141 resultados para Routes en gravier--Conception et construction--Modèles mathématiques
Resumo:
A criminal investigation requires to search and to interpret vestiges of a criminal act that happened in a past time. The forensic investigator arises in this context as a critical reader of the investigation scene, in search of physical traces that should enable her to tell a story of the offence/crime which allegedly occurred. The challenge of any investigator is to detect and recognise relevant physical traces in order to provide forensic clues for investigation and intelligence purposes. Inspired by this obser- vation, the current research focuses on the following questions : What is a relevant physical trace? And, how does the forensic investigator know she is facing one ? The interest of such questions is to provide a definition of a dimension often used in forensic science but never studied in its implications and operations. This doctoral research investigates scientific paths that are not often explored in forensic science, by using semiotic and sociological tools combined with statistical data analysis. The results are shown following a semiotic path, strongly influenced by Peir- ce's studies, and a second track, called empirical, where investigations data were analysed and forensic investigators interviewed about their work practices in the field. By the semiotic track, a macroscopic view is given of a signification process running from the discove- red physical trace at the scene to what is evaluated as being relevant for the investigator. The physical trace is perceived in the form of several signs, whose meaning is culturally codified. The reasoning should consist of three main steps : 1- What kind of source does the discovered physical trace refer to ? 2- What cause/activity is at the origin of this source in the specific context of the case ? 3- What story can be told from these observations ? The stage 3 requires to reason in creating hypotheses that should explain the presence of the discovered trace coming from an activity ; the specific activity that is related to the investigated case. To validate this assumption, it would depend on their ability to respond to a rule of relevancy. The last step is the symbolisation of the relevancy. The rule would consist of two points : the recognition of the factual/circumstantial relevancy (Is the link between the trace and the case recognised with the formulated hypothesis ? ) and appropriate relevancy (What investment is required to collect and analyse the discovered trace considering the expected outcome at the investigation/intelligence level?). This process of meaning is based on observations and a conjectural reasoning subject to many influences. In this study, relevancy in forensic science is presented as a conventional dimension that is symbolised and conditioned by the context, the forensic investigator's practice and her workplace environment (culture of the place). In short, the current research states relevancy results of the interactions between parameters from situational, structural (or organisational) and individual orders. The detection, collection and analysis of relevant physical traces at scenes depends on the knowledge and culture mastered by the forensic investigator. In the study of the relation relevant trace-forensic investigator, this research introduces the KEE model as a conceptual map that illustrates three major areas of forensic knowledge and culture acquisition, involved in the research and evaluation of the relevant physical trace. Through the analysis of the investigation data and interviews, the relationship between those three parameters and the relevancy was highlighted. K, for knowing, embodies a rela- tionship to the immediate knowledge allowing to give an overview of the reality at a specific moment ; an important point since relevancy is signified in a context. E, for education, is considered through its relationship with relevancy via a culture that tends to become institutionalised ; it represents the theoretical knowledge. As for the parameter E, for experience, it exists in its relation to relevancy in the adjustments of the strategies of intervention (i.e a practical knowledge) of each practitioner having modulated her work in the light of success and setbacks case after case. The two E parameters constitute the library resources for the semiotic recognition process and the K parameter ensures the contextualisation required to set up the reasoning and to formulate explanatory hypotheses for the discovered physical traces, questioned in their relevancy. This research demonstrates that the relevancy is not absolute. It is temporal and contextual; it is a conventional and relative dimension that must be discussed. This is where the whole issue of the meaning of what is relevant to each stakeholder of the investigation process rests. By proposing a step by step approach to the meaning process from the physical trace to the forensic clue, this study aims to provide a more advanced understanding of the reasoning and its operation, in order to streng- then forensic investigators' training. This doctoral research presents a set of tools critical to both pedagogical and practical aspects for crime scene management while identifying key-influences with individual, structural and situational dimensions. - Une enquête criminelle