108 resultados para Pressure-indicating sensor film
Resumo:
Résumé en français: Il est admis que l'inflation d'une manchette à pression au niveau du bras engendre une augmentation réactionnelle de la tension artérielle qui peut être le résultat d'une gêne lors de l'inflation et peut diminuer la précision de la mesure. Dans cette étude, nous comparons séquentiellement l'augmentation de la tension artérielle lorsque la manchette à pression est positionnée au niveau du bras et au niveau du poignet. Nous avons étudié un collectif de 34 participants normotendus et 34 patients hypertendus. Chacun d'eux était équipé de deux manchettes à pression, l'une au niveau du bras et l'autre au niveau du poignet. Nous avons randomisé l'ordre d'inflation des manchettes ainsi que la pression d'inflation maximale (180mmHg versus 240mmHg). Trois mesures étaient effectuées pour chaque pression d'inflation maximale, ceci au bras comme poignet, et leur séquence était également randomisée. En parallèle, un enregistrement continu de la tension artérielle avait lieu au niveau du majeur de la main opposée à l'aide d'un photoplethysmographe. Cette valeur était considérée comme la valeur de tension artérielle au repos. Pour les participants normotendus, aucune différence statistiquement significative n'a pu être mise en évidence en lien avec la position de la manchette à pression, ceci indépendamment de la pression d'inflation maximale. Variation de la pression systolique à 180 mmHg: 4.3+/-3.0 mmHg au bras et 3.7+/-2.9 mmHg au poignet (p=ns), à 240 mmHg: 5.5+/-3.9 au bras et 4.2+/-2.7 mmHg au poignet (p=0.052). En revanche, concernant les patients hypertendus, une augmentation significative de la tension artérielle a été mise en évidence entre le bras et le poignet. Ceci pour les valeurs de tension artérielle systolique et diastolique et quelle que soit la pression d'inflation maximale utilisée. Augmentation de la pression artérielle systolique 6.513.5 mmHg au bras et 3.812.1mmHg au poignet pour une pression d'inflation maximale de 180 mmHg (p<0.01) et respectivement 6.413.5 mmHg et 4.713.0 mmHg pour 240 mmHg (p=0.01). L'augmentation des valeurs de tension artérielle était indépendante de la valeur tensionnelle de base. Ces résultats montrent que les patients hypertendus réagissent significativement moins à l'inflation d'une manchette ä pression lorsque celle-ci est positionnée au niveau du poignet par rapport au bras, ceci indépendamment des valeurs de tension artérielle de base des patients. Nous pouvons donc suggérer que l'inflation d'une manchette à pression cause moins de désagrément lorsqu'elle est placée au niveau du poignet, notamment chez les patients hypertendus et qu'elle peut être une alternative à la mesure standard au niveau du bras.
Resumo:
Arenaviruses are enveloped RNA viruses with a nonlytic life cycle that cause acute and persistent infections. Here, we investigated the role of the host cell's unfolded protein response (UPR) in infection of the prototypic arenavirus lymphocytic choriomeningitis virus (LCMV). In mammalian cells, the endoplasmic reticulum (ER) chaperone protein GRP78/BiP functions as the principal sensor for the induction of the UPR and interacts with three mediators: kinase/endonuclease inositol-requiring protein 1 (IRE1), PKR-like ER kinase (PERK), and activating transcription factor 6 (ATF6). Acute infection with LCMV resulted in a selective induction of the ATF6-regulated branch of the UPR, whereas pathways controlled by PERK and IRE1 were neither activated nor blocked. Expression of individual LCMV proteins revealed that the viral glycoprotein precursor (GPC), but not that of other viral proteins, was responsible for the induction of ATF6. Rapid downregulation of the viral GPC during transition from acute to persistent LCMV infection restored basal levels of UPR signaling. To address a possible role of ATF6 signaling in LCMV infection, we used cells deficient in site 2 protease (S2P), a metalloprotease required for the activation of ATF6. Cells deficient in S2P showed significantly lower levels of production of infectious virus during acute but not persistent infection, indicating a requirement for ATF6-mediated signaling for optimal virus multiplication. In summary, acute LCMV infection seems to selectively induce the ATF6-regulated branch of the UPR that is likely beneficial for virus replication and cell viability, but it avoids induction of PERK and IRE1, whose activation may be detrimental for virus and the host cell.