334 resultados para value-mapping
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BACKGROUND: Diffusion-weighted magnetic resonance imaging (MRI) is increasingly being used for assessing the treatment succes in oncology, but the real clinical value needs to evaluated by comparison with other, already established, metabolic imaging techniques. PURPOSE: To prospectively evaluate the clinical potential of diffusion-weighted MRI with apparent diffusion coefficient (ADC) mapping for gastrointestinal stromal tumor (GIST) response to targeted therapy compared with 18F-fluorodeoxyglucose positron emission tomography/computed tomography (18F-FDG PET/CT). MATERIAL AND METHODS: Eight patients (mean age, 56 ± 11 years) known to have metastatic GIST underwent 18F-FDG PET/CT and MRI (T1Gd, DWI [b = 50,300,600], ADC mapping) simultaneously, before and after change in targeted therapy. MR and PET/CT examinations were first analyzed blindly. Second, PET/CT images were co-registered with T1Gd-MR images for lesion detection. Only 18F-FDG avid lesions were considered. Maximum standardized uptake value (SUVmax) and the corresponding minimum ADCmin were measured for the six largest lesions per patient, if any, on baseline and follow-up examinations. The relationship between changes in SUVmax and ADCmin was analyzed (Spearman's correlation). RESULTS: Twenty-four metastases (12 hepatic, 12 extra-hepatic) were compared on PET/CT and MR images. SUVmax decreased from 7.7 ± 8.1 g/mL to 5.5 ± 5.4 g/mL (P = 0.20), while ADCmin increased from 1.2 ± 0.3 × 10(-3)mm(2)/s to 1.5 ± 0.3 × 10(-3)mm(2)/s (P = 0.0002). There was a significant association between changes in SUVmax and ADCmin (rho = - 0.62, P = 0.0014), but not between changes in lesions size (P = 0.40). CONCLUSION: Changes in ADCmin correlated with the response of 18F-FDG avid GIST to targeted therapy. Thus, diffusion-weighted MRI may represent a radiation-free alternative for follow-up treatment for metastatic GIST patients.
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Background and Objectives: Guidelines for bariatric surgery demand a psychological evaluation of applicants. The aim of this study was to evaluate if the presence of "psychological risk factors" predicts postoperative weight loss after gastric bypass. Methods: Medical records of obese women who underwent bariatric surgery between 2000 and 2004 were reviewed. Psychological assessment consisted of a one-hour semi-structured interview, summarized in a written report. Anthropometric assessment at baseline and 6,12,18 and 24 months after surgery included body weight, height and body mass index. Results: The mean BMI of included patients (N = 92) was 46.2 + 6,3 kg/m(2) (range 38.4-69.7). Based on the psychological assessment, 27% (N = 25) of the patients were classified as having "psychological risk factors" and 28% (N = 26) were diagnosed with a psychiatric diagnosis, most often major depression. Two years after gastric bypass, 16% of patients with "psychological risk factors" achieved an excellent result (%EWL > 75) versus 39% of those without (p < 0.05). About 1 out of 4 patients was in postoperative psychiatric treatment, but only half of them were identified as having "psychological risk factors" at baseline. Weight loss of patients initiating a psychiatric treatment only after surgery was less than of patients who continued psychiatric treatment already initiated before surgery (55.7 + 14.8 versus 66.5 + 14.2 %EWL). Conclusions: A single semi-structured psychological interview may identify patients who are at risk for diminished postoperative weight loss; however, psychological assessment did not identify those patients who were in need of a psychiatric postoperative treatment.
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Methods are presented to map complex fiber architectures in tissues by imaging the 3D spectra of tissue water diffusion with MR. First, theoretical considerations show why and under what conditions diffusion contrast is positive. Using this result, spin displacement spectra that are conventionally phase-encoded can be accurately reconstructed by a Fourier transform of the measured signal's modulus. Second, studies of in vitro and in vivo samples demonstrate correspondence between the orientational maxima of the diffusion spectrum and those of the fiber orientation density at each location. In specimens with complex muscular tissue, such as the tongue, diffusion spectrum images show characteristic local heterogeneities of fiber architectures, including angular dispersion and intersection. Cerebral diffusion spectra acquired in normal human subjects resolve known white matter tracts and tract intersections. Finally, the relation between the presented model-free imaging technique and other available diffusion MRI schemes is discussed.
