154 resultados para cortical thickness


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PURPOSE: Extensive multilobar cortical dysplasia in infants commonly is first seen with catastrophic epilepsy and poses a therapeutic challenge with respect to control of epilepsy, brain development, and psychosocial outcome. Experience with surgical treatment of these lesions is limited, often not very encouraging, and holds a higher operative risk when compared with that in older children and adults. METHODS: Two infants were evaluated for surgical control of catastrophic epilepsy present since birth, along with a significant psychomotor developmental delay. Magnetic resonance imaging showed multilobar cortical dysplasia (temporoparietooccipital) with a good electroclinical correlation. They were treated with a temporal lobectomy and posterior (parietooccipital) disconnection. RESULTS: Both infants had excellent postoperative recovery and at follow-up (1.5 and 3.5 years) evaluation had total control of seizures with a definite "catch up" in their development, both motor and cognitive. No long-term complications have been detected to date. CONCLUSIONS: The incorporation of disconnective techniques in the surgery for extensive multilobar cortical dysplasia in infants has made it possible to achieve excellent seizure results by maximizing the extent of surgical treatment to include the entire epileptogenic zone. These techniques decrease perioperative morbidity, and we believe would decrease the potential for the development of long-term complications associated with large brain excisions.

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Résumé Les rongeurs utilisent leurs moustaches (vibrisses) pour explorer le milieu environnant. Chaque moustache est mue par un système des muscles. Les récepteurs situés à sa base transmettent les informations au système nerveux central. La transmission vers l'écorce se fait via trois neurones de relais qui se trouvent au niveau du ganglion trigéminé, du tronc cérébral et du thalamus. La représentation corticale d'une vibrisse est une concentration des axones thalamo-corticaux (ATC) autour desquelles s'organisent leurs cibles, les cellules de la couche IV. La structure peut être identifiée histologiquement en coupes tangentielles et porte le nom de « barrel » (« tonneau »). Cette correspondance vibrisse - barrel fait de ce système un model idéal pour étudier l'influence de l'activité périphérique sur l'établissement et le maintien des cartes somatotopiques. Notre laboratoire dispose d'une souche de souris qui a subi une mutation spontanée pour le gène codant l'adenylyl cyclase I (ACI). Cette enzyme membranaire catalyse la formation de l'AMPc et joue un rôle important dans le guidage axonal, la libération des neurotransmetteurs et l'intégration des signaux postsynaptiques. Nous avons démontré dans un premier temps que cette souris adulte ne développe pas de barrels. Cela est dû à un manque d'organisation des ATC et aussi des cellules de la couche IV. De plus, les résultats électrophysiologiques montrent que les informations venant des vibrisses adjacentes ne sont pas intégrées d'une manière normale. Dans ce travail de thèse, j'ai analysé la morphologie des ATC révélés individuellement avec de la biocytine. L'analyse quantitative des ATC a mis en évidence les points suivants: 1. Les axones de la souris normale (NOR) quittent le thalamus, traversent la capsule interne et la substance blanche sous-corticale et pénètrent dans le cortex somato-sensoriel primaire. A l'intérieur de l'écorce ils traversent au maximum 3 colonnes corticales adjacentes dont une contient le barrel cible. En passant à travers les couches VI et V, ces axones arborisent et convergent progressivement vers le barrel dans lequel ils forment une riche arborisation. Un petit nombre des branches « errantes », pleines de boutons synaptiques, pénètrent dans les barrels voisins. Deux axones NOR provenant de corps cellulaires très proches dans le thalamus peuvent avoir un cheminement très divergent lors de la traversée de la capsule interne et de la substance blanche sous-corticale mais, à leur entrée dans le cortex, ils sont distants d'au maximum 2 colonnes corticales de la colonne qui contient le barrel cible et ils convergent progressivement vers ce barrel. 2. Les axones de la souris mutante (BRL) ont le même trajet sous-cortical que les axones NOR, mais leur entrée dans le cortex somato-sensoriel primaire est aléatoire. A l'interface entre la substance blanche sous-corticale et le cortex, l'axone principal se divise rapidement en troncs axonaux qui traversent les couches VI et V d'une manière divergente pour arriver dans la couche IV. Cela contraste beaucoup avec la trajectoire des NOR qui convergent graduellement vers leur barrel cible. Le nombre de branches radiales que les axones BRL utilisent pour entrer dans le cortex et dans la couche IV est double par rapport aux axones NOR. Parmi ces branches, seules quelques-unes donnent des arborisations, les autres ne sont pas développées et leur morphologie est semblable à celle des branches formées par les axones de la souris normale lors du développement. Deux axones BRL issus de corps cellulaires proches dans le thalamus peuvent avoir une trajectoire très divergente jusqu'à leur entrée dans la couche IV, mais à ce niveau ils sont réorientés pour se retrouver et faire un nombre maximal de branches et boutons synaptiques dans la même région corticale. Dans un cas extrême, un des axones observés est entré dans le cortex à la limite entre l'aire somatosensorielle primaire et secondaire et a parcouru une distance de 2 mm pour retrouver son partenaire thalamique et donner avec celui-ci un nombre maximal de branches dans la même région de la couche IV. 3. Les mesures quantitatives ont montré que les arborisations corticales des axones NOR ont une longueur moyenne de 18mm et sont formées par 200 segments qui portent 1200 boutons synaptiques. Par rapport à la souris NOR, les axones BRL ont en moyenne la même longueur, le même nombre de segments et boutons synaptiques, mais donnent deux fois plus de branches radiales. La surface tangentielle occupée par les arborisations BRL dans la couche IV est 2 fois plus grande que celle des NOR. Cela signifie que les 1000 boutons synaptiques qui caractérisent les arborisations NOR et BRL dans la couche IV sont disséminés sur une surface tangentielle double chez les derniers, et donc que la densité des boutons par unité de surface corticale est en moyenne plus faible. En effet, l'augmentation de la surface corticale tangentielle des BRL est due aux surfaces de faible et moyenne densité synaptique (0 - 8 boutons / 400pn2) qui augmentent 2 fois tandis que les surfaces de haute densité synaptiques (8 - 64 boutons / 4001.tm2) sont les mêmes. Nous émettons l'hypothèse selon laquelle, durant le développement, les ATC de la souris BRL divergent et forment un nombre exubérant de branches. Grâce à cette divergence et aux branches supranuméraires, ils trouvent l'endroit de l'écorce où se trouvent leurs voisins thalamiques et arborisent abondamment dans cette région. Cependant, le déficit en AGI ne leurs permet pas par la suite, sous influence de l'activité périphérique, de retirer les branches qui se trouvent dans les endroits inappropriés de l'écorce, avec de possibles conséquences sur la discrimination tactile.

