536 resultados para Traitement de signal
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Blue light is known to cause rapid phosphorylation of a membrane protein in etiolated seedlings of several plant species, a protein that, at least in etiolated pea seedlings and maize coleoptiles, has been shown to be associated with the plasma membrane. The light-driven phosphorylation has been proposed on the basis of correlative evidence to be an early step in the signal transduction chain for phototropism. In the Arabidopsis thaliana mutant JK224, the sensitivity to blue light for induction of first positive phototropism is known to be 20- to 30-fold lower than in wild type, whereas second positive curvature appears to be normal. While light-induced phosphorylation can be demonstrated in crude membrane preparations from shoots of the mutant, the level of phosphorylation is dramatically lower than in wild type, as is the sensitivity to blue light. Another A. thaliana mutant, JK218, that completely lacks any phototropic responses to up to 2 h of irradiation, shows a normal level of light-induced phosphorylation at saturation. Since its gravitropic sensitivity is normal, it is presumably blocked in some step between photoreception and the confluence of the signal transduction pathways for phototropism and gravitropism. We conclude from mutant JK224 that light-induced phosphorylation plays an early role in the signal transduction chain for phototropism in higher plants.
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Résumé : Introduction : l'ostéoporose est une maladie caractérisée par une masse osseuse diminuée et une structure osseuse appauvrie amenant à une fragilité osseuse augmentée et par conséquent à une augmentation du risque fracturaire. Elle est associée à une morbidité et mortalité importantes. Il existe de nombreuses substances à disposition pour son traitement. La modalité d'administration est très variable selon la substance prescrite. Les bisphosphonates, puissants antirésorbeurs osseux, sont la classe médicamenteuse de référence. Malheureusement, prescrits per os, iIs ont fréquemment des effets secondaires digestifs limitant leur usage et sont donc mieux tolérés en iv. C'est le pamidronate qui a été le premier prescrit et reste le plus utilisé. Méthode : le meilleur régime d'administration du pamidronate n'étant pas connu, nous avons testé son effet à différentes doses sur les marqueurs du remodelage osseux et la densitométrie osseuse. Trois modalités d'administration pour une dose annuelle constante (30 mg tous les 3 mois, 40 mg tous les 4 mois et 60 mg tous les 6 mois) ont été comparées chez des femmes postménopausées avec une ostéoporose. 39 patientes ont été recrutées sur 2 ans et réparties en 2 groupes appelés EFAP 1 et 2 pour Evaluation de la Fréquence d'Administration du Pamidronate selon la fréquence des contrôles de sang. Résultats : au cours des 6 premiers mois de traitement, on observe une chute rapide des télopeptides sanguins dès le premier mois qui suit l'injection de 30, 40 ou 60 mg de pamidronate avec toutefois, une inhibition de la résorption osseuse plus efficace à long terme pour les traitements fractionnés (30 et 40 mg). Des résultats similaires sont obtenus pour l'ostéocalcine. Il n'existe en revanche pas de modifications significatives des autres paramètres (calcémie, PTH, vitamine D et phosphatase alcaline) dans les 3 groupes. Ces résultats se confirment après 24 mois de traitement avec une efficacité plus marquée pour les traitements 30 et 40 mg. Sur le plan des valeurs de densitométrie osseuse, après 2 ans de traitement, les valeurs sont augmentées de façon significative sur la colonne lombaire avec les trais dosages, de façon non significatives sur le col fémoral et de façon significative pour le trochanter avec le dosage de 40 mg seulement. Conclusions : bien que cette étude démontre des gains de densité osseuse quasi identiques entre les 3 modes d'administration pour une dose annuelle cumulée de 120 mg, l'inhibition du remodelage osseux est beaucoup plus importante avec les doses de 30 ou 40 mg tous les 3 ou 4 mois qu'avec 60 mg tous les 6 mois. Ces deux modes d'administration permettent de mieux expliquer le lien entre l'effet sur les marqueurs et sur la densitométrie osseuse.