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Objectif : Les épanchements pleuraux sont fréquents chez les patients porteurs de cancer et déterminer s'ils sont de nature tumorale ou non relève d'une grande importance clinique, particulièrement pour le groupe des carcinomes pulmonaires NON à petites cellules (NSCLC). Le PET/CT s'est montré d'une grande utilité et est actuellement indiscutablement reconnu comme outils nécessaire dans la prise en charge et notamment la stadification et le suivi des cancers, et particulièrement des cancers pulmonaires. Sa capacité à pouvoir distinguer les épanchements pleuraux malins des épanchements pleuraux non tumoraux, « bénins » n'est pas précisément connue et n'a pas jusqu'à présent été investiguée de manière approfondie. Matériel et méthodes : Nous avons examiné la captation du FDG (indice SUVmax) des épanchements pleuraux de 50 PET/CT réalisés chez 47 patients (29 hommes, 18 femmes, 60±16 ans) avec épanchements pleuraux et cancer connu (24 NSCLC, 7 lymphomes, 5 cancer du sein, 4 GIST, 3 mésothéliomes, 2 cancer ORL, 2 tératomes malins, 1 carcinome colorectal, 1 carcinome oesophagien, 1 mélanome). Ces résultats ont été corrélés aux résultats des examens cytopathologiques réalisés après ponction de ces mêmes épanchements dans un intervalle médian de 21 jours (interquartile range -3 to 23). L'examen du liquide d'épanchement comportait la mesure du pH, la distribution relative des différents éléments cellulaires (macrophages, neutrophils, éosinophiles, basophiles, lymphocytes, plasmocytes), la numération cellulaire et bien entendu présence de cellules tumorales. Résultats : Parmis les épanchements, 17 étaient malins (34%) (6 NSCLC, 5 lymphomes, 2 cancers mammaires, 2 mésothéliomes, 2 tératomes malins). Les SUV étaient plus élevés dans les épanchements malins que dans les épanchements bénins [3.7 (95%IC 1.8-5.6) vs. 1.7 g/ml (1.5-1.9), p = 0.001], avec une corrélation entre les épanchements malins et le SUV (coefficient de Spearman ρ = 0.50, p = 0.001). Il n'a pas été observé de corrélation entre aucun des autres paramètres cyptopathologiques ou radiologiques analysé (aire sous la courbe ROC 0.83 ± 0.06). En utilisant un seuil du SUV de 2.2-mg/l, 12 examens PET/CT étaient interprétés comme positifs and 38 comme négatifs avec une sensibilité et une spécificité, valeur prédictive positive et négative de 53%, 91%, 75% and 79% respectivement. Concernant le groupe des NSCLC seulement (n = 24), aire sous la courbe ROC était de 0.95 ± 0.04. Sept examens étaient considérés comme positifs et 17 comme négatifs avec une sensibilité, une spécificité, valeur prédictive positive et négative de 83%, 89%, 71 et 94% respectivement. Conclusion : Le PET/CT peut aider à différencier la nature bénigne ou maligne des épanchements avec une haute spécificité chez les patients avec tumeur connue, en particulier dans un contexte de carcinome NON à petites cellules.
