142 resultados para Evanescent wave fibre optic sensors
Resumo:
INTRODUCTION: Disulfiram has been used since the late 1940s to treat chronic alcoholism. This drug interferes with alcohol metabolism resulting in an acetaldehyde increase. This causes painful symptoms, encouraging abstinence. Side effects include rare cases of bilateral optic neuropathies. Visual recovery occurs frequently upon cessation of therapy. METHOD AND OBSERVATION: We retrospectively studied patients referred for visual loss while treated with disulfiram between 1987 and 2005. Fourteen patients (three females, 11 males; aged 35-62 years) complained of visual loss, but a toxic, disulfiram-related, optic neuropathy was diagnosed in only five patients. Following cessation of disulfiram therapy, visual acuity and field improved in all five patients. DISCUSSION: and conclusion: When disulfiram toxicity is suspected with optic neuropathy, cessation of treatment is mandatory. Visual prognosis is good in the majority of cases, as illustrated by our series. Disulfiram toxicity can be diagnosed only after excluding all other possible causes of visual loss.
Resumo:
We have explored the possibility of obtaining first-order permeability estimates for saturated alluvial sediments based on the poro-elastic interpretation of the P-wave velocity dispersion inferred from sonic logs. Modern sonic logging tools designed for environmental and engineering applications allow one for P-wave velocity measurements at multiple emitter frequencies over a bandwidth covering 5 to 10 octaves. Methodological considerations indicate that, for saturated unconsolidated sediments in the silt to sand range and typical emitter frequencies ranging from approximately 1 to 30 kHz, the observable velocity dispersion should be sufficiently pronounced to allow one for reliable first-order estimations of the permeability structure. The corresponding predictions have been tested on and verified for a borehole penetrating a typical surficial alluvial aquifer. In addition to multifrequency sonic logs, a comprehensive suite of nuclear and electrical logs, an S-wave log, a litholog, and a limited number laboratory measurements of the permeability from retrieved core material were also available. This complementary information was found to be essential for parameterizing the poro-elastic inversion procedure and for assessing the uncertainty and internal consistency of corresponding permeability estimates. Our results indicate that the thus obtained permeability estimates are largely consistent with those expected based on the corresponding granulometric characteristics, as well as with the available evidence form laboratory measurements. These findings are also consistent with evidence from ocean acoustics, which indicate that, over a frequency range of several orders-of-magnitude, the classical theory of poro-elasticity is generally capable of explaining the observed P-wave velocity dispersion in medium- to fine-grained seabed sediments
Resumo:
Shoulder disorders, including rotator cuff tears, affect the shoulder function and result in adapted muscle activation. Although these adaptations have been studied in controlled conditions, free-living activities have not been investigated. Based on the kinematics measured with inertial sensors and portable electromyography, the objectives of this study were to quantify the duration of the muscular activation in the upper trapezius (UT), medial deltoid (MD) and biceps brachii (BB) during motion and to investigate the effect of rotator cuff tear in laboratory settings and daily conditions. The duration of movements and muscular activations were analysed separately and together using the relative time of activation (TEMG/mov). Laboratory measurements showed the parameter's reliability through movement repetitions (ICC > 0.74) and differences in painful shoulders compared with healthy ones (p < 0.05): longer activation for UT; longer activation for MD during abduction and tendency to shorter activation in other movements; shorter activation for BB. In daily conditions, TEMG/mov for UT was longer, whereas it was shorter for MD and BB (p < 0.05). Moreover, significant correlations were observed between these parameters and clinical scores. This study thus provides new insights into the rotator cuff tear effect on duration of muscular activation in daily activity.
Resumo:
Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.
