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Introduction : La diminution de la fraction d'éjection après infarctus du myocarde est-elle suffisante pour justifier l'implantation prophylactique de défibrillateur ? Introduction: La diminution de la fraction d'éjection (FE) est un facteur prédictif majeur de mortalité cardiaque chez les patients avec ancien infarctus du myocarde (IM). Les plus récentes études, pour la plupart conduites à la fin des années 90, montrent une diminution de la mortalité post-hospitalière à 10 à 20% par année. Une amélioration de la survie par implantation prophylactique de défibrillateurs a été démontrée chez les patients avec dysfonction myocardique avancée après ancien IM dans la cadre de l'étude MADIT II (Multicenter Automatic Defibrillator Implantation Trial) et est depuis lors, considérée comme une thérapie recommandée. Le bénéfice de l'implantation prophylactique de défibrillateurs en terme de nombre nécessaire de patients à traiter pour prévenir un évènement est d'un intérêt primordial en raison des complications potentielles liées à la procédure et l'appareillage, des implications psychologiques ainsi qu'en raison de l'analyse coût-efficacité. Le nombre de patients à traiter est corrélé au risque actuel de mortalité rythmique, probablement influencé par les récentes avancées thérapeutiques dans la prise en charge aigue de l'IM (notamment par angioplastie primaire) et de l'insuffisance cardiaque. Or, dans '' l'étude MADIT II, le recrutement des patients était effectué entre 1997 et 2001 et l'intervalle moyen entre l'IM et le recrutement était de plus de 6 ans. Le but de l'étude était donc d'évaluer, dans la pratique générale, la mortalité actuelle de patients ayant survécu à un IM avec diminution consécutive significative de la FE. La stratification du risque sur la base des variables hospitalières a de même été explorée. Méthode: Une analyse de cohorte de patients avec infarctus aigu du myocarde admis de 1999 à 2000 a été effectuée dans 2 centres hospitaliers (un universitaire et un cantonal). Tous les dossiers cliniques des patients sortis d'hôpital avec FE documentée ≤ 0.40 ont été inclus. Les caractéristiques des patients, les procédures diagnostiques et thérapeutiques ainsi que la médication étaient reportées. La période de suivi débutait à la sortie d'hôpital. Les end-points primaires étaient la mortalité globale, la mortalité cardiaque et les morts subites. Une analyse bivariée et multivariée a été effectuée. Résultats: 165 patients ont été inclus. Durant un suivi médian de 30 mois (interquartile range 22-36), 18 patients sont décédés (5 morts classifiées comme cardiaques, 8 comme subites, 5 de causes non cardiaques). Les taux de mortalité à un et deux ans selon analyse de Kaplan-Meier étaient de 6.7 et 8.6%, respectivement. Les variables reflétant l'atteinte coronarienne et sa prise en charge (antécédent d'IM, reperfusion aigue, revascularisation complète) étaient plus significativement associées à la mortalité comparées aux variables reflétant la dysfonction myocardique (FE, classe Killip à l'admission). Conclusion : La mortalité des patients ayant survécu à un IM avec dysfonction myocardique avancée a diminué de façon substantielle depuis la fin des années 90. La diminution de la mortalité rythmique implique une augmentation proportionnelle du nombre de patients à traiter par implantation de défibrillateur pour prévenir un évènement. Par ailleurs, une stratification du risque après IM basée uniquement sur la FE semble être inappropriée au vu de son impact mineur sur la mortalité comparé aux autres facteurs de risque identifiés dans notre étude. Les patients sans antécédents d'infarctus et ceux ayant bénéficié d'une revascularisation aigue ou complète avait une mortalité cumulée à 2 ans de, respectivement, 2.5%, 3.9% et 2.3%. Pour ce type de patients à bas risque le bénéfice de l'implantation prophylactique de défibrillateur doit être remis en question. Au vu de cette étude, une stratification additionnelle du risque avant implantation de défibrillateur est à considérer.