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Résumé Valeur prédictive des anticorps dirigés contre le cytoplasme des neutrophiles (ANCA) dans les vasculites des vaisseaux de petit calibre But du travail : Les vasculites sont des pathologies le plus souvent sévères et parfois létales ; elles nécessitent une reconnaissance et un traitement précoces. Il est donc utile de pouvoir disposer de marqueurs diagnostiques, et éventuellement de marqueurs qui puissent prédire l'activité de la maladie. Les « antineutrophil cytoplasm antibodies » (ANCA) constituent une famille d'autoanticorps dirigés contre des antigènes du cytoplasme des neutrophiles, cellules clés du processus inflammatoire au cours des vasculites. De nombreuses études ont tenté de préciser l'utilité des ANCA dans le diagnostic et le suivi des vasculites avec des résultats contradictoires. Le but de ce travail a été de passer en revue l'évolution clinique des patients suivis dans notre service pour une vasculite à ANCA et évaluer la valeur prédictive des ANCA comme marqueur de récidive. Méthode: Les dossiers médicaux de 36 patients, suivis à notre consultation ambulatoire d'immunologie et allergie du CHUV pour une vasculite à ANCA entre janvier 1990 et décembre 2001, ont été analysés de manière rétrospective afin d'établir une base de données. Les données démographiques, le type de vasculite (granulomatose de Wegener ou polyangéite microscopique) et ses caractéristiques (organes touchés), les traitements reçus, les dosages des ANCA (par immunofluorescence et par ELISA avec détermination des anti-PR3 et/ou anti-MPO), et l'évolution clinique (récidive/rémission) ont été considérés. La valeur pronostique des ANCA dans notre population a été calculée utilisant les valeurs prédictives positive et négative, la likelihood et les odds ratios. La valeur statistique a été examinée par les tests Chi-square test ou Fisher's exact test (valeur significative définie comme p <0.05) à l'aide du programme GraphPad Instat software version 3, San Diego, CA. Résultats : Vingt-trois patients atteints d'une maladie de Wegener et treize d'une polyangéite microscopique ont été suivis pour une durée médiane de cinq ans (entre 1 mois et 16 ans). La plupart des patients ont été traités avec des corticostéroïdes associés à du cyclophosphamide. Une rémission a été obtenue chez 21 patients (91 %) atteints d'une maladie de Wegener, mais 74% ont présenté par la suite une récidive. Tous les patients atteints d'une polyangéite microscopique sont entrés en rémission et 33% ont par la suite récidivé. Une élévation persistante (définie comme supérieure à 6 mois) des ANCA ne s'est pas révélée associée à un risque statistiquement significatif de récidive (p=0.14). En revanche, une élévation soudaine du taux des ANCA s'est démontrée prédictive d'une récidive (table 3). Conclusion : Durant le suivi de certaines vasculites, comme la granulomatose de Wegener et la polyangéite microscopique une élévation des ANCA doit faire redouter une exacerbation de la maladie et, par conséquent, justifie une surveillance accrue.
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Mapping the human auditory cortex with standard functional imaging techniques is difficult because of its small size and angular position along the Sylvian fissure. As a result, the exact number and location of auditory cortex areas in the human remains unknown. In a first experiment, we measured the two largest tonotopic areas of primary auditory cortex (PAC, Al and R) using high-resolution functional MRI at 7 Tesla relative to the underlying anatomy of Heschl's gyrus (HG). The data reveals a clear anatomical- functional relationship that indicates the location of PAC across the range of common morphological variants of HG (single gyri, partial duplication and complete duplication). Human PAC tonotopic areas are oriented along an oblique posterior-to-anterior axis with mirror-symmetric frequency gradients perpendicular to HG, as in the macaque. In a second experiment, we tested whether these primary frequency-tuned units were modulated by selective attention to preferred vs. non-preferred sound frequencies in the dynamic manner needed to account for human listening abilities in noisy environments, such as cocktail parties or busy streets. We used a dual-stream selective attention experiment where subjects attended to one of two competing tonal streams presented simultaneously to different ears. Attention to low-frequency tones (250 Hz) enhanced neural responses within low-frequency-tuned voxels relative to high (4000 Hz), and vice versa when at-tention switched from high to low. Human PAC is able to tune into attended frequency channels and can switch frequencies on demand, like a radio. In a third experiment, we investigated repetition suppression effects to environmental sounds within primary and non-primary early-stage auditory areas, identified with the tonotopic mapping design. Repeated presentations of sounds from the same sources, as compared to different sources, gave repetition suppression effects within posterior and medial non-primary areas of the right hemisphere, reflecting their potential involvement in semantic representations. These three studies were conducted at 7 Tesla with high-resolution imaging. However, 7 Tesla scanners