Resumo:
OBJECTIVES: To assess the accuracy of high-resolution (HR) magnetic resonance imaging (MRI) in diagnosing early-stage optic nerve (ON) invasion in a retinoblastoma cohort. METHODS: This IRB-approved, prospective multicenter study included 95 patients (55 boys, 40 girls; mean age, 29 months). 1.5-T MRI was performed using surface coils before enucleation, including spin-echo unenhanced and contrast-enhanced (CE) T1-weighted sequences (slice thickness, 2 mm; pixel size <0.3 × 0.3 mm(2)). Images were read by five neuroradiologists blinded to histopathologic findings. ROC curves were constructed with AUC assessment using a bootstrap method. RESULTS: Histopathology identified 41 eyes without ON invasion and 25 with prelaminar, 18 with intralaminar and 12 with postlaminar invasion. All but one were postoperatively classified as stage I by the International Retinoblastoma Staging System. The accuracy of CE-T1 sequences in identifying ON invasion was limited (AUC = 0.64; 95 % CI, 0.55 - 0.72) and not confirmed for postlaminar invasion diagnosis (AUC = 0.64; 95 % CI, 0.47 - 0.82); high specificities (range, 0.64 - 1) and negative predictive values (range, 0.81 - 0.97) were confirmed. CONCLUSION: HR-MRI with surface coils is recommended to appropriately select retinoblastoma patients eligible for primary enucleation without the risk of IRSS stage II but cannot substitute for pathology in differentiating the first degrees of ON invasion. KEY POINTS: • HR-MRI excludes advanced optic nerve invasion with high negative predictive value. • HR-MRI accurately selects patients eligible for primary enucleation. • Diagnosis of early stages of optic nerve invasion still relies on pathology. • Several physiological MR patterns may mimic optic nerve invasion.
Resumo:
Two cases of a benign form of optic disc edema after successful trabeculectomy are reported. In both patients, optic disc edema was noted 2 to 4 weeks after trabeculectomy. The edema occurred without loss of visual acuity or field. The absolute intraocular pressure and intracranial pressure were normal--that is, the edema was not a syndrome of hypotony or pseudotumor cerebri. However, both patients had intracranial pressure in the high-normal range. The decrease in intraocular pressure into the low normal range after trabeculectomy may have altered the intracranial pressure:intraocular pressure ratio at the lamina cribrosa enough to produce optic disc edema.
Resumo:
J Clin Hypertens (Greenwich). 2012;14:773-778. ©2012 Wiley Periodicals, Inc. Postmenopausal women are at greater risk for hypertension-related cardiovascular disease. Antihypertensive therapy may help alleviate arterial stiffness that represents a potential modifiable risk factor of hypertension. This randomized controlled study investigated the difference between an angiotensin receptor blocker and a calcium channel blocker in reducing arterial stiffness. Overall, 125 postmenopausal hypertensive women (age, 61.4±6 years; systolic blood pressure/diastolic blood pressure [SBP/DBP], 158±11/92±9 mm Hg) were randomized to valsartan 320 mg±hydrochlorothiazide (HCTZ) (n=63) or amlodipine 10 mg±HCTZ (n=62). The primary outcome was carotid-to-femoral pulse wave velocity (PWV) changes after 38 weeks of treatment. Both treatments lowered peripheral blood pressure (BP) (-22.9/-10.9 mm Hg for valsartan and -25.2/-11.7 mm Hg for amlodipine, P=not significant) and central BP (-15.7/-7.6 mm Hg for valsartan and -19.2/-10.3 mm Hg for amlodipine, P<.05 for central DBP). Both treatments similarly reduced the carotid-femoral PWV (-1.9 vs -1.7 m/s; P=not significant). Amlodipine was associated with a higher incidence of peripheral edema compared with the valsartan group (77% vs 14%, P<.001). BP lowering in postmenopausal women led to a reduction in arterial stiffness as assessed by PWV measurement. Both regimens reduced PWV to a similar degree after 38 weeks of treatment despite differences in central BP lowering, suggesting that the effect of valsartan on PWV is mediated through nonhemodynamic effects.