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OBJECTIVE: An animal model has been developed to compare the effects of suture technique on the luminal dimensions and compliance of end-to-side vascular anastomoses. METHODS: Carotid and internal mammalian arteries (IMAs) were exposed in three pigs (90 kg). IMAs were sectioned distally to perform end-to-side anastomoses on carotid arteries. One anastomosis was performed with 7/0 polypropylene running suture. The other was performed with the automated suture delivery device (Perclose/Abbott Labs Inc.) that makes a 7/0 polypropylene interrupted suture. Four piezoelectric crystals were sutured on toe, heel and both lateral sides of each anastomosis to measure anastomotic axes. Anastomotic cross-sectional area (CSAA) was calculated with: CSAA = pi x mM/4 where m and M are the minor and major axes of the elliptical anastomosis. Cross-sectional anastomotic compliance (CSAC) was calculated as CSAC=Delta CSAA/Delta P where Delta P is the mean pulse pressure and Delta CSAA is the mean CSAA during cardiac cycle. RESULTS: We collected a total of 1200000 pressure-length data per animal. For running suture we had a mean systolic CSAA of 26.94+/-0.4 mm(2) and a mean CSAA in diastole of 26.30+/-0.5 mm(2) (mean Delta CSAA was 0.64 mm(2)). CSAC for running suture was 4.5 x 10(-6)m(2)/kPa. For interrupted suture we had a mean CSAA in systole of 21.98+/-0.2 mm(2) and a mean CSAA in diastole of 17.38+/-0.3 mm(2) (mean Delta CSAA was 4.6+/-0.1 mm(2)). CSAC for interrupted suture was 11 x 10(-6) m(2)/kPa. CONCLUSIONS: This model, even with some limitations, can be a reliable source of information improving the outcome of vascular anastomoses. The study demonstrates that suture technique has a substantial effect on cross-sectional anastomotic compliance of end-to-side anastomoses. Interrupted suture may maximise the anastomotic lumen and provides a considerably higher CSAC than continuous suture, that reduces flow turbulence, shear stress and intimal hyperplasia. The Heartflo anastomosis device is a reliable instrument that facilitates performance of interrupted suture anastomoses.
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Rapport de synthèse : Cette étude réalisée conjointement par les services de pédopsychiatrie et de néonatologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse, s'inscrit dans un groupe de publications issues d'un projet portant sur les représentations parentales et le devenir de 1a prématurité, financée par le Fonds National de la Recherche Scientifique entre 1998 et 2002 (FNRS 32-49712.96), soutenue par la Fondation de la Psychiatrie pour la Petite Enfance. Elle à pour objectifs d'évaluer et de compazer la présence de symptômes de stress post-traumatique; en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Population et Méthode : en fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel < 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire rempli par les parents, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe contrôle de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats : les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme, de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mèrés et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Le vécu particulier des parents, ainsi que les enjeux différents pour les mères et les pères lors d'une naissance prématurée, sont ainsi mis en évidence. La prise en compte de ces différences devrait influencer les interventions des pédopsychiatres et des équipes de néonatologie qui interviennent auprès des parents et guident la construction des liens avec le bébé né prématurément. Publiée par la revue «Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence », aux éditions Elsevier Masson sous le titre : « Etat de stress post-traumatique chez les mères et chez les pères d'enfants prématurés : similitudes et différences» ; numéró 57 (2009) 385-391.
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Neurofilament (NF) proteins consist of three subunits of different molecular weights defined as NF-H, NF-M, and NF-L. They are typical structures of the neuronal cytoskeleton. Their immunocytochemical distribution during postnatal development of cat cerebellum was studied with several monoclonal and polyclonal antibodies against phosphorylated or unmodified sites. Expression and distribution of the triplet neurofilament proteins changed with maturation. Afferent mossy and climbing fibers in the medullary layer contained NF-M and NF-L already at birth, whereas NF-H appeared later. Within the first three postnatal weeks, all three subunits appeared in mossy and climbing fibers in the internal granular and molecular layers and in the axons of Purkinje cells. Axons of local circuit neurons such as basket cells expressed these proteins at the end of the first month, whereas parallel fibers expressed them last, at the beginning of the third postnatal month. Differential localization was especially observed for NF-H. Depending on phosphorylation, NF-H proteins were found in different axon types in climbing, mossy, and basket fibers or additionally in parallel fibers. A nonphosphorylated NF-H subunit was exclusively located in some Purkinje cells at early developmental stages and in some smaller interneurons later. A novel finding is the presence of a phosphorylation site in the NF-H subunit that is localized in dendrites of Purkinje cells but not in axons. Expression and phosphorylation of the NF-H subunit, especially, is cell-type specific and possibly involved in the adult-type stabilization of the axonal and dendritic cytoskeleton.
