166 resultados para Construction Planning


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PURPOSE: Early assessment of radiotherapy (RT) quality in the ongoing EORTC trial comparing primary temozolomide versus RT in low-grade gliomas. MATERIALS AND METHODS: RT plans provided for dummy cases were evaluated and compared against expert plans. We analysed: (1) tumour and organs-at-risk delineation, (2) geometric and dosimetric characteristics, (3) planning parameters, compliance with dose prescription and Dmax for OAR (4) indices: RTOG conformity index (CI), coverage factor (CF), tissue protection factor (PF); conformity number (CN = PF x CF); dose homogeneity in PTV (U). RESULTS: Forty-one RT plans were evaluated. Only two (5%) centres were requested to repeat CTV-PTV delineations. Three (7%) plans had a significant under-dosage and dose homogeneity in one deviated > 10%. Dose distribution was good with mean values of 1.5, 1, 0.68, and 0.68 (ideal values = 1) for CI, CF, PF, and CN, respectively. CI and CN strongly correlated with PF and they correlated with PTV. Planning with more beams seems to increase PTV(Dmin), improving CF. U correlated with PTV(Dmax). CONCLUSION: Preliminary results of the dummy run procedure indicate that most centres conformed to protocol requirements. To quantify plan quality we recommend systematic calculation of U and either CI or CN, both of which measure the amount of irradiated normal brain tissue.

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The Plateforme Interdisciplinaire of the University of Lausanne is at the crossroad of soft and hard sciences. We question the place and the role of languages and scientific cultures in the construction and the transmission of knowledge. The examples - from the fields of law, health, mathematics, neurosciences and university education - exceed a conception of languages as transparent vehicles for ideas and discoveries. They enable to consider the diversity of languages and scientific cultures as a mean for a " thick standardization" of science, integrating and valuing the double need for conceptual depth and accessibility of scientific discourse.

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BACKGROUND: This integrative review of the literature describes the evolution in knowledge and the paradigm shift that is necessary to switch from advance directives to advance care planning. AIMS AND OBJECTIVES: It presents an analysis of concepts, trends, models and experiments that enables identification of the best treatment strategies, particularly for older people living in nursing homes. DESIGN: Based on 23 articles published between 1999 and 2012, this review distinguishes theoretical from empirical research and presents a classification of studies based on their methodological robustness (descriptive, qualitative, associative or experimental). RESULTS: It thus provides nursing professionals with evidence-based information in the form of a synthetic vision and conceptual framework to support the development of innovative care practices in the end-of-life context. While theoretical work places particular emphasis on the impact of changes in practice on the quality of care received by residents, empirical research highlights the importance of communication between the different persons involved about care preferences at the end of life and the need for agreement between them. CONCLUSIONS: The concept of quality of life and the dimensions and factors that compose it form the basis of Advance care planning (ACP) and enable the identification of the similarities and differences between various actors. They inform professionals of the need to ease off the biomedical approach to consider the attributes prioritised by those concerned, whether patients or families, so as to improve the quality of care at the end of life. IMPLICATIONS FOR PRACTICE: It is particularly recommended that all professionals involved take into account key stakeholders' expectations concerning what is essential at the end of life, to enable enhanced communication and decision-making when faced with this difficult subject.

