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La faiblesse des muscles respiratoires peut entraîner une dyspnée, un encombrement bronchique et une insuffisance respiratoire potentiellement fatale. L'évaluation de la force musculaire respiratoire s'impose donc dans les affections neuro-musculaires, mais également dans les situations de dyspnée inexpliquée par une première évaluation cardiaque et pulmonaire. À la spirométrie, une faiblesse musculaire est suspectée sur la base de la boucle débit-volume montrant un débit de pointe émoussé et une fin prématurée de l'expiration. Une diminution importante de la capacité vitale en position couchée suggère une paralysie diaphragmatique. La force inspiratoire est mesurée par la pression inspiratoire maximale (PImax) contre une quasi-occlusion des voies aériennes. Ce test relativement difficile est d'interprétation délicate en cas de collaboration insuffisante. La mesure de la pression nasale sniff (SNIP) est une alternative utile, car elle élimine le problème des fuites autour de l'embout buccal et la réalisation du reniflement est facile. De même, la pression trans-diaphragmatique sniff mesure la force du diaphragme au moyen de sondes oesophagienne et gastrique. En cas de collaboration insuffisante, on peut recourir à la stimulation magnétique des nerfs phréniques qui induit une contraction non-volontaire du diaphragme. La force expiratoire est mesurée par la pression expiratoire maximale (PEmax) contre une quasi-occlusion. La force disponible pour tousser est mesurée par la pression gastrique à la toux, ou plus simplement par le débit de pointe à la toux. Chez les patients à risque, la mesure de la force des muscles respiratoires permet d'instaurer à temps une assistance ventilatoire ou à la toux.
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Since the mid 90's, international actors as well as governmental actors have raised their interest into the development of irrigation's potential that is still largely unexploited in Niger. It seems all the more interesting as it could answer the needs of a fast growing population (3.3% per year). However, if everyone agrees on the need to development this system, the current implementation triggers questions on the process itself and its side effects. National and international policies on this matter were build upon an historical process through colonial, post-colonial and then the late 1980's neoliberal structures, leading to a business model that reveals a discrepancy between the state logic and the farming one. This business model asks for a high capacity of mobilization of resources unachievable for many, especially when they want to address small-scale irrigation (area
Modern Vaccines/Adjuvants Formulation-Session 2 (Plenary II): May 15-17, 2013-Lausanne, Switzerland.
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On the 15-17th May 2013, the Fourth International Conference on Modern Vaccines/Adjuvants Formulation was organized in Lausanne, Switzerland, and gathered stakeholders from academics and from the industry to discuss several challenges, advances and promises in the field of vaccine adjuvants. Plenary session 2 of the meeting was composed of four different presentations covering: (1) the recent set-up of an adjuvant technology transfer and training platform in Switzerland, (2) the proposition to revisit existing paradigms of modern vaccinology, (3) the properties of polyethyleneimine as potential new vaccine adjuvant, and (4) the progresses in the design of HIV vaccine candidates able to induce broadly neutralizing antibodies.
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PURPOSE: To compare examination time with radiologist time and to measure radiation dose of computed tomographic (CT) fluoroscopy, conventional CT, and conventional fluoroscopy as guiding modalities for shoulder CT arthrography. MATERIALS AND METHODS: Glenohumeral injection of contrast material for CT arthrography was performed in 64 consecutive patients (mean age, 32 years; age range, 16-74 years) and was guided with CT fluoroscopy (n = 28), conventional CT (n = 14), or conventional fluoroscopy (n = 22). Room times (arthrography, room change, CT, and total examination times) and radiologist times (time the radiologist spent in the fluoroscopy or CT room) were measured. One-way analysis of variance and Bonferroni-Dunn posthoc tests were performed for comparison of mean times. Mean effective radiation dose was calculated for each method with examination data, phantom measurements, and standard software. RESULTS: Mean total examination time was 28.0 minutes for CT fluoroscopy, 28.6 minutes for conventional CT, and 29.4 minutes for conventional fluoroscopy; mean radiologist time was 9.9 minutes, 10.5 minutes, and 9.0 minutes, respectively. These differences were not statistically significant. Mean effective radiation dose was 0.0015 mSv for conventional fluoroscopy (mean, nine sections), 0.22 mSv for CT fluoroscopy (120 kV; 50 mA; mean, 15 sections), and 0.96 mSv for conventional CT (140 kV; 240 mA; mean, six sections). Effective radiation dose can be reduced to 0.18 mSv for conventional CT by changing imaging parameters to 120 kV and 100 mA. Mean effective radiation dose of the diagnostic CT arthrographic examination (140 kV; 240 mA; mean, 25 sections) was 2.4 mSv. CONCLUSION: CT fluoroscopy and conventional CT are valuable alternative modalities for glenohumeral CT arthrography, as examination and radiologist times are not significantly different. CT guidance requires a greater radiation dose than does conventional fluoroscopy, but with adequate parameters CT guidance constitutes approximately 8% of the radiation dose.