Resumo:
Needle fibre calcite is one of the most ubiquitous habits of calcite in vadose environments (caves deposits, soil pores, etc.). Its origin, either through inorganic, indirect or direct biological processes, has long been debated. In this study, investigations at 11 sites in Europe, Africa and Central America support arguments for its biogenic origin. The wide range of needle morphologies is the result of a gradual evolution of the simplest type, a rod. This rod is the elementary brick which, by aggregation and welding, builds more complex needles. The absence of cross-welded needles implies that they are welded in a mould, or under a longitudinal and unidirectional constraint, before being released inside the soil pores. The difference between the lengthening of the needles and the c axis can be explained by the existence of needles observed under a scanning electron microscope in organic sleeves, which can act as a mould during rod growth. Complex morphologies with epitaxial outgrowths on straight rods cannot have grown entirely inside organic microtubes; they must result from soil diagenesis after the release of straight rods in a soil-free medium. Whisker crystals are interpreted as the result of growth and coalescence of euhedral crystals on a rod. Rhomb chains are considered to be the consequence of successive epitaxial growth steps on a needle during variations in growth conditions. Isotopic signatures for needle fibre calcite vary from -16.63[per mille] to +1.10[per mille] and from -8.63[per mille] to -2.25[per mille] for Delta13C and Delta18O, respectively. The absence of high Delta18O values for needle fibre calcite precludes a purely physicochemical origin (evaporative) for this particular habit of calcite. As epitaxial growth cannot precipitate in the same conditions as initial needles, needle fibre calcite stable isotopic signatures should be used with caution as a proxy for palaeoenvironmental reconstructions. In addition, it is suggested that the term needle fibre calcite should be kept for the original biogenic form. The other habit should be referred to as epitaxial forms of needle fibre calcite.
Resumo:
Optic neuritis is an occasional complication of vaccination. Visual loss can be unilateral or bilateral, and most patients recover substantially without treatment. The presumptive mechanism is an immune-mediated demyelinating injury of the optic nerve. We report two patients who had permanent visual loss following influenza vaccination. Their pattern of visual loss, segmental optic disc changes, and failure of visual recovery were atypical for demyelinating optic neuritis and reminiscent of a primary ischemic injury to the optic nerve. We speculate that an immune complex-mediated vasculopathy following vaccination can cause anterior ischemic optic neuropathy. Clinicians should be aware of this entity because of the less favorable prognosis for visual recovery in these cases.
Resumo:
INTRODUCTION: To compare the power spectral changes of the voluntary surface electromyogram (sEMG) and of the compound action potential (M wave) in the vastus medialis and vastus lateralis muscles during fatiguing contractions. METHODS: Interference sEMG and force were recorded during 48 intermittent 3-s isometric maximal voluntary contractions (MVC) from 13 young, healthy subjects. M waves and twitches were evoked using supramaximal femoral nerve stimulation between the successive MVCs. Mean frequency (F mean), and median frequency were calculated from the sEMG and M waves. Muscle fiber conduction velocity (MFCV) was computed by cross-correlation. RESULTS: The power spectral shift to lower frequencies was significantly greater for the voluntary sEMG than for the M waves (P < 0.05). Over the fatiguing protocol, the overall average decrease in MFCV (~25 %) was comparable to that of sEMG F mean (~22 %), but significantly greater than that of M-wave F mean (~9 %) (P < 0.001). The mean decline in MFCV was highly correlated with the mean decreases in both sEMG and M-wave F mean. CONCLUSIONS: The present findings indicated that, as fatigue progressed, central mechanisms could enhance the relative weight of the low-frequency components of the voluntary sEMG power spectrum, and/or the end-of-fiber (non-propagating) components could reduce the sensitivity of the M-wave spectrum to changes in conduction velocity.
Resumo:
METHODS: We examined 20 patients from 2 unrelated Swiss families to describe their clinical phenotype. In addition, a linkage analysis was performed in an attempt to confirm the reported genetic homogeneity of this condition as well as to refine its genomic localization. RESULTS: Two point analysis provided a cumulative LOD-score of 3.03 with marker D3S 2305. The absence of recombination precluded further refinement of the disease interval. CONCLUSIONS: Our data confirm the genetic homogeneity and the extreme variability of expression, occasionally mimicking low tension glaucoma.