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Résumé Les patients ayant subi une transplantation cardiaque nécessitent un traitement immunosuppresseur à vie. Or un tel traitement entraîne différents effets secondaires, en fonction du médicament et des doses utilisés. La ciclosporine, connue pour sa puissante action immunosuppressive, est utilisée chez ces patients avec grand succès. Ainsi, ces dernières années, on a assisté à une diminution de la morbidité et de la mortalité post- transplantation. Ce succès s'accompagne toutefois d'effets secondaires, qui s'expriment principalement par une hypertension artérielle (HTA) et une dysfonction rénale voire une insuffisance rénale (augmentation de la créatinine et diminution de la clearance de la créatinine). L'introduction d'un nouvel immunosuppresseur, le mycophénolate mofétil (MMF, Cellcept), qui remplace l'azathioprine (AZA), a permis une réduction importante des doses de ciclosporine de 3-5mg/l(g/j à 1- 3mg/l(g/j. Or certaines études ont permis d'observer que l'utilisation du MMF associé à de faibles doses de ciclosporine après la transplantation entraîne une meilleure évolution chez les patients, notamment pour ce qui est de la tension artérielle (TA) et de la fonction rénale. Objectifs Il s'agit de déterminer l'influence, dans le temps, du MMF associé à de faibles doses de ciclosporine sur la TA et la fonction rénale chez les patients transplantés cardiaques, dans deux cas de figure: d'une part lorsque le traitement est commencé immédiatement après la transplantation, d'autre part lorsqu'il n'est introduit qu'une fois la détérioration de la fonction rénale apparue. Patients et méthodes La présente analyse rétrospective porte sur 105 patients ayant subi une transplantation cardiaque au CHUV de Lausanne, évalués un an après la greffe. Les patients ont été subdivisés en 3 groupes. Le groupe 1(67 patients) a reçu de la ciclosporine à doses conventionnelles (3-5mg11<g/j) et de l'azathioprine dès la transplantation. Les patients du groupe II (30 personnes) ont également reçu de la ciclosporine et de l'azathioprine, mais, en raison d'une détérioration rénale progressive, de myalgies ou d'arthralgies secondaires à la ciclosporine, ont bénéficié d'une modification du traitement consistant en une réduction des doses de ciclosporine en association avec du MMF (2gr1j) à la place de l'azathioprine. Enfin, les patients du groupe III (8 patients suivis pendant 2 ans maximum), ont reçu, dès la transplantation, du MMF (2g/D associé à de faibles doses de ciclosporine (jusqu'à 50% de moins que la dose conventionnelle, c'est-à-dire entre 1,0 et 1,5 meg/j). La TA, la créatinine, la clearance de la créatinine, l'incidence des infections et des rejets ont été analysées. Résultats La TA et la créatinine ont augmenté significativement au cours de la première année dans les 3 groupes, sans différences significatives entre ceux-ci. Pendant 5 ans, l'évolution des groupes I et II est restée similaire. Dans le groupe II, aucune amélioration de la créatinine et de la tension artérielle n'a été observée après la modification du traitement. Le groupe III, en revanche, a montré une très claire diminution de l'incidence des rejets aigus, aucun décès et une tendance (non significative) à une meilleure évolution de la créatinine et de la tension artérielle au cours de la première année en comparaison avec les groupes I et II. En ce qui concerne l'incidence des infections, il n'y a pas de différences entre les 3 groupes. Conclusion Une fois qu'une détérioration importante de la fonction rénale est apparue suite à l'administration de doses conventionnelles de ciclosporine, il est peu probable de réussir à récupérer la fonction rénale par une modification du traitement (MMF et faibles doses de ciclosporine), car le rein n'a plus de tissu fonctionnel de réserve. Le traitement associant le MMF à de faibles doses de ciclosporine administré dès la transplantation ayant montré une tendance à une meilleure évolution, notamment à une réduction de l'incidence des rejets (importante cause de mortalité) au cours de la première année, nous pensons que ce nouveau régime de traitement peut être plus bénéfique pour les patients s'il est introduit rapidement après la transplantation.
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Characteristic symptoms of malaria include recurrent fever attacks and neurodegeneration, signs that are also found in patients with a hyperactive Nalp3 inflammasome. Plasmodium species produce a pigment called hemozoin that is generated by detoxification of heme after hemoglobin degradation in infected red blood cells. We will present data showing that hemoroin acts as a proinflammatory danger signal through activation of the Nalp3 inflammasome, causing the release of IL-1β. Similar to other Nalp3-activating particles, hemozoin activity is blocked by inhibitors of phagocytosis, K+ efflux and NADPH oxidase. In vivo, injection of hemozoin results in acute peritonitis, which is impaired in Nalp3- and IL-1R-deficient mice. Moreover, the pathogenesis of cerebral malaria is reduced in caspase-1-deficient mice infected with Plasmodium berghei sporozoites, while parasitemia remains unchanged. Thus, Plasmodium-generated hemozoin may act as a danger signal resulting in an uncontrolled proinflammatory host response and thereby contributing to the cerebral manifestations seen in malaria.