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Réalisée dans le cadre du projet de recherche initié à la section d'histoire et esthétique du cinéma de l'Université de Lausanne autour du concept « d'Épistémè 1900 », cette thèse cherche à mettre en rapport dialogique deux « ensembles » formés par l'histoire du cinéma et l'histoire des sciences du psychisme dans une période circonscrite entre 1880 et 1910. Il s'agit de repenser les liens entre cinéma et sciences du psychisme, chacun de ces ensembles discursifs étant traités au même niveau en tant qu'objets historiques de savoir qui ont des choses à nous apprendre sur le cinéma en tant que phénomène culturel, anthropologique et social. Au passage du siècle, cinéma et sciences du psychisme se rencontrent au coeur d'une nouvelle problématisation du sujet définie par des savoirs scientifiques et parascientifiques alors confrontés aux phénomènes intriguants de l'hystérie et de l'hypnose. L'hystérie et l'hypnose provoquent des états nerveux lesquels constituent un terrain propice au développement de sujets divisés, hallucinés et intrancés, conduisant les médecins et psychologues à remettre en question l'idée d'un moi homogène et contrôlé. L'expansion d'une culture névrotique fabriquant à la chaîne des corps automatiques voués à leur inconscient cérébral permet de rapprocher le cinéma et les théories du psychisme sur une base qui a été rarement explorée jusqu'ici, en particulier relativement à la construction (théorique) du spectateur de cinéma. Si le dispositif cinématographique en tant que technique, représentation et modèle de pensée reprend à son compte l'imaginaire médical de cette époque, il contribue également en retour à façonner une conception de la subjectivité étroitement tributaire des technologies contemporaines et des fantasmes qu'elles génèrent. Aux côtés des personnages hystériques filmés par les premiers opérateurs, les spectateurs tels que décrits dans les textes-sources participent, d'une part à attester de la persistance du modèle neuro-pathologique dans la culture visuelle du début du XXe siècle, et d'autre part à transformer la vision savante du sujet dans ses rapports perceptifs et affectifs avec le monde environnant. C'est donc dans une logique d'interactions réciproques qu'il faut envisager les rapports entre le cinéma (conçu ici essentiellement comme comme un dispositif réunissant un appareillage, une image et un spectateur) et les connaissances relatives à l'intériorité psychique qui s'élaborent dans le domaine des sciences médico-psychologiques. Pour étudier ces rapports, j'ai choisi la figure du spectateur puisque les théories du psychisme s'intéressent prioritairement à l'humain et à sa subjectivité. À partir de cette figure-clé, j'ai tenté de montrer comment le spectacle cinématographique et les sciences du psychisme participent à des réflexions sur l'avènement d'une nouvelle forme de subjectivité consonante avec la modernité, une modernité qui bouleverse la manière d'envisager le fonctionnement de l'appareil psychique, donc les rapports de l'individu à soi-même et à ses images, mais aussi aux autres et au monde en général. Les croisements entre le sujet du cinéma et le sujet des sciences du psychisme s'effectuent autour de quatre paradigmes selon moi définitoires de la subjectivité autour de 1900 et structurant l'ensemble de cette recherche : la fatigue, le choc, l'hallucination et l'hypnose. En parcourant les sources, on s'aperçoit en effet qu'elles envisagent le corps humain tantôt comme une machine (un corps thermodynamique et électrophysiologique), tantôt comme hystérique ou neurasthénique (un corps traumatique et dysfonctionnel), tantôt comme rêveur (un corps producteur d'images et de sons perçus sur un mode hallucinatoire), tantôt comme hypermnésique (un corps de « clichés-souvenirs » emmagasinés à l'infini), tantôt comme hypnotisé (un corps suggestionné et contagieux). Tous ces corps, au final, ne forment qu'un seul corps générique, c'est-à-dire construisent et qualifient le corps nerveux des sciences du psychisme qui se manifeste sous différentes facettes en fonction des pathologies et des situations. À la fois unique et multiple, ce corps nerveux subsume le corpsmachine, le corps traumatisé, le corps halluciné et le corps hypnotisé qui font l'objet d'analyse détaillées dans les différentes parties de la thèse. Ces quatre grands « corps » retenus comme autant de déclinaisons possibles du corps nerveux sont directement mis en rapport avec quatre concepts : la fatigue, le choc, l'hallucination et l'hypnose - ce choix s'imposant face au constat de leur récurrence suite au dépouillement de nombreuses sources. J'ai tenté, au cours de ce travail, de défendre plusieurs hypothèses (ou séries d'hypothèses) relatives à l'avènement du spectateur cinématographique autour de 1900. Corrélées les unes aux autres, elles gagnent à être comprises ensemble. 