143 resultados para Daloz, Jean-Pascal


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction: Biological. therapy has dramatically changed management of Crohn's disease (CD). New data have confirmed the benefit and relative long-term safety of anti-TNF alpha inhibition as part of a regular scheduled administration programme. The EPACT appropriateness criteria for maintenance treatment after medically-induced remission (MIR) or surgically-induced remission (SIR) of CD thus required updating. Methods: A multidisciplinary international expert panel (EPACT II, Geneva, Switzerland) discussed and anonymously rated detailed, explicit clinical indications based on evidence in the literature and personal expertise. Median ratings (on a 9-point scale) were stratified into three assessment categories: appropriate (7-9), uncertain (4-6 and/or disagreement) and inappropriate (1-3). Experts ranked appropriate medication according to their own clinical practice, without any consideration of cost. Results: Three hundred and ninety-two specific indications for maintenance treatment of CD were rated (200 for MIR and 192 for SIR). Azathioprine, methotrexate and/or anti-TNF alpha antibodies were considered appropriate in 42 indications, corresponding to 68% of all appropriate interventions (97% of MIR and 39% of SIR). The remaining appropriate interventions consisted of mesalazine and a "wait-and-see" strategy. Factors that influenced the panel's voting were patient characteristics and outcome of previous treatment. Results favour use of anti-TNF alpha agents after failure of any immunosuppressive therapy, while earlier primary use remains controversial. Conclusion: Detailed explicit appropriateness criteria (EPACT) have been updated for maintenance treatment of CD. New expert recommendations for use of the classic immunosuppressors as well as anti-TNF alpha agents are now freely available online (www.epact.ch). The validity of these criteria should now be tested by prospective evaluation. (C) 2009 European Crohn's and Colitis Organisation. Published by Elsevier B.V. All rights reserved.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Health assessment and medical surveillance of workers exposed to combustion nanoparticles are challenging. The aim was to evaluate the feasibility of using exhaled breath condensate (EBC) from healthy volunteers for (1) assessing the lung deposited dose of combustion nanoparticles and (2) determining the resulting oxidative stress by measuring hydrogen peroxide (H2O2) and malondialdehyde (MDA). Methods: Fifteen healthy nonsmoker volunteers were exposed to three different levels of sidestream cigarette smoke under controlled conditions. EBC was repeatedly collected before, during, and 1 and 2 hr after exposure. Exposure variables were measured by direct reading instruments and by active sampling. The different EBC samples were analyzed for particle number concentration (light-scattering-based method) and for selected compounds considered oxidative stress markers. Results: Subjects were exposed to an average airborne concentration up to 4.3×10(5) particles/cm(3) (average geometric size ∼60-80 nm). Up to 10×10(8) particles/mL could be measured in the collected EBC with a broad size distribution (50(th) percentile ∼160 nm), but these biological concentrations were not related to the exposure level of cigarette smoke particles. Although H2O2 and MDA concentrations in EBC increased during exposure, only H2O2 showed a transient normalization 1 hr after exposure and increased afterward. In contrast, MDA levels stayed elevated during the 2 hr post exposure. Conclusions: The use of diffusion light scattering for particle counting proved to be sufficiently sensitive to detect objects in EBC, but lacked the specificity for carbonaceous tobacco smoke particles. Our results suggest two phases of oxidation markers in EBC: first, the initial deposition of particles and gases in the lung lining liquid, and later the start of oxidative stress with associated cell membrane damage. Future studies should extend the follow-up time and should remove gases or particles from the air to allow differentiation between the different sources of H2O2 and MDA.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.