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We studied the influence of signal variability on human and model observers for detection tasks with realistic simulated masses superimposed on real patient mammographic backgrounds and synthesized mammographic backgrounds (clustered lumpy backgrounds, CLB). Results under the signal-known-exactly (SKE) paradigm were compared with signal-known-statistically (SKS) tasks for which the observers did not have prior knowledge of the shape or size of the signal. Human observers' performance did not vary significantly when benign masses were superimposed on real images or on CLB. Uncertainty and variability in signal shape did not degrade human performance significantly compared with the SKE task, while variability in signal size did. Implementation of appropriate internal noise components allowed the fit of model observers to human performance.
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Purpose: To develop and evaluate a practical method for the quantification of signal-to-noise ratio (SNR) on coronary MR angiograms (MRA) acquired with parallel imaging.Materials and Methods: To quantify the spatially varying noise due to parallel imaging reconstruction, a new method has been implemented incorporating image data acquisition followed by a fast noise scan during which radio-frequency pulses, cardiac triggering and navigator gating are disabled. The performance of this method was evaluated in a phantom study where SNR measurements were compared with those of a reference standard (multiple repetitions). Subsequently, SNR of myocardium and posterior skeletal muscle was determined on in vivo human coronary MRA.Results: In a phantom, the SNR measured using the proposed method deviated less than 10.1% from the reference method for small geometry factors (<= 2). In vivo, the noise scan for a 10 min coronary MRA acquisition was acquired in 30 s. Higher signal and lower SNR, due to spatially varying noise, were found in myocardium compared with posterior skeletal muscle.Conclusion: SNR quantification based on a fast noise scan is a validated and easy-to-use method when applied to three-dimensional coronary MRA obtained with parallel imaging as long as the geometry factor remains low.
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Epithelial to Mesenchymal transition (EMT) in cancer, a process permitting cancer cells to become mobile and metastatic, has a signaling hardwire forged from development. Multiple signaling pathways that regulate carcinogenesis enabling characteristics in neoplastic cells such as proliferation, resistance to apoptosis and angiogenesis are also the main players in EMT. These pathways, as almost all cellular processes, are in their turn regulated by ubiquitination and the Ubiquitin-Proteasome System (UPS). Ubiquitination is the covalent link of target proteins with the small protein ubiquitin and serves as a signal to target protein degradation by the proteasome or to other outcomes such as endocytosis, degradation by the lysosome or specification of cellular localization. This paper reviews signal transduction pathways regulating EMT and being regulated by ubiquitination.
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According to the World Health Organization, 5.1% of blindnesses or visual impairments are related to corneal opacification. Cornea is a transparent tissue placed in front of the color of the eye. Its transparency is mandatory for vision. The ocular surface is a functional unit including the cornea and all the elements involved in maintaining its transparency i.e., the eyelids, the conjunctiva, the lymphoid tissue of the conjunctiva, the limbus, the lacrymal glands and the tear film. The destruction of the ocular surface is a disease caused by : traumatisms, infections, chronic inflammations, cancers, toxics, unknown causes or congenital abnormalities. The treatment of the ocular surface destruction requires a global strategy including all the elements that are involved in its physiology. The microenvironnement of the ocular surface must first be restored, i.e., the lids, the conjunctiva, the limbus and the structures that secrete the different layers of the tear film. In a second step, the transparency of the cornea can be reconstructed. A corneal graft performed in a healthy ocular surface microenvironnement will have a better survival rate. To achieve these goals, a thorough understanding of the renewal of the epitheliums and the role of the epithelial stem cells are mandatory.
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In auto-inflammatory diseases, the role of the inflammasome and the interleukine IL-1beta has recently been shown. Thus, the physiopathology of rare diseases as Cryopyrin-associated periodic syndrome (CAPS) is better understood. In the era of biologics, new treatments targeting IL-1 have been developped. Canakinumab is a fully humanized monoclonal antibody inhibiting specifically IL-1beta Clinical studies have shown its efficacy on clinical symptoms and on inflammatory markers in patients with rare diseases such as CAPS or idiopathic juvenile arthritis, but also in more common rheumatic conditions like gout. Canakinumab has been approved in Switzerland only for the treatment of CAPS. Studies evaluating its effect on cardiovascular diseases are ongoing.