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Ligands and receptors of the TNF superfamily are therapeutically relevant targets in a wide range of human diseases. This chapter describes assays based on ELISA, immunoprecipitation, FACS, and reporter cell lines to monitor interactions of tagged receptors and ligands in both soluble and membrane-bound forms using unified detection techniques. A reporter cell assay that is sensitive to ligand oligomerization can identify ligands with high probability of being active on endogenous receptors. Several assays are also suitable to measure the activity of agonist or antagonist antibodies, or to detect interactions with proteoglycans. Finally, self-interaction of membrane-bound receptors can be evidenced using a FRET-based assay. This panel of methods provides a large degree of flexibility to address questions related to the specificity, activation, or inhibition of TNF-TNF receptor interactions in independent assay systems, but does not substitute for further tests in physiologically relevant conditions.
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Histoire discursive du « cinéma-vérité ». Techniques, controverses, historiographie (1960-1970) retrace l'histoire du succès et de la disgrâce du label « cinéma vérité » en France qui, entre 1960 - date à laquelle Edgar Morin publie son essai programmatique « Pour un nouveau "cinéma vérité" » dans France Observateur - et 1964-65 - moment où la notion commence à perdre en popularité - sert de bannière à un mouvement cinématographique supposé renouveler les rapports entre cinéma et réalité. Une vingtaine de films - comme Chronique d'un été de Jean Rouch et Edgar Morin, Primary de Richard Leacock et Robert Drew, Les Inconnus de la terre ou Regard sur la folie de Mario Ruspoli, Hitler, connais pas de Bertrand Blier, Le Chemin de la mauvaise route de Jean Herman, Le Joli Mai de Chris Marker, La Punition de Jean Rouch ou Pour la Suite du monde de Michel Brault et Pierre Perrault - revendiquent cette étiquette ou y sont associés par la presse hexagonale qui y consacre des centaines d'articles. En effet, la sortie en salles de ces « films-vérité » provoque en France de virulentes controverses qui interrogent aussi bien l'éthique de ces projets où les personnes filmées sont supposées révéler une vérité intime face à la caméra, le statut artistique de ces réalisations, ou l'absence d'un engagement politique marqué des « cinéastes-vérité » devant les questions abordées par les protagonistes (par exemple la Guerre d'Algérie, la jeunesse française, la politique internationale). L'hypothèse à la base de cette recherche est que la production cinématographique qui se réclame du « cinéma-vérité » se caractérise par une étroite corrélation entre film et discours sur le film. D'une part car la première moitié de la décennie est marquée par de nombreuses rencontres entre les « cinéastes vérité », les critiques ou les constructeurs de caméras légères et de magnétophones synchrones ; rencontres qui contribuent à accentuer et à médiatiser les dissensions au sein du mouvement. D'autre part car la particularité de nombreux projets est d'inclure dans le film des séquences méta-discursives où les participants, les réalisateurs ou des experts débattent de la réussite du tournage. Ce travail montre que le succès du mouvement entre 1960 et 1964-65 ne se fait pas malgré une forte polémique, mais qu'au contraire, nombre de longs métrages intègrent la controverse en leur sein, interrogeant, sur un plan symbolique, l'abolition du filtre entre le film et son spectateur. Si les films qui s'inscrivent dans la mouvance du « cinéma vérité » octroient une large place à la confrontation, c'est parce que la « vérité » est pensée comme un processus dialectique, qui émerge dans une dynamique d'échanges (entre les réalisateurs de cette mouvance, entre les protagonistes, entre le film et son public). Les querelles internes ou publiques qui rythment ces quelques années font partie du dispositif « cinéma-vérité » et justifient de faire l'histoire de ce mouvement cinématographique par le biais des discours qu'il a suscité au sein de la cinéphilie française.