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BACKGROUND: Chest wall resection and reconstruction can be performed with minimal mortality and excellent functional and cosmetic results using synthetic meshes, methylmethacrylate, or other substitutes. However, these techniques are less easily applicable if chest wall resections have to be performed for infections. METHODS: We report a novel technique for this purpose using a modified latissimus dorsi flap harvested in continuity with the thoracolumbar fascia. The vascularized fascia was sutured into the chest wall defect, providing a stable base for the muscular component of the flap. Three patients requiring large full-thickness resections of the anterolateral chest wall for chronic infections were treated accordingly, two presenting with chronic radionecrosis and osteomyelitis and one with chest wall invasion by pulmonary aspergillosis. RESULTS: There were no intraoperative or postoperative complications and immediate extubation was possible in all 3 patients without the need for postoperative ventilation or tracheotomy. Healing of the infected chest wall was observed in all 3 patients. Postoperative cinemagnetic resonance imaging revealed concordant movements of the replaced segments without evidence of paradoxical motion during inspiration and expiration. CONCLUSIONS: This technique is easy and safe. It allows a stable and satisfactory reconstruction after large anterolateral full-thickness chest wall resections of infected, previously irradiated tissues, using only well-vascularized autologous tissue.

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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.

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OBJECTIVES: The objective of this study was to evaluate associations between aortic pulse wave velocity (PWV) and aortic and carotid vessel wall thickness (VWT) using cardiovascular magnetic resonance imaging (MRI) in patients with hypertension as compared with healthy adult volunteers. MATERIALS AND METHODS: Local medical ethics approval was obtained and the participants gave informed consent. Fifteen patients with hypertension (5 men and 10 women; mean [SD] age, 49 [14] years) and 15 age- and sex-matched healthy volunteers were prospectively included and compared. All participants underwent MRI examination for measuring aortic and carotid VWT and aortic PWV with well-validated MRI techniques at 1.5- and 3-T MRI systems: PWV was assessed from velocity-encoded MRI and VWT was assessed by using dual-inversion black-blood gradient-echo imaging techniques. Paired t tests were used for testing differences between the volunteers and the patients and Pearson correlation (r) and univariable and multivariable stepwise linear regression analyses were used to test associations between aortic and carotid arterial wall thickness and stiffness. RESULTS: Mean values for aortic PWV and aortic and carotid VWT (indexed for body surface area [BSA]) were all significantly higher in patients with hypertension as compared with the healthy volunteers (ie, aortic PWV, 7.0 ± 1.4 m/s vs 5.7 ± 1.3 m/s; aortic VWT/BSA, 0.12 ± 0.03 mL/m vs 0.10 ± 0.03 mL/m; carotid VWT/BSA, 0.04 ± 0.01 mL/m vs 0.03 ± 0.01 mL/m; all P < 0.01). Aortic PWV was highly correlated with aortic VWT/BSA (r = 0.76 and P = 0.002 in the patients vs r = 0.63 and P = 0.02 in the volunteers), and in the patients, aortic PWV was moderately correlated with carotid VWT/BSA (r = 0.50; P = 0.04). In the volunteers, correlation between aortic PWV and carotid VWT/BSA was not significant (r = 0.40; P = 0.13). In addition, aortic VWT/BSA was significantly correlated with carotid VWT/BSA, in both the patients (r = 0.60; P = 0.005) and volunteers (r = 0.57; P = 0.007). CONCLUSIONS: In the patients with hypertension and the healthy volunteers, the aortic PWV is associated more strongly with aortic wall thickness than with carotid wall thickness, reflecting site-specific coupling between vascular wall thickness and function.