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PURPOSE: Studies of diffuse large B-cell lymphoma (DLBCL) are typically evaluated by using a time-to-event approach with relapse, re-treatment, and death commonly used as the events. We evaluated the timing and type of events in newly diagnosed DLBCL and compared patient outcome with reference population data. PATIENTS AND METHODS: Patients with newly diagnosed DLBCL treated with immunochemotherapy were prospectively enrolled onto the University of Iowa/Mayo Clinic Specialized Program of Research Excellence Molecular Epidemiology Resource (MER) and the North Central Cancer Treatment Group NCCTG-N0489 clinical trial from 2002 to 2009. Patient outcomes were evaluated at diagnosis and in the subsets of patients achieving event-free status at 12 months (EFS12) and 24 months (EFS24) from diagnosis. Overall survival was compared with age- and sex-matched population data. Results were replicated in an external validation cohort from the Groupe d'Etude des Lymphomes de l'Adulte (GELA) Lymphome Non Hodgkinien 2003 (LNH2003) program and a registry based in Lyon, France. RESULTS: In all, 767 patients with newly diagnosed DLBCL who had a median age of 63 years were enrolled onto the MER and NCCTG studies. At a median follow-up of 60 months (range, 8 to 116 months), 299 patients had an event and 210 patients had died. Patients achieving EFS24 had an overall survival equivalent to that of the age- and sex-matched general population (standardized mortality ratio [SMR], 1.18; P = .25). This result was confirmed in 820 patients from the GELA study and registry in Lyon (SMR, 1.09; P = .71). Simulation studies showed that EFS24 has comparable power to continuous EFS when evaluating clinical trials in DLBCL. CONCLUSION: Patients with DLBCL who achieve EFS24 have a subsequent overall survival equivalent to that of the age- and sex-matched general population. EFS24 will be useful in patient counseling and should be considered as an end point for future studies of newly diagnosed DLBCL.
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Résumé : Introduction : l'ostéoporose est une maladie caractérisée par une masse osseuse diminuée et une structure osseuse appauvrie amenant à une fragilité osseuse augmentée et par conséquent à une augmentation du risque fracturaire. Elle est associée à une morbidité et mortalité importantes. Il existe de nombreuses substances à disposition pour son traitement. La modalité d'administration est très variable selon la substance prescrite. Les bisphosphonates, puissants antirésorbeurs osseux, sont la classe médicamenteuse de référence. Malheureusement, prescrits per os, iIs ont fréquemment des effets secondaires digestifs limitant leur usage et sont donc mieux tolérés en iv. C'est le pamidronate qui a été le premier prescrit et reste le plus utilisé. Méthode : le meilleur régime d'administration du pamidronate n'étant pas connu, nous avons testé son effet à différentes doses sur les marqueurs du remodelage osseux et la densitométrie osseuse. Trois modalités d'administration pour une dose annuelle constante (30 mg tous les 3 mois, 40 mg tous les 4 mois et 60 mg tous les 6 mois) ont été comparées chez des femmes postménopausées avec une ostéoporose. 39 patientes ont été recrutées sur 2 ans et réparties en 2 groupes appelés EFAP 1 et 2 pour Evaluation de la Fréquence d'Administration du Pamidronate selon la fréquence des contrôles de sang. Résultats : au cours des 6 premiers mois de traitement, on observe une chute rapide des télopeptides sanguins dès le premier mois qui suit l'injection de 30, 40 ou 60 mg de pamidronate avec toutefois, une inhibition de la résorption osseuse plus efficace à long terme pour les traitements fractionnés (30 et 40 mg). Des résultats similaires sont obtenus pour l'ostéocalcine. Il n'existe en revanche pas de modifications significatives des autres paramètres (calcémie, PTH, vitamine D et phosphatase alcaline) dans les 3 groupes. Ces résultats se confirment après 24 mois de traitement avec une efficacité plus marquée pour les traitements 30 et 40 mg. Sur le plan des valeurs de densitométrie osseuse, après 2 ans de traitement, les valeurs sont augmentées de façon significative sur la colonne lombaire avec les trais dosages, de façon non significatives sur le col fémoral et de façon significative pour le trochanter avec le dosage de 40 mg seulement. Conclusions : bien que cette étude démontre des gains de densité osseuse quasi identiques entre les 3 modes d'administration pour une dose annuelle cumulée de 120 mg, l'inhibition du remodelage osseux est beaucoup plus importante avec les doses de 30 ou 40 mg tous les 3 ou 4 mois qu'avec 60 mg tous les 6 mois. Ces deux modes d'administration permettent de mieux expliquer le lien entre l'effet sur les marqueurs et sur la densitométrie osseuse.