are, for the moment, not yet used for clinical diagnosis and mostly reside in institutions external to hospitals. Thus, hospital-based clinical functional and structural studies are mainly performed using lower field systems (1.5 or 3 Tesla). In a fourth experiment, we acquired tonotopic maps at 3 and 7 Tesla and evaluated the consistency of a tonotopic mapping paradigm between scanners. Mirror-symmetric gradients within PAC were highly similar at 7 and 3 Tesla across renderings at different spatial resolutions. We concluded that the tonotopic mapping paradigm is robust and suitable for definition of primary tonotopic areas, also at 3 Tesla. Finally, in a fifth study, we considered whether focal brain lesions alter tonotopic representations in the intact ipsi- and contralesional primary auditory cortex in three patients with hemispheric or cerebellar lesions, without and with auditory complaints. We found evidence for tonotopic reorganisation at the level of the primary auditory cortex in cases of brain lesions independently of auditory complaints. Overall, these results reflect a certain degree of plasticity within primary auditory cortex in different populations of subjects, assessed at different field strengths. - La cartographie du cortex auditif chez l'humain est difficile à réaliser avec des techniques d'imagerie fonctionnelle standard, étant donné sa petite taille et position angulaire le long de la fissure sylvienne. En conséquence, le nombre et l'emplacement exacts des différentes aires du cortex auditif restent inconnus chez l'homme. Lors d'une première expérience, nous avons mesuré, avec de l'imagerie par résonance magnétique à haute intensité (IRMf à 7 Tesla) chez des sujets humains sains, deux larges aires au sein du cortex auditif primaire (PAC; Al et R) avec une représentation spécifique des fréquences pures préférées - ou tonotopie. Nos résultats ont démontré une relation anatomico- fonctionnelle qui définit clairement la position du PAC à travers toutes les variantes du gyrus d'Heschl's (HG). Les aires tonotopiques du PAC humain sont orientées le long d'un axe postéro-antérieur oblique avec des gradients de fréquences spécifiques perpendiculaires à HG, d'une manière similaire à celles mesurées chez le singe. Dans une deuxième expérience, nous avons testé si ces aires primaires pouvaient être modulées, de façon dynamique, par une attention sélective pour des fréquences préférées par rapport à celles non-préférées. Cette modulation est primordiale lors d'interactions sociales chez l'humain en présence de bruits distracteurs tels que d'autres discussions ou un environnement sonore nuisible (comme par exemple, dans la circulation routière). Dans cette étude, nous avons utilisé une expérience d'attention sélective où le sujet devait être attentif à une des deux voies sonores présentées simultanément à chaque oreille. Lorsque le sujet portait était attentif aux sons de basses fréquences (250 Hz), la réponse neuronale relative à ces fréquences augmentait par rapport à celle des hautes fréquences (4000 Hz), et vice versa lorsque l'attention passait des hautes aux basses fréquences. De ce fait, nous pouvons dire que PAC est capable de focaliser sur la fréquence attendue et de changer de canal selon la demande, comme une radio. Lors d'une troisième expérience, nous avons étudié les effets de suppression due à la répétition de sons environnementaux dans les aires auditives primaires et non-primaires, d'abord identifiées via le protocole de la première étude. La présentation répétée de sons provenant de la même source sonore, par rapport à de sons de différentes sources sonores, a induit un effet de suppression dans les aires postérieures et médiales auditives non-primaires de l'hémisphère droite, reflétant une implication de ces aires dans la représentation de la catégorie sémantique. Ces trois études ont été réalisées avec de l'imagerie à haute résolution à 7 Tesla. Cependant, les scanners 7 Tesla ne sont pour le moment utilisés que pour de la recherche fondamentale, principalement dans des institutions externes, parfois proches du patient mais pas directement à son chevet. L'imagerie fonctionnelle et structurelle clinique se fait actuellement principalement avec des infrastructures cliniques à 1.5 ou 3 Tesla. Dans le cadre dune quatrième expérience, nous avons avons évalués la cohérence du paradigme de cartographie tonotopique à travers différents scanners (3 et 7 Tesla) chez les mêmes sujets. Nos résultats démontrent des gradients de fréquences définissant PAC très similaires à 3 et 7 Tesla. De ce fait, notre paradigme de définition des aires primaires auditives est robuste et applicable cliniquement. Finalement, nous avons évalués l'impact de lésions focales sur les représentations tonotopiques des aires auditives primaires des hémisphères intactes contralésionales et ipsilésionales chez trois patients avec des lésions hémisphériques ou cérébélleuses avec ou sans plaintes auditives. Nous avons trouvé l'évidence d'une certaine réorganisation des représentations topographiques au niveau de PAC dans le cas de lésions cérébrales indépendamment des plaintes auditives. En conclusion, nos résultats démontrent une certaine plasticité du cortex auditif primaire avec différentes populations de sujets et différents champs magnétiques.