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Testimonies disclosed that a 44-year-old pedestrian was struck head-on by a truck while she was roaming on the motorway; at the time of collision, the truck was travelling at a speed of about 90 km/h. In the second phase of the collision, the pedestrian was projected about 100 m before her body was run over by the truck and then by a car. The autopsy revealed extensive mutilations, making it impossible to verify the testimonies of witnesses to the collision as regards the pedestrian's position at the moment of the first impact. However, the reports produced by the technical expert and the forensic pathologist were able to confirm the testimonies, based on an impact zone on the front panel of the cab of the truck, where part of the pedestrian's face was reproduced like a "modern holy shroud".
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Fungal symbionts commonly occur in plants influencing host growth, physiology, and ecology (Carlile et al., 2001). However, while whole-plant growth responses to biotrophic fungi are readily demonstrated, it has been much more difficult to identify and detect the physiological mechanisms responsible. Previous work on the clonal grass Glyceria striata has revealed that the systemic fungal endophyte Epichloë glyceriae has a positive effect on clonal growth of its host (Pan & Clay, 2002; 2003). The latest study from these authors, in this issue (pp. 467- 475), now suggests that increased carbon movement in hosts infected by E. glyceriae may function as one mechanism by which endophytic fungi could increase plant growth. Given the widespread distribution of both clonal plants and symbiotic fungi, this research will have implications for our understanding of the ecology and evolution of fungus-plant associations in natural communities.
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Summary [résumé français voir ci-dessous] From the beginning of the 20th century the world population has been confronted with the human immune deficiency virus 1 (HIV-1). This virus has the particularity to mutate fast, and could thus evade and adapt to the human host. Our closest evolutionary related organisms, the non-human primates, are less susceptible to HIV-1. In a broader sense, primates are differentially susceptible to various retrovirus. Species specificity may be due to genetic differences among primates. In the present study we applied evolutionary and comparative genetic techniques to characterize the evolutionary pattern of host cellular determinants of HIV-1 pathogenesis. The study of the evolution of genes coding for proteins participating to the restriction or pathogenesis of HIV-1 may help understanding the genetic basis of modern human susceptibility to infection. To perform comparative genetics analysis, we constituted a collection of primate DNA and RNA to allow generation of de novo sequence of gene orthologs. More recently, release to the public domain of two new primate complete genomes (bornean orang-utan and common marmoset) in addition of the three previously available genomes (human, chimpanzee and Rhesus monkey) help scaling up the evolutionary and comparative genome analysis. Sequence analysis used phylogenetic and statistical methods for detecting molecular adaptation. We identified different selective pressures acting on host proteins involved in HIV-1 pathogenesis. Proteins with HIV-1 restriction properties in non-human primates were under strong positive selection, in particular in regions of interaction with viral proteins. These regions carried key residues for the antiviral activity. Proteins of the innate immunity presented an evolutionary pattern of conservation (purifying selection) but with signals of relaxed constrain if we compared them to the average profile of purifying selection of the primate genomes. Large scale analysis resulted in patterns of evolutionary pressures according to molecular function, biological process and cellular distribution. The data generated by various analyses served to guide the ancestral reconstruction of TRIM5a a potent antiviral host factor. The resurrected TRIM5a from the common ancestor of Old world monkeys was effective against HIV-1 and the recent resurrected hominoid variants were more effective against other retrovirus. Thus, as the result of trade-offs in the ability to restrict different retrovirus, human might have been exposed to HIV-1 at a time when TRIM5a lacked the appropriate specific restriction activity. The application of evolutionary and comparative genetic tools should be considered for the systematical assessment of host proteins relevant in viral