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Proper division plane positioning is essential to achieve faithful DNA segregation and to control daughter cell size, positioning, or fate within tissues. In Schizosaccharomyces pombe, division plane positioning is controlled positively by export of the division plane positioning factor Mid1/anillin from the nucleus and negatively by the Pom1/DYRK (dual-specificity tyrosine-regulated kinase) gradients emanating from cell tips. Pom1 restricts to the cell middle cortical cytokinetic ring precursor nodes organized by the SAD-like kinase Cdr2 and Mid1/anillin through an unknown mechanism. In this study, we show that Pom1 modulates Cdr2 association with membranes by phosphorylation of a basic region cooperating with the lipid-binding KA-1 domain. Pom1 also inhibits Cdr2 interaction with Mid1, reducing its clustering ability, possibly by down-regulation of Cdr2 kinase activity. We propose that the dual regulation exerted by Pom1 on Cdr2 prevents Cdr2 assembly into stable nodes in the cell tip region where Pom1 concentration is high, which ensures proper positioning of cytokinetic ring precursors at the cell geometrical center and robust and accurate division plane positioning.

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This study investigated behavioural and electro-cortical reorganizations accompanying intentional switching between two distinct bimanual coordination tapping modes (In-phase and Anti-phase) that differ in stability when produced at the same movement rate. We expected that switching to a less stable tapping mode (In-to-Anti switching) would lead to larger behavioural perturbations and require supplementary neural resources than switching to a more stable tapping mode (Anti-to-In switching). Behavioural results confirmed that the In-to-Anti switching lasted longer than the Anti-to-In switching. A general increase in attention-related neural activity was found at the moment of switching for both conditions. Additionally, two condition-dependent EEG reorganizations were observed. First, a specific increase in cortico-cortical coherence appeared exclusively during the In-to-Anti switching. This result may reflect a strengthening in inter-regional communication in order to engage in the subsequent, less stable, tapping mode. Second, a decrease in motor-related neural activity (increased beta spectral power) was found for the Anti-to-In switching only. The latter effect may reflect the interruption of the previous, less stable, tapping mode. Given that previous results on spontaneous Anti-to-In switching revealing an inverse pattern of EEG reorganization (decreased beta spectral power), present findings give new insight on the stability-dependent neural correlates of intentional motor switching. © 2010 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved

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BACKGROUND: Articular surfaces reconstruction is essential in total shoulder arthroplasty. Because of the limited glenoid bone support, thin glenoid component could improve anatomical reconstruction, but adverse mechanical effects might appear. METHODS: With a numerical musculoskeletal shoulder model, we analysed and compared three values of thickness of a typical all-polyethylene glenoid component: 2, 4 (reference) and 6mm. A loaded movement of abduction in the scapular plane was simulated. We evaluated the humeral head translation, the muscle moment arms, the joint force, the articular contact pattern, and the polyethylene and cement stress. Findings Decreasing polyethylene thickness from 6 to 2mm slightly increased humeral head translation and muscle moment arms. This induced a small decreased of the joint reaction force, but important increase of stress within the polyethylene and the cement mantel. Interpretation The reference thickness of 4mm seems a good compromise to avoid stress concentration and joint stuffing.

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Preoperative imaging for resection of chest wall malignancies is generally performed by computed tomography (CT). We evaluated the role of (18)F-fluorodeoxyglucose (FDG) positron emission tomography (PET) in planning full-thickness chest wall resections for malignancies. We retrospectively included 18 consecutive patients operated from 2004 to 2006 at our institution. Tumor extent was measured by CT and PET, using the two largest perpendicular tumor extensions in the chest wall plane to compute the tumor surface assuming an elliptical shape. Imaging measurements were compared to histopathology assessment of tumor borders. CT assessment consistently overestimated the tumor size as compared to PET (+64% vs. +1%, P<0.001). Moreover, PET was significantly better than CT at defining the size of lesions >24 cm(2) corresponding to a mean diameter >5.5 cm or an ellipse of >4 cm x 7.6 cm (positive predictive value 80% vs. 44% and specificity 93% vs. 64%, respectively). Metabolic PET imaging was superior to CT for defining the extent of chest wall tumors, particularly for tumors with a diameter >5.5 cm. PET can complement CT in planning full-thickness chest wall resection for malignancies, but its true value remains to be determined in larger, prospective studies.