consiste à rechercher et à faire parler les vestiges d'un acte incriminé passé. L'investigateur forensique se pose dans ce cadre comme un lecteur critique des lieux à la recherche de traces devant lui permettre de former son récit, soit l'histoire du délit/crime censé s'être produit. Le challenge de tout investigateur est de pouvoir détecter et reconnaître les traces dites pertinentes pour fournir des indices forensiques à buts d'enquête et de renseignement. Inspirée par un tel constat, la présente recherche pose au coeur de ses réflexions les questions suivantes : Qu'est-ce qu'une trace pertinente ? Et, comment fait le forensicien pour déterminer qu'il y fait face ? L'intérêt de tels questionnements se comprend dans la volonté de définir une dimension souvent utili- sée en science forensique, mais encore jamais étudiée dans ses implications et fonctionnements. Cette recherche se lance dans des voies d'étude encore peu explorées en usant d'outils sémiotiques et des pratiques d'enquêtes sociologiques combinés à des traitements statistiques de données. Les résultats sont représentés en suivant une piste sémiotique fortement influencée par les écrits de Peirce et une seconde piste dite empirique où des données d'interventions ont été analysées et des investigateurs forensiques interviewés sur leurs pratiques de travail sur le terrain. Par la piste sémiotique, une vision macroscopique du processus de signification de la trace en élément pertinent est représentée. La trace est perçue sous la forme de plusieurs signes dont la signification est codifiée culturellement. Le raisonnement se formaliserait en trois principales étapes : 1- Quel type de source évoque la trace détectée? 2- Quelle cause/activité est à l'origine de cette source dans le contexte précis du cas ? 3- Quelle histoire peut être racontée à partir de ces observations ? Cette dernière étape consiste à raisonner en créant des hypothèses devant expliquer la présence de la trace détectée suite à une activité posée comme étant en lien avec le cas investigué. Pour valider ces hypothèses, cela dépendrait de leur capacité à répondre à une règle, celle de la pertinence. Cette dernière étape consiste en la symbolisation de la pertinence. La règle se composerait de deux points : la reconnaissance de la pertinence factuelle (le lien entre la trace et le cas est-il reconnu dans l'hypothèse fournie?) et la pertinence appropriée (quel est l'investissement à fournir dans la collecte et l'exploitation de la trace pour le bénéfice attendu au niveau de l'investigation/renseignement?). Tout ce processus de signification se base sur des observations et un raisonnement conjectural soumis à de nombreuses influences. Dans cette étude, la pertinence en science forensique se formalise sous les traits d'une dimension conventionnelle, symbolisée, conditionnée par le contexte, la pratique de l'investigateur forensique et la culture du milieu ; en somme cette recherche avance que la pertinence est le fruit d'une interaction entre des paramètres d'ordre situationnel, structurel (ou organisationnel) et individuel. Garantir la détection, la collecte et l'exploitation des traces pertinentes sur les lieux dépend de la connaissance et d'une culture maîtrisées par le forensicien. Dans l'étude du rapport trace pertinente-investigateur forensique, la présente recherche pose le modèle SFE comme une carte conceptuelle illustrant trois grands axes d'acquisition de la connaissance et de la culture forensiques intervenant dans la recherche et l'évaluation de la trace pertinente. Par l'analyse des données d'in- terventions et des entretiens, le rapport entre ces trois paramètres et la pertinence a été mis en évidence. S, pour savoir, incarne un rapport à la connaissance immédiate pour se faire une représentation d'une réalité à un instant donné, un point important pour une pertinence qui se comprend dans un contexte. F, pour formation, se conçoit dans son rapport à la pertinence via cette culture qui tend à s'institutionnaliser (soit une connaissance théorique). Quant au paramètre E, pour expérience, il se comprend dans son rapport à la pertinence dans cet ajustement des stratégies d'intervention (soit une connaissance pratique) de chaque praticien ayant modulé leur travail au regard des succès et échecs enregistrés cas après cas. F et E formeraient la bibliothèque de ressources permettant le processus de reconnaissance sémiotique et S assurerait la contextualisation nécessaire pour poser le raisonnement et formuler les hypothèses explicatives pour les traces détectées et questionnées dans leur pertinence. Ce travail démontre que la pertinence n'est pas absolue. Elle est temporelle et contextuelle, c'est une dimension conventionnelle relative et interprétée qui se doit d'être discutée. C'est là que repose toute la problématique de la signification de ce qui est pertinent pour chaque participant du processus d'investigation. En proposant une lecture par étapes du processus de signification depuis la trace à l'indice, l'étude vise à offrir une compréhension plus poussée du raisonnement et de son fonctionnement pour renforcer la formation des intervenants forensiques. Cette recherche présente ainsi un ensemble d'outils critiques à portée tant pédagogiques que pratiques pour la gestion des lieux tout en identifiant des influences-clé jouées par des dimensions individuelles, structurelles et situationnelles.