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Tumor-infiltrating lymphocytes are present in a variety of tumors and play a central role in antitumor immune responses. Nevertheless, most cancers progress probably because tumors are only weakly immunogenic and develop multiple immunosuppressive mechanisms. In the present study, on head and neck squamous cell carcinoma, we found high intraepithelial infiltration of regulatory FOXP3(+) T cells, and relatively high levels of BDCA2(+) and FOXP3(+) cells in stromal (peripheral) regions of the tumors. Tumor-infiltrating (intraepithelial) FOXP3(+) T cells were significantly more frequent in patients with oropharynx and oral cavity squamous cell carcinoma and in patients without lymph node metastasis. Furthermore, arginase-II (ARG2) was expressed by 60%, inducible nitric oxide synthetase by 9%, cyclooxygenase-2 by 43%, and B-cell lymphoma 2 (BCL2) by 26% of tumors. Interestingly, the absence of ARG2 expression, enhanced stromal infiltration of CD11c(+) myeloid dendritic cells, and high numbers of FOXP3(+) T cells were each significantly associated with prolonged overall survival, and the latter two parameters were also confirmed by multivariate analysis. For disease-free survival, multivariate analysis revealed significant negative correlations with BCL2 and ARG2 expression by tumor cells. These findings shed new light on mechanisms of cancer progression, and provide rationales for therapeutic inhibition of immunosuppressive mechanisms in head and neck squamous cell carcinoma.
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Objectives. The goal of this study is to evaluate a T2-mapping sequence by: (i) measuring the reproducibility intra- and inter-observer variability in healthy volunteers in two separate scanning session with a T2 reference phantom; (2) measuring the mean T2 relaxation times by T2-mapping in infarcted myocardium in patients with subacute MI and compare it with patient's the gold standard X-ray coronary angiography and healthy volunteers results. Background. Myocardial edema is a consequence of an inflammation of the tissue, as seen in myocardial infarct (MI). It can be visualized by cardiovascular magnetic resonance (CMR) imaging using the T2 relaxation time. T2-mapping is a quantitative methodology that has the potential to address the limitation of the conventional T2-weighted (T2W) imaging. Methods. The T2-mapping protocol used for all MRI scans consisted in a radial gradient echo acquisition with a lung-liver navigator for free-breathing acquisition and affine image registration. Mid-basal short axis slices were acquired.T2-maps analyses: 2 observers semi- automatically segmented the left ventricle in 6 segments accordingly to the AHA standards. 8 healthy volunteers (age: 27 ± 4 years; 62.5% male) were scanned in 2 separate sessions. 17 patients (age : 61.9 ± 13.9 years; 82.4% male) with subacute STEMI (70.6%) and NSTEMI underwent a T2-mapping scanning session. Results. In healthy volunteers, the mean inter- and intra-observer variability over the entire short axis slice (segment 1 to 6) was 0.1 ms (95% confidence interval (CI): -0.4 to 0.5, p = 0.62) and 0.2 ms (95% CI: -2.8 to 3.2, p = 0.94, respectively. T2 relaxation time measurements with and without the correction of the phantom yielded an average difference of 3.0 ± 1.1 % and 3.1 ± 2.1 % (p = 0.828), respectively. In patients, the inter-observer variability in the entire short axis slice (S1-S6), was 0.3 ms (95% CI: -1.8 to 2.4, p = 0.85). Edema location as determined through the T2-mapping and the coronary artery occlusion as determined on X-ray coronary angiography correlated in 78.6%, but only in 60% in apical infarcts. All except one of the maximal T2 values in infarct patients were greater than the upper limit of the 95% confidence interval for normal myocardium. Conclusions. The T2-mapping methodology is accurate in detecting infarcted, i.e. edematous tissue in patients with subacute infarcts. This study further demonstrated that this T2-mapping technique is reproducible and robust enough to be used on a segmental basis for edema detection without the need of a phantom to yield a T2 correction factor. This new quantitative T2-mapping technique is promising and is likely to allow for serial follow-up studies in patients to improve our knowledge on infarct pathophysiology, on infarct healing, and for the assessment of novel treatment strategies for acute infarctions.