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Introduction: Growth is a central process in paediatrics. Weight and height evaluation are therefore routine exams for every child but in some situation, particularly inflammatory bowel disease (IBD), a wider evaluation of nutritional status needs to be performed. The assessment of body composition is essential in order to maintain acceptable growth using the following techniques: Dual-energy X-ray absorptiometry (DEXA), bio-impedance-analysis (BIA) and anthropometric measurements (skinfold thickness skin), the latter being most easily available and most cost effective. Objectives: To assess the accuracy of skinfold equations in estimating percentage body fat (%BF) in children with inflammatory bowel disease (IBD), compared with assessment of body fat dual energy X-ray absorptiometry (DEXA). Methods: Twenty-one patients (11 females, 10 males; mean age: 14.3 years, range 12 - 16 years) with IBD (Crohn's disease n = 15, ulcerative colitis n = 6)). Estimated%BF was computed using 6 established equations based on the triceps, biceps, subscapular and suprailiac skinfolds (Deurenberg, Weststrate, Slaughter, Durnin & Rahaman, Johnston, Brook) and compared to DEXA. Concordance analysis was performed using Lin's concordance correlation and the Bland-Altman limits of agreement method. Results: Durnin & Rahaman's equation shows a higher Lin's concordance coefficient with a small difference amongst raw values for skinfolds and DEXA compared to the other equations. Correlation coefficient between mean and difference is close to zero with a non-significant Bradley-Blackwood test. Conclusion: Body composition in paediatric IBD patients using the Durnin & Rahaman skinfold-equation adequately reflects values obtained by DEXA.

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Background Impaired glucose regulation (IGR) is associated with detrimental cardiovascular outcomes such as cardiovascular disease risk factors (CVD risk factors) or intima-media thickness (IMT). Our aim was to examine whether these associations are mediated by body mass index (BMI), waist circumference (waist) or fasting serum insulin (insulin) in a population in the African region. Methods Major CVD risk factors (systolic blood pressure, smoking, LDL-cholesterol, HDL-cholesterol,) were measured in a random sample of adults aged 25-64 in the Seychelles (n=1255, participation rate: 80.2%). According to the criteria of the American Diabetes Association, IGR was divided in four ordered categories: 1) normal fasting glucose (NFG), 2) impaired fasting glucose (IFG) and normal glucose tolerance (IFG/NGT), 3) IFG and impaired glucose tolerance (IFG/IGT), and 4) diabetes mellitus (DM). Carotid and femoral IMT was assessed by ultrasound (n=496). Results Age-adjusted levels of the major CVD risk factors worsened gradually across IGR categories (NFG < IFG/NGT < IFG/IGT < DM), particularly HDL-cholesterol and blood pressure (p for trend <0.001). These relationships were marginally attenuated upon further adjustment for waist, BMI or insulin (whether considered alone or combined) and most of these relationships remained significant. With regards to IMT, the association was null with IFG/NGT, weak with IFG/IGT and stronger with DM (all more markedly at femoral than carotid levels). The associations between IMT and IFG/IGT or DM (adjusted by age and major CVD risk factors) decreased only marginally upon further adjustment for BMI, waist or insulin. Further adjustment for family history of diabetes did not alter the results. Conclusions We found graded relationships between IGR categories and both major CVD risk factors and carotid/femoral IMT. These relationships were only partly accounted for by BMI, waist and insulin. This suggests that increased CVD-risk associated with IGR is also mediated by factors other than the considered markers of adiposity and insulin resistance. The results also imply that IGR and associated major CVD risk factors should be systematically screened and appropriately managed.

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After cemented total hip arthroplasty (THA) there may be failure at either the cement-stem or the cement-bone interface. This results from the occurrence of abnormally high shear and compressive stresses within the cement and excessive relative micromovement. We therefore evaluated micromovement and stress at the cement-bone and cement-stem interfaces for a titanium and a chromium-cobalt stem. The behaviour of both implants was similar and no substantial differences were found in the size and distribution of micromovement on either interface with respect to the stiffness of the stem. Micromovement was minimal with a cement mantle 3 to 4 mm thick but then increased with greater thickness of the cement. Abnormally high micromovement occurred when the cement was thinner than 2 mm and the stem was made of titanium. The relative decrease in surface roughness augmented slipping but decreased debonding at the cement-bone interface. Shear stress at this site did not vary significantly for the different coefficients of cement-bone friction while compressive and hoop stresses within the cement increased slightly.