pathogenesis, and to guide biological and functional studies. Résumé La population mondiale est confrontée depuis le début du vingtième siècle au virus de l'immunodéficience humaine 1 (VIH-1). Ce virus a un taux de mutation particulièrement élevé, il peut donc s'évader et s'adapter très efficacement à son hôte. Les organismes évolutivement le plus proches de l'homme les primates nonhumains sont moins susceptibles au VIH-1. De façon générale, les primates répondent différemment aux rétrovirus. Cette spécificité entre espèces doit résider dans les différences génétiques entre primates. Dans cette étude nous avons appliqué des techniques d'évolution et de génétique comparative pour caractériser le modèle évolutif des déterminants cellulaires impliqués dans la pathogenèse du VIH- 1. L'étude de l'évolution des gènes, codant pour des protéines impliquées dans la restriction ou la pathogenèse du VIH-1, aidera à la compréhension des bases génétiques ayant récemment rendu l'homme susceptible. Pour les analyses de génétique comparative, nous avons constitué une collection d'ADN et d'ARN de primates dans le but d'obtenir des nouvelles séquences de gènes orthologues. Récemment deux nouveaux génomes complets ont été publiés (l'orang-outan du Bornéo et Marmoset commun) en plus des trois génomes déjà disponibles (humain, chimpanzé, macaque rhésus). Ceci a permis d'améliorer considérablement l'étendue de l'analyse. Pour détecter l'adaptation moléculaire nous avons analysé les séquences à l'aide de méthodes phylogénétiques et statistiques. Nous avons identifié différentes pressions de sélection agissant sur les protéines impliquées dans la pathogenèse du VIH-1. Des protéines avec des propriétés de restriction du VIH-1 dans les primates non-humains présentent un taux particulièrement haut de remplacement d'acides aminés (sélection positive). En particulier dans les régions d'interaction avec les protéines virales. Ces régions incluent des acides aminés clé pour l'activité de restriction. Les protéines appartenant à l'immunité inné présentent un modèle d'évolution de conservation (sélection purifiante) mais avec des traces de "relaxation" comparé au profil général de sélection purifiante du génome des primates. Une analyse à grande échelle a permis de classifier les modèles de pression évolutive selon leur fonction moléculaire, processus biologique et distribution cellulaire. Les données générées par les différentes analyses ont permis la reconstruction ancestrale de TRIM5a, un puissant facteur antiretroviral. Le TRIM5a ressuscité, correspondant à l'ancêtre commun entre les grands singes et les groupe des catarrhiniens, est efficace contre le VIH-1 moderne. Les TRIM5a ressuscités plus récents, correspondant aux ancêtres des grands singes, sont plus efficaces contre d'autres rétrovirus. Ainsi, trouver un compromis dans la capacité de restreindre différents rétrovirus, l'homme aurait été exposé au VIH-1 à une période où TRIM5a manquait d'activité de restriction spécifique contre celui-ci. L'application de techniques d'évolution et de génétique comparative devraient être considérées pour l'évaluation systématique de protéines impliquées dans la pathogenèse virale, ainsi que pour guider des études biologiques et fonctionnelles
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Mineral dust aerosols recently collected at the high-altitude Jungfraujoch research station (46 degrees 33'51 `' N, 7 degrees 59'06 `' E; 3580 m a.s.l.) were compared to mineral dust deposited at the Colle Gnifetti glacier (45 degrees 52'50 `' N, 7 degrees 52'33 `' E; 4455 m a.s.l.) over the last millennium. Radiogenic isotope signatures and backward trajectories analyses indicate that major dust sources are situated in the north-central to north-western part of the Saharan desert. Less radiogenic Sr isotopic compositions of PM10 aerosols and of mineral particles deposited during periods of low dust transfer likely result from the enhancement of the background chemically-weathered Saharan source. Saharan dust mobilization and transport were relatively reduced during the second part of the Little Ice Age (ca. 1690-1870) except within the greatest Saharan dust event deposited around 1770. After ca. 1870, sustained dust deposition suggests that increased mineral dust transport over the Alps during the last century could be due to stronger spring/summer North Atlantic southwesterlies and drier winters in North Africa. On the other hand, increasing carbonaceous particle emissions from fossil fuel combustion combined to a higher lead enrichment factor point to concomitant anthropogenic sources of particulate pollutants reaching high-altitude European glaciers during the last century.