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Rapport de synthèse : Objectif : Le but de ce travail est d`étudier l'angiographie par scanner multi-barrette (AS) dans l'évaluation de l'artériopathie oblitérante (AOMI) de l'aorte abdominale et des membres inférieurs utilisant une méthode adaptative d'acquisition pour optimiser le rehaussement artériel en particulier pour le lit artériel distal et les artères des pieds. Matériels et méthodes : Trente-quatre patients pressentant une AOMI ont bénéficié d'une angiographie trans-cathéter (ATC) et d'une AS dans un délai inférieur ou égal à 15 jours. L'AS a été effectuée du tronc coeliaque jusqu'aux artères des pieds en une seule acquisition utilisant une haute résolution spatiale (16x0.625 mm). La vitesse de table et le temps de rotation pour chaque examen ont été choisis selon le temps de transit du produit de contraste, obtenu après un bolus test. Une quantité totale de 130 ml de contraste à 4 ml/s a été utilisée. L'analyse des images de l'AS a été effectuée par deux observateurs et les données ATC ont été interprétées de manière indépendante par deux autres observateurs. L'analyse a inclus la qualité de l'image et la détection de sténose supérieure ou égale à 50 % par patient et par segment artériel. La sensibilité et la spécificité de l'AS ont été calculées en considérant l'ATC comme examen de référence. La variabilité Interobservateur a été mesurée au moyen d'une statistique de kappa. Résultas : L'ATC a été non-conclusive dans 0.7 % des segments, tandis que l'AS était conclusive dans tous les segments. Sur l'analyse par patient, la sensibilité et la spécificité totales pour détecter une sténose significative égale ou supérieure à 50 % étaient de 100 %. L'analyse par segment a montré des sensibilités et de spécificités variant respectivement de 91 à 100 % et de 81 à 100 %. L'analyse des artères distales des pieds a révélé une sensibilité de 100 % et une spécificité de 90 %. Conclusion : L'angiographie par CT multi-barrettes utilisant cette méthode adaptative d'acquisition améliore la qualité de l'image et fournit une technique non-invasive et fiable pour évaluer L'AOMI, y compris les artères distales des pieds.
