92 resultados para Oblique ligament


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

In the past 2 decades, there has been an increase in both basic science research detailing the anatomy and biomechanics of the native posterior cruciate ligament (PCL) and outcome studies evaluating manage- ment of the ruptured PCL. While the methodology of the latter continues to improve, results based on the current level of evidence must be interpreted cautiously (18). The focus of many recent studies has been double-bundle versus single-bundle reconstruction techniques. The theoretical advantage goes to double-bundle techniques, but a clinical difference in outcome has not been consistently demonstrated (8,17). Some biomechanical studies have reported improved control of posterior laxity with double-bundle reconstruc- tion; however, results appear to be more dependent on tunnel position and graft tensioning (13). In acute isolated symptomatic PCL injuries in which the posteromedial bundle and the meniscofemoral ligament remain intact, a single-bundle augmentation procedure may be the preferred surgical technique. In more complex PCL ruptures with associated injuries involving the posterolateral structures (PLS) or medial collateral ligament, more benefit may be derived from double-bundle reconstruction. Again, cadaveric testing of double-bundle PCL reconstruction has not consistently outperformed single-bundle techniques in combined PCL/PLS injury (3). Multi-ligamentous injuries are commonly associated with PCL rupture (15), and their management should be considered carefully in the decision to reconstruct one or both of the functionally dis- tinct PCL bundles. However, the technical complexity of double-bundle reconstruction, the longer surgical time required, as well as the inconclusive clinical outcome are all factors that must be weighed carefully.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : Le bloc transverse de l'abdomen (bloc TAP, Transversus Abdominis Plane) échoguidé consiste en l'injection d'anesthésique local dans la paroi abdominale entre les muscles oblique interne et transverse de l'abdomen sous contrôle échographique. Ceci permet de bloquer l'innervation sensitive de la paroi antérolatérale de l'abdomen afin de soulager la douleur après des interventions chirurgicales. Auparavant, cette procédure reposait sur une technique dite « à l'aveugle » qui utilisait des repères anatomiques de surface. Depuis quelques années, cette technique est effectuée sous guidage échographique ; ainsi, il est possible de visualiser les structures anatomiques, l'aiguille et l'anesthésique local permettant ainsi une injection précise de l'anesthésique local à l'endroit désiré. Les précédentes méta- analyses sur le bloc TAP n'ont inclus qu'un nombre limité d'articles et n'ont pas examiné l'effet analgésique spécifique de la technique échoguidée. L'objectif de cette méta-analyse est donc de définir l'efficacité analgésique propre du bloc TAP échoguidé après des interventions abdominales chez une population adulte. Méthode : Cette méta-analyse a été effectuée selon les recommandations PRISMA. Une recherche a été effectuée dans les bases de donnée MEDLINE, Cochrane Central Register of Controlled Clinical Trials, Excerpta Medica database (EMBASE) et Cumulative Index to Nursing and Allied Health Literature (CINAHL). Le critère de jugement principal est la consommation intraveineuse de morphine cumulée à 6 h postopératoires, analysée selon le type de chirurgie (laparotomie, laparoscopie, césarienne), la technique anesthésique (anesthésie générale, anesthésie spinale avec/ou sans morphine intrathécale), le moment de l'injection (début ou fin de l'intervention), et la présence ou non d'une analgésie multimodale. Les critères de jugement secondaires sont, entre autres, les scores de douleur au repos et à l'effort à 6 h postopératoires (échelle analogique de 0 à 100), la présence ou non de nausées et vomissements postopératoires, la présence ou non de prurit, et le taux de complications de la technique. Résultats : Trente et une études randomisées contrôlées, incluant un total de 1611 adultes ont été incluses. Indépendamment du type de chirurgie, le bloc TAP échoguidé réduit la consommation de morphine à 6 h postopératoires (différence moyenne : 6 mg ; 95%IC : -7, -4 mg ; I =94% ; p<0.00001), sauf si les patients sont au bénéfice d'une anesthésie spinale avec morphine intrathécale. Le degré de réduction de consommation de morphine n'est pas influencé par le moment de l'injection (I2=0% ; p=0.72) ou la présence d'une analgésie multimodale (I2=73% ; p=0.05). Les scores de douleurs au repos et à l'effort à 6h postopératoire sont également réduits (différence moyenne au repos : -10 ; 95%IC : -15, -5 ; I =92% ; p=0.0002; différence moyenne en mouvement : -9 ; 95%IC : -14, -5 ; I2=58% ; p<0. 00001). Aucune différence n'a été retrouvée au niveau des nausées et vomissements postopératoires et du prurit. Deux complications mineures ont été identifiées (1 hématome, 1 réaction anaphylactoïde sur 1028 patients). Conclusions : Le bloc TAP échoguidé procure une analgésie postopératoire mineure et ne présente aucun bénéfice chez les patients ayant reçu de la morphine intrathécale. L'effet analgésique mineure est indépendant du moment de l'injection ou de la présence ou non d'une analgésie multimodale.