1) Les sciences du psychisme et les discours sur les spectacles et dispositifs audiovisuels contribuent, dans leurs échanges, à la construction du sujet moderne, un sujet né de la révolution industrielle et s'épanouissant grâce à la culture de masse. La culture de masse met en scène des corps nerveux (automatiques, traumatisés, hallucinés et hypnotisés) dont la démultiplication sous différentes formes et en différents lieux fait émerger un nouveau modèle de subjectivité. Si le cinéma constitue un laboratoire expérimental du corps nerveux, il participe également à la transformation du corps nerveux en sujet nerveux, c'est-à-dire en un sujet moderne jouissant d'un nervosisme mué en modèle culturel. 2) Le cinématographe devient autour de 1900 un dispositif modélisateur pour les sciences du psychisme qui conceptualisent le fonctionnement de l'appareil psychique sous les espèces d'une machine projetant des sons et des images. En tant qu'opérateur de pensée, le cinéma offre une pluralité de modèles épistémologiques possibles, suivant que l'on s'intéresse à son fonctionnement général, ses détails techniques, ses effets sur les spectateurs, sa dimension spectaculaire et populaire. Par conséquent, le cinéma peut étayer une variété d'objets dans le champ des sciences médicales : le corps, l'esprit, la pensée, l'imagination, le rêve, l'hallucination, l'hypnose, la psychose ; mais aussi le corps individuel ou social, qu'ils soient sains ou malades. C'est sur cette base, j'en viens à penser que le spectateur de cinéma sert de modèle au sujet nerveux des sciences médicales. 3) Le rôle modélisateur du cinéma provoque en effet des modifications dans la manière de théoriser le corps nerveux puisqu'il fait transiter le corps nerveux de la psychopathologie vers le sujet nerveux de la culture spectaculaire moderne. Le spectateur du cinéma des premiers temps apparaît comme le prototype du sujet sidéré par le spectacle du monde moderne, prenant plaisir à être surstimulé et se prêtant volontiers au jeu de l'illusion de réalité. Actualisant un modèle de spectatorialité ambivalent, balançant entre hystérie et hypnose, le spectateur cinématographique intègre les codes de la maladie nerveuse pour leur donner une nouvelle dimension (esthétique, artistique) sur la scène sociale. 4) Les trois premières séries d'hypothèses ne peuvent être validées que si l'on examine comment les discours sur le cinéma pré-institutionnel se sont appropriés la culture du corps nerveux, de sorte à façonner un modèle de spectatorialité étayé sur les valeurs féminines d'impressionnabilité, d'excitabilité et de sentimentalité (des valeurs culturellement construites). Partant, j'ai voulu montrer que si durant la première phase de son histoire, le spectacle cinématographique fait l'objet d'une hystéricisation de la part des discours qui l'annexent à la sphère féminine de la culture de masse, dans sa phase d'institutionnalisation, on assiste à un processus de masculinisation du modèle spectatoriel (mais également, des lieux d'exibition, du mode de production, du mode de représentation, etc.).

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Reconstruction of important parameters such as femoral offset and torsion is inaccurate, when templating is based on plain x-rays. We evaluate intraoperative reproducibility of pre-operative CT-based 3D-templating in a consecutive series of 50 patients undergoing primary cementless THA through an anterior approach. Pre-operative planning was compared to a postoperative CT scan by image fusion. The implant size was correctly predicted in 100% of the stems, 94% of the cups and 88% of the heads (length). The difference between the planned and the postoperative leg length was 0.3 + 2.3 mm. Values for overall offset, femoral anteversion, cup inclination and anteversion were 1.4 mm ± 3.1, 0.6° ± 3.3°, -0.4° ± 5° and 6.9° ± 11.4°, respectively. This planning allows accurate implant size prediction. Stem position and cup inclination are accurately reproducible.