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Au cours des deux dernières décennies, la technique d'imagerie arthro-scanner a bénéficié de nombreux progrès technologiques et représente aujourd'hui une excellente alternative à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et / ou arthro-IRM dans l'évaluation des pathologies de la hanche. Cependant, elle reste limitée par l'exposition aux rayonnements ionisants importante. Les techniques de reconstruction itérative (IR) ont récemment été mis en oeuvre avec succès en imagerie ; la littérature montre que l'utilisation ces dernières contribue à réduire la dose d'environ 40 à 55%, comparativement aux protocoles courants utilisant la rétroprojection filtrée (FBP), en scanner de rachis. A notre connaissance, l'utilisation de techniques IR en arthro-scanner de hanche n'a pas été évaluée jusqu'à présent. Le but de notre étude était d'évaluer l'impact de la technique ASIR (GE Healthcare) sur la qualité de l'image objective et subjective en arthro-scanner de hanche, et d'évaluer son potentiel en terme de réduction de dose. Pour cela, trente sept patients examinés par arthro-scanner de hanche ont été randomisés en trois groupes : dose standard (CTDIvol = 38,4 mGy) et deux groupes de dose réduite (CTDIvol = 24,6 ou 15,4 mGy). Les images ont été reconstruites en rétroprojection filtrée (FBP) puis en appliquant différents pourcentages croissants d'ASIR (30, 50, 70 et 90%). Le bruit et le rapport contraste sur bruit (CNR) ont été mesurés. Deux radiologues spécialisés en imagerie musculo-squelettique ont évalué de manière indépendante la qualité de l'image au niveau de plusieurs structures anatomiques en utilisant une échelle de quatre grades. Ils ont également évalué les lésions labrales et du cartilage articulaire. Les résultats révèlent que le bruit augmente (p = 0,0009) et le CNR diminue (p = 0,001) de manière significative lorsque la dose diminue. A l'inverse, le bruit diminue (p = 0,0001) et le contraste sur bruit augmente (p < 0,003) de manière significative lorsque le pourcentage d'ASIR augmente ; on trouve également une augmentation significative des scores de la qualité de l'image pour le labrum, le cartilage, l'os sous-chondral, la qualité de l'image globale (au delà de ASIR 50%), ainsi que le bruit (p < 0,04), et une réduction significative pour l'os trabuculaire et les muscles (p < 0,03). Indépendamment du niveau de dose, il n'y a pas de différence significative pour la détection et la caractérisation des lésions labrales (n=24, p = 1) et des lésions cartilagineuses (n=40, p > 0,89) en fonction du pourcentage d'ASIR. Notre travail a permis de montrer que l'utilisation de plus de 50% d'ASIR permet de reduire de manière significative la dose d'irradiation reçue par le patient lors d'un arthro-scanner de hanche tout en maintenant une qualité d'image diagnostique comparable par rapport à un protocole de dose standard utilisant la rétroprojection filtrée.
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BACKGROUND: Age and the Glasgow Coma Scale (GCS) score on admission are considered important predictors of outcome after traumatic brain injury. We investigated the predictive value of the GCS in a large group of patients whose computerised multimodal bedside monitoring data had been collected over the previous 10 years. METHODS: Data from 358 subjects with head injury, collected between 1992 and 2001, were analysed retrospectively. Patients were grouped according to year of admission. Glasgow Outcome Scores (GOS) were determined at six months. Spearman's correlation coefficients between GCS and GOS scores were calculated for each year. RESULTS: On average 34 (SD: 7) patients were monitored every year. We found a significant correlation between the GCS and GOS for the first five years (overall 1992-1996: r = 0.41; p<0.00001; n = 183) and consistent lack of correlations from 1997 onwards (overall 1997-2001: r = 0.091; p = 0.226; n = 175). In contrast, correlations between age and GOS were in both time periods significant and similar (r = -0.24 v r = -0.24; p<0.002). CONCLUSIONS: The admission GCS lost its predictive value for outcome in this group of patients from 1997 onwards. The predictive value of the GCS should be carefully reconsidered when building prognostic models incorporating multimodality monitoring after head injury.
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The age-dependent choice between expressing individual learning (IL) or social learning (SL) affects cumulative cultural evolution. A learning schedule in which SL precedes IL is supportive of cumulative culture because the amount of nongenetically encoded adaptive information acquired by previous generations can be absorbed by an individual and augmented. Devoting time and energy to learning, however, reduces the resources available for other life-history components. Learning schedules and life history thus coevolve. Here, we analyze a model where individuals may have up to three distinct life stages: "infants" using IL or oblique SL, "juveniles" implementing IL or horizontal SL, and adults obtaining material resources with learned information. We study the dynamic allocation of IL and SL within life stages and how this coevolves with the length of the learning stages. Although no learning may be evolutionary stable, we find conditions where cumulative cultural evolution can be selected for. In that case, the evolutionary stable learning schedule causes individuals to use oblique SL during infancy and a mixture between IL and horizontal SL when juvenile. We also find that the selected pattern of oblique SL increases the amount of information in the population, but horizontal SL does not do so.