111 resultados para coping skills
Resumo:
Communication is an essential element of good medical practice also in pathology. In contrast to technical or diagnostic skills, communication skills are not easy to define, teach, or assess. Rules almost do not exist. In this paper, which has a rather personal character and cannot be taken as a set of guidelines, important aspects of communication in pathology are explored. This includes what should be communicated to the pathologist on the pathology request form, communication between pathologists during internal (interpathologist) consultation, communication around frozen section diagnoses, modalities of communication of a final diagnosis, with whom and how critical and unexpected findings should be communicated, (in-)adequate routes of communication for pathology diagnoses, who will (or might) receive pathology reports, and what should be communicated and how in case of an error or a technical problem. An earlier more formal description of what the responsibilities are of a pathologist as communicator and as collaborator in a medical team is added in separate tables. The intention of the paper is to stimulate reflection and discussion rather than to formulate strict rules.
Resumo:
Identification of neuroimaging biomarkers following extreme prematurity (EP) and intrauterine growth restriction (IUGR) is crucial for understanding their cognitive and behavioral impairments at school age
Resumo:
Background: Studies have found higher levels of insecure attachment in individuals with schizophrenia. Attachment theory provides a framework necessary for conceptualizing the development of interpersonal functioning. Some aspects of the attachment of the believer to his/her spiritual figure are similar to those between the child and his/her parents. The correspondence hypothesis suggests that early child-parent interactions correspond to a person's relation to a spiritual figure. The compensation hypothesis suggests that an insecure attachment history would lead to a strong religiousness/spirituality as a compensation for the lack of felt security. The aim of this study is to explore attachment models in psychosis vs. healthy controls, the relationships between attachment and psychopathology and the attachment processes related to spiritual figures. Methods: Attachment models were measured in 30 patients with psychosis and 18 controls with the AAI (Adult Attachment interview) in relationship with psychopathology. Beliefs and practices related to a spiritual figure were investigated by qualitative and quantitative analyses. Results: Patients with psychosis showed a high prevalence of insecure avoidant attachment. Spiritual entities functioned like attachment figures in two thirds of cases. Interviews revealed the transformation of internal working models within relation to a spiritual figure: a compensation process was found in 7 of the 32 subjects who showed a significant attachment to a spiritual figure. Conclusions: Attachment theory allows us to highlight one of the underlying dimensions of spiritual coping in patients with psychosis.
Resumo:
In the philosophical literature, self-deception is mainly approached through the analysis of paradoxes. Yet, it is agreed that self-deception is motivated by protection from distress. In this paper, we argue, with the help of findings from cognitive neuroscience and psychology, that self-deception is a type of affective coping. First, we criticize the main solutions to the paradoxes of self-deception. We then present a new approach to self-deception. Self-deception, we argue, involves three appraisals of the distressing evidence: (a) appraisal of the strength of evidence as uncertain, (b) low coping potential and (c) negative anticipation along the lines of Damasio's somatic marker hypothesis. At the same time, desire impacts the treatment of flattering evidence via dopamine. Our main proposal is that self-deception involves emotional mechanisms provoking a preference for immediate reward despite possible long-term negative repercussions. In the last part, we use this emotional model to revisit the philosophical paradoxes.
