555 resultados para relations mère-enfant
Resumo:
Previous studies reported on the association of left ventricular mass index (LVMI) with urinary sodium or with circulating or urinary aldosterone. We investigated the independent associations of LVMI with the urinary excretion of both sodium and aldosterone. We randomly recruited 317 untreated subjects from a white population (45.1% women; mean age 48.2 years). Measurements included echocardiographic left ventricular (LV) properties, the 24-hour urinary excretion of sodium and aldosterone, plasma renin activity (PRA), and proximal (RNa(prox)) and distal (RNa(dist)) renal sodium reabsorption, assessed from the endogenous lithium clearance. In multivariable-adjusted models, we expressed changes in LVMI per 1-SD increase in the explanatory variables, while accounting for sex, age, systolic blood pressure, and the waist-to-hip ratio. LVMI increased independently with the urinary excretion of both sodium (+2.48 g/m(2); P=0.005) and aldosterone (+2.63 g/m(2); P=0.004). Higher sodium excretion was associated with increased mean wall thickness (MWT: +0.126 mm, P=0.054), but with no change in LV end-diastolic diameter (LVID: +0.12 mm, P=0.64). In contrast, higher aldosterone excretion was associated with higher LVID (+0.54 mm; P=0.017), but with no change in MWT (+0.070 mm; P=0.28). Higher RNa(dist) was associated with lower relative wall thickness (-0.81x10(-2), P=0.017), because of opposite trends in LVID (+0.33 mm; P=0.13) and MWT (-0.130 mm; P=0.040). LVMI was not associated with PRA or RNa(prox.) In conclusion, LVMI independently increased with both urinary sodium and aldosterone excretion. Increased MWT explained the association of LVMI with urinary sodium and increased LVID the association of LVMI with urinary aldosterone.
Resumo:
Les maladies autoinflammatoires font partie du diagnostic différentiel de l'état fébrile à répétition chez lenfant. Ces maladies sont caractérisées par des poussées inflammatoires sans cause évidente. Certaines de ces maladies, comme la Fièvre méditerranéenne familiale, ont une origine génétique et nécessitent un traitement régulier pour éviter des conséquences graves à long terme. Le syndrome de PFAPA est la plus fréquente des fièvres récurrentes et son diagnostic se base sur des critères diagnostiques peu précis. Son traitement reste controversé. La prednisone en dose unique permet d'interrompre la poussée et l'amygdalectomie peut induire une rémission dans une majorité des cas. The autoinflammatory diseases should be considered in the differential diagnosis of recurrent fever in childhood. These diseases are characterized by inflammatory episodes without an evident cause. Some of these diseases, like the Familial Mediterranean Fever, have a genetic origin and need a chronic treatment to avoid severe complications on the long term. PFAPA syndrome is the most frequent cause of recurrent fever and is diagnosed based on unspecific criteria. The treatment is still controversial. One dose of Prednisone is able to interrupt the flare and tonsillectomy may induce a remission in the majority of the cases
Resumo:
RÉSUMÉ La prise en charge des fractures de l'enfant a beaucoup évolué au cours des quinze dernières années. Les spécificités pédiatriques des mécanismes de réparation osseuse rendaient nécessaires des modalités de traitement se différenciant de l'ostéosynthèse adulte classique qui suivait les principes de réduction anatomique et de stabilité. Chez l'enfant le traitement conservateur des fractures reste le moyen le plus fréquemment employé. Cependant, ce traitement s'avérait imparfait dans le cas de la fracture fémorale car il impliquait une hospitalisation prolongée. Ceci a mené à réaliser des ostéosynthèses classiques et trop invasives chez des patients pédiatriques, entraînant des hyperallongements parfois importants. C'est ainsi que de nouvelles techniques adaptées à l'enfant sont apparues, tels que l'enclouage centro-médullaire élastique stable (ECMES) et le fixateur externe dynamisable (FED). Nous rapportons ici l'expérience du Service de Chirurgie Pédiatrique du CHUV à Lausanne. Entre 1988 et 1996, nous avons recensé 265 cas de fractures fémorales chez des enfants âgés entre 0 et 15 ans : 227 sont diaphysaires, 23 épiphysaires, 8 cervicales, 7 per- ou sous-trochantériennes. Parmi celles-ci, 94 fractures diaphysaires, 11 épiphysaires, 4 trochantériennes et toutes les cervicales ont bénéficié d'un traitement chirurgical. Nous avons étudié rétrospectivement 96 fractures traitées par ECMES, ce qui représente le traitement chirurgical standard de la fracture diaphysaire fémorale dans notre service. La majorité de ces fractures est liée aux accidents de la route (41%) ou au ski (27%). Le collectif comprend 7 enfants polytraumatisés, 3 fractures du membre inférieur controlatéral, 1 fracture du tibia homolatéral et une fracture instable du bassin. Après ECMES, la mobilisation débute généralement entre le troisième et le douzième jour postopératoire selon l'âge de l'enfant, le type de fracture et surtout les lésions associées. La durée moyenne d'hospitalisation est de 12 jours. Le suivi moyen est de 16 à 21 mois selon la catégorie d'âge, le type de fracture et la compliance du patient et des parents. Dans les suites, nous avons pu observer que l'hyperallongement du membre concerné affecte plus souvent les patients les plus jeunes (3-5 ans) tandis que les raccourcissements du membre fracturé concernent les enfants plus âgés (12-15 ans). La complication la plus fréquemment rencontrée est la migration des broches dont la fréquence varie entre 8% et 25% selon l'âge. Un total de 11% tout âge confondu nécessite un traitement ou une reprise. Chez les enfants de moins de 8 ans, avec migration de broches, la moitié des cas nécessite d'une reprise, tandis que le montage est repris dans tous les cas de plus de 8 ans. L'ECMES offre l'avantage d'une technique simple, peu invasive, peu coûteuse, qui utilise les capacités de guérison spécifique de l'enfant. Il permet des séjours hospitaliers courts et favorise une bonne consolidation respectant la biologie de guérison et autorisant une reprise précoce de l'activité physique. Les complications sont peu nombreuses et les résultats orthopédiques, comparables à ceux du traitement conservateur.