108 resultados para Interval type 2 fuzzy logic


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QUESTION UNDER STUDY: The aim of this study was to assess the prevalence of chronic kidney disease (CKD) among type 2 diabetic patients in primary care settings in Switzerland, and to analyse the prescription of antidiabetic drugs in CKD according to the prevailing recommendations. METHODS: In this cross-sectional study, each participating physician was asked to introduce anonymously in a web database the data from up to 15 consecutive diabetic patients attending her/his office between December 2013 and June 2014. Demographic, clinical and biochemical data were analysed. CKD was classified with the KDIGO nomenclature based on estimated glomerular filtration rate (eGFR) and urinary albumin/creatinine ratio. RESULTS: A total of 1 359 patients (mean age 66.5 ± 12.4 years) were included by 109 primary care physicians. CKD stages 3a, 3b and 4 were present in 13.9%, 6.1%, and 2.4% of patients, respectively. Only 30.6% of patients had an entry for urinary albumin/creatinine ratio. Among them, 35.6% were in CKD stage A2, and 4.1% in stage A3. Despite prevailing limitations, metformin and sulfonylureas were prescribed in 53.9% and 16.5%, respectively, of patients with advanced CKD (eGFR <30 ml/min). More than a third of patients were on a dipeptidyl-peptidase-4 inhibitor across all CKD stages. Insulin use increased progressively from 26.8% in CKD stage 1-2 to 50% in stage 4. CONCLUSIONS: CKD is frequent in patients with type 2 diabetes attending Swiss primary care practices, with CKD stage 3 and 4 affecting 22.4% of cases. This emphasizes the importance of routine screening of diabetic nephropathy based on both eGFR and urinary albumin/creatinine ratio, the latter being largely underused by primary care physicians. A careful individual drug risk/benefit balance assessment is mandatory to avoid the frequently observed inappropriate prescription of antidiabetic drugs in CKD patients.

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Le tabagisme est associé à un risque augmenté de développer un diabète de type 2. Arrêter de fumer devrait donc diminuer le risqué de diabète. Seulement, les études concernant le risque métabolique à l'arrêt du tabac sont discordantes. Par ailleurs, les effets métaboliques du tabac et de l'arrêt du tabac diffèrent probablement selon le sexe, avec notamment un effet différent du tabac sur la santé des femmes, et une prise pondérale plus importante à l'arrêt que chez les hommes. Notre étude vise à évaluer le risque métabolique à l'arrêt du tabac, chez les femmes et les homes séparément. Nous avons utilisé les données de l'étude de cohorte prospective CoLaus, qui évalue différents facteurs de risque cardiovasculaire chez des sujets choisis de manière aléatoire, dans la population Lausannoise entre 35 et 75 ans, suivis sur 5.5 ans en moyenne. Parmi ceux avec une glycémie à jeun normale au départ, nous avons divisé les participants en quatre groupes selon leur statut tabagique : non fumeurs, personnes ayant arrêté de fumer depuis plus de 5 ans, celles ayant arrêté depuis moins de 5 ans, et fumeurs actifs. Nous avons mesuré les incidences de glycémie à jeun altérée (5.6-6.99 mmol/l) et de diabète (glycémie à jeun ≥ 7 mmol/l et/ou traitement pour le diabète) durant le période de suivi, stratifiées par sexe. Puis le risque d'incidence de glycémie altérée et de diabète a été calculé avec trois niveaux d'ajustement pour les facteurs confondants pour un risque métabolique. Nous avons inclus 3166 participants, dont 63% de femmes. Au total, 26.3% étaient fumeurs, 6.5% ex-fumeurs depuis moins de 5 ans et 23.5% ex-fumeurs depuis plus de 5 ans. Durant le suivi, 1311 (41.4%) personnes ont développé une glycémie à jeun altérée (33.6% des femmes, 54.7% des homes), et 47 (1.5%) ont développé un diabète (1.1% des femmes, 2.1% des hommes). Les personnes ayant arrêté de fumer n'avait pas de risque significativement plus élevé de développer une glycémie à jeun altérée ou un diabète que les fumeurs, après ajustement pour l'âge, l'éducation, l'hypercholestérolémie, la prise d'alcool, l'activité physique, la prise de poids, le BMI initial et le BMI d'arrivée dans les différents modèles d'ajustement. L'analyse de l'interaction du sexe avec ces résultats est également négative. Les analyses de sensibilité ont montré que l'exclusion des personnes ayant changé de statut tabagique durant le suivi ne changeait pas ces résultats. Nous avons refait les analyses en incluant les participants ayant une glycémie altérée au début du suivi, mais le risque d'incidence de diabète n'est pas plus élevé chez les ex-fumeurs que chez les fumeurs non plus dans cette population. Sur demande d'un reviewer, nous avons également refait les analyses avec la glycémie en continue (valeurs de base et valeurs à 5.5 ans), et la glycémie moyenne n'était pas différente par groupe de tabagisme. En conclusion, dans cette population européenne d'âge moyen, avec une prévalence basse d'obésité et une prise de poids modérée durant le suivi, nous n'avons pas trouvé de risque significativement plus élevé de développer un diabète en arrêtant de fumer, et ce pour les deux sexes. L'arrêt du tabac doit donc être encouragé chez toutes les fumeuses et tous les fumeurs.