent structured treatment interruption, no correlation was found between sVL and ARSSS (p = 0.28, n = 40). CONCLUSION: The ARSSS is a simple clinical score that correlates with the best-validated surrogate markers of HIV-1 disease progression. In regions where ART is not universally available and eART is not standard this score may help identifying patients who will profit the most from early antiretroviral therapy.