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Lower urinary tract dysfunction is present in two of three patients with multiple sclerosis five years after the diagnosis. Most frequent symptoms are related to neurogenic detrusor overactivity, often associated with detrusor-sphincter dyssynergia. From the end of the 1990s, there is growing evidence that neurogenic detrusor overactivity can be effectively managed by intradetrusorial injections of botulinum toxin type A. This treatment has shown, in different randomised placebo-controlled trials, to be safe and effective on clinical and urodynamic parameters with significant improvement in quality of life. The median duration of effect is in mean nine months. The vast majority of studies have been conducted with onabotulinumtoxinA. The dose of onabotulinumtoxinA commonly used to treat neurogenic detrusor overactivity in patients with multiple sclerosis is 200 UI, even if in selected patients lower doses can be preferred. To be considered eligible for treatment, all patients should accept and be instructed to perform clean intermittent self-catheterisation, since the risk of increased post-void residual volume and/or urinary retention after injection is high, especially with 200 UI of onabotulinumtoxinA. However, quality of life and patient satisfaction seem not to be affected by the need of intermittent catheterisation. The risk of urinary infection after the procedure is to be kept in mind, mainly in patients with multiple sclerosis, so that adequate antibiotic prophylaxis is highly recommended.
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BACKGROUND: Radiation optic neuropathy (RON) is a rare, unpredictable, late complication of radiotherapy secondary to obliterative endarteritis. Tumor recurrence has to be ruled out by a clinical and neuroradiological examination. METHODS: Five patients with RON were investigated by magnetic resonance imaging (MRI) during 1992. RESULTS: Radiation-induced lesions of the intracranial visual pathways were easily visible on MRI. Without Gadolinium, a sectorial swelling was detectable, which markedly enhanced with Gadolinium. Intracranial optic nerve was affected in 5/5 cases, optic chiasm in 3/5 cases, and optic tract in 2/5 cases. CONCLUSIONS: MRI is the examination of choice when RON is suspected: it will easily delineate the extent of the lesion, and compression/infiltration by a recurrent tumor will be formally ruled out. A segmental swelling of visual pathway with marked Gadolinium enhancement on MRI is highly suggestive of radionecrosis.
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Arenaviruses merit interest as clinically important human pathogens and include several causative agents, chiefly Lassa virus (LASV), of hemorrhagic fever disease in humans. There are no licensed LASV vaccines, and current antiarenavirus therapy is limited to the use of ribavirin, which is only partially effective and is associated with significant side effects. The arenavirus glycoprotein (GP) precursor GPC is processed by the cellular site 1 protease (S1P) to generate the peripheral virion attachment protein GP1 and the fusion-active transmembrane protein GP2, which is critical for production of infectious progeny and virus propagation. Therefore, S1P-mediated processing of arenavirus GPC is a promising target for therapeutic intervention. To this end, we have evaluated the antiarenaviral activity of PF-429242, a recently described small-molecule inhibitor of S1P. PF-429242 efficiently prevented the processing of GPC from the prototypic arenavirus lymphocytic choriomeningitis virus (LCMV) and LASV, which correlated with the compound's potent antiviral activity against LCMV and LASV in cultured cells. In contrast, a recombinant LCMV expressing a GPC whose processing into GP1 and GP2 was mediated by furin, instead of S1P, was highly resistant to PF-429242 treatment. PF-429242 did not affect virus RNA replication or budding but had a modest effect on virus cell entry, indicating that the antiarenaviral activity of PF-429242 was mostly related to its ability to inhibit S1P-mediated processing of arenavirus GPC. Our findings support the feasibility of using small-molecule inhibitors of S1P-mediated processing of arenavirus GPC as a novel antiviral strategy.
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In 2006, two municipalities located in the canton of Fribourg (Switzerland), La Tour-de-Trême and Bulle, amalgamated. In this study, we report on the evolution of citizen perceptions as well as try to better understand the reasons behind the respondents various positions concerning this new political and territorial entity. Five-hundred individuals were surveyed almost four years after the amalgamation came into effect. Our results show that if the amalgamation was voted again, it would be necessary to be particularly attentive to citizen access to municipal offices and to local service provisions, to citizen identification to their municipality as well as to the life of the local associations. Indeed, these are clearly important issues for small localities. Furthermore, citizens of the newly amalgamated municipality are mostly sensitive to access to municipal offices and to contact with local representatives. Improving the population's perceptions of these particular issues could lead to a 12 percentage point increase in support for the amalgamation.