Resumo:
Problématique. Le cancer digestif est une maladie qui s'accompagne de nombreux décès. L'annonce d'un tel diagnostic engendre une crise existentielle composée d'un sentiment de finitude de la vie. Des réactions psychosociales accompagnent cette mauvaise nouvelle. Un concept particulier appelé le transitoriness est omniprésent. La personne lutte pour continuer à vivre. Elle adopte des stratégies de coping pour s'ajuster aux difficultés imposées par ce sentiment de finitude de vie. But. Décrire le niveau de sentiment de finitude de vie et les stratégies de coping utilisées face à l'annonce du diagnostic d'un cancer digestif et explorer la présence d'associations entre les variables. Méthode. Cette étude descriptive corrélationnelle a été conduite auprès de 40 personnes hospitalisées pour une intervention chirurgicale, recrutées selon un échantillonnage de convenance. Le protocole de recherche a été avalisé par le comité cantonal d'éthique. Les données ont été recueillies par un formulaire de données sociodémographiques et de santé ainsi que deux instruments de mesure : le SEKT (Subjektive Einschätzung von Krankheitssituation und Todesnähe) a permis de mesurer le sentiment de finitude de vie et le JCS (Jalowiec Coping Scale) a été employé pour recueillir les stratégies de coping. Les deux instruments de mesure n'étant pas disponibles en français, une procédure de traduction et retraduction a été effectuée et avalisée par un comité d'expert. Des analyses descriptives et corrélationnelles ont été réalisées. Résultats. L'échantillon est composé majoritairement d'hommes (51%), âgés entre 56- 74 ans (52,5%), mariés (45%) et avec enfants âgés de plus de 20 ans (60%). Il apparaît une forte proportion de personnes d'une autre nationalité (40%) que la suisse et avec une formation obligatoire (40%). Le sentiment de finitude de vie est présent: 62% réalisent que le cancer représente une menace pour leur vie. Les préoccupations autour de la mort sont « quelquefois » présentes (32,5%). Les personnes se sentent « un peu » à « proche » de la mort et le score total de la proximité est de M = 3,37 (ĒT= 1,77 ; rang: 0-8). Le style de coping privilégié est l'optimisme (M = 2,10), puis l'indépendance (M = 1,95) et l'affrontement de la situation (M =1,80). Aucune relation entre le sentiment de finitude de vie et le score total de coping n'apparaît, si ce n'est une probabilité p< 0,08 entre le sentiment de finitude de vie et les styles de coping expression des émotions et indépendance. La relation entre le sentiment de finitude de vie et la variable sociodémographique la nationalité présente une probabilité marginale (p= 0,058). Certains facteurs sociodémographiques influencent l'utilisation des différentes stratégies de coping : affrontement de la situation (p= 0,0007), coping palliatif (p= 0,0449) et niveau de formation; optimisme et genre (p= 0,0424) ; expression des émotions et âge (p= 0,045); indépendance et nationalité (p= 0,0319); soutien social et nombre d'enfants (p= 0,0016). Conclusion. Les professionnels de la santé doivent être sensibilisés aux spécificités du transitoriness et aux facteurs influençant l'utilisation de stratégies de coping efficaces afin de détecter les personnes vulnérables et de cibler leurs interventions de soins pour diminuer le risque de détresse et son impact sur la qualité de vie du patient.
Resumo:
Problématique. Les proches aidants jouent un rôle primordial de soutien auprès des personnes atteintes de schizophrénie. La symptomatologie et les perturbations du fonctionnement psychosocial des personnes atteintes de cette maladie peuvent entraîner un fardeau extrêmement élevé pour leur entourage. Les approches psycho-éducatives sont reconnues pour favoriser des stratégies de coping ayant comme impact d'atténuer la détresse des proches aidants et d'améliorer les relations interpersonnelles entre le proche aidant et la personne souffrant de schizophrénie. Buts: décrire et explorer les stratégies de coping chez les proches aidants de personnes atteintes de schizophrénie. Méthode: cette étude descriptive exploratoire a été menée auprès de 45 proches aidants, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Ils ont rempli deux auto-questionnaires : (a) le questionnaire sociodémographique et (b) le Family Coping Questionnaire. Des statistiques descriptives de distributions et des analyses corrélationnelles bivariées ont été effectuées. Résultats: les résultats montrent que les stratégies de coping centrées sur le problème et les stratégies de coping centrées sur le maintien social sont plus utilisées que celles appartenant au coping centré sur l'émotion. Cependant, les stratégies de coping centré sur l'émotion sont encore souvent utilisées. Conclusion: malgré les limites de cette étude liées à la taille de l'échantillon, les résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il semble important de poursuivre des recherches dans ce domaine pour mieux comprendre les associations entre les représentations de la maladie et les stratégies de coping. Il semble aussi crucial de développer, auprès des proches aidants, les interventions qui leur permettent une meilleure gestion des émotions.