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A partir d'un questionnement sur les données relatives au concept linguistique de langue «littéraire», concept central d'une théorie scientifique prospère en Union soviétique à partir des années 1960 jusqu'aujourd'hui, je cherche à proposer des explications qui pourraient rendre compte de l'ensemble des données analysées dans ma thèse. Mes conclusions se présentent sous trois angles : épistémologique (genèse et évolution du concept), historique et sociologique.Du point de vue de sa genèse, la théorie des langues «littéraire» mélange plusieurs sources: elle «greffe» l'apport des historiens de la langue comme A.A. Saxmatov (1864-1920) sur une longue réflexion, menée dès le XVIIIe s., l'époque de M.V. Lomonosov (1711-1765), sur ce qui est la langue de la civilisation russe. Le terme de langue «littéraire» russe est passé des littéraires aux linguistes pour tomber chez les sociolinguistes soviétiques (L. Krysin, E. Zemskaja) avec à chaque passage un contenu différent sans que pour autant ces différences soient explicitées de façon satisfaisante. Comparée aux définitions antérieures de la langue «littéraire», celle de la période des années 1960-90 est nettement plus prescriptive et renvoie à un usage réel qui serait supérieur à tous les autres et engloberait tout l'espace russophone en vertu de ses prétendues propriétés systémiques, jamais démontrées par les chercheurs.Les écueils de la théorie des langues «littéraires» et sa vitalité trouvent des explications si l'on prend en compte l'historicité des phénomènes. En replaçant les textes de linguistes dans un contexte anthropologique (historique, politique, institutionnel) plus large, je propose un récit des événements et des influences différent de récits canoniques présentés dans les ouvrages soviétiques. Je situe dans les années 1930 une mise en place de l'édifice du concept de langue «littéraire» à venir, inauguré dans les travaux de L.P. Jakubinskij (1892-1945) et V.M. Zirmunskij (1891-1971), où sous la désignation de «langue nationale» est décrite dans les grandes lignes 1e. concept de langue «littéraire» de la linguistique soviétique à venir.L'étude du contexte historique et l'examen de la validité de la théorie des langues «littéraire» m'ont amenée à formuler l'hypothèse qu'il existe une représentation sociale de la langue «littéraire» contenant plusieurs éléments du concept linguistique du même nom et partagée par des groupes sociaux plus larges que celui de professionnels du langage. J'ai entrepris d'établir les contours de cette représentation en appliquant les procédés proposés dans les travaux en psychologie sociale sur les représentations. D'après mon analyse, la représentation de la langue «littéraire» est plutôt stable. Du point de vue de sa formation et de son fonctionnement, c'est une représentation du type idéologique. Du point de vue de son organisation, elle présente plusieurs similitudes avec les représentations de la nation, qui se manifestent par l'adhésion des sujets à un héritage, supposé commun, de valeurs dont la langue fait partie et où elle est investie d'une forte charge identitaire. Cette valeur de la langue «littéraire» nationale est soutenue par l'État, l'enseignement, des institutions de régulation et les spécialistes du langage.Ainsi, une étude historique d'une théorie linguistique particulière présente un autre intérêt que celui de dresser un récit cohérent des événements et des influences, à savoir d'approcher à travers un corpus de textes de linguistes le domaine d'opinions des locuteurs sur leur usage langagier.
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Introduction: Le déficit en vitamine D est un facteur de risque de fracture par ses effets osseux et extra osseux. En Suisse, 49,7% des patientes ostéoporotiques ont un déficit en vitamine D. L'objectif de ce travail était d'analyser le statut vitaminique D des patients hospitalisés pour fracture en fonction de la saison, du type de fracture et des caractéristiques individuelles. Méthode: Nous avons dosé la vitamine D des patients hospitalisés au CHUV pour une fracture entre le 1er novembre 2008 et le 31 juillet 2009 et vus dans le cadre de la filière de la fracture. Définition: insuffisance (10 et 30 μg/l) et carence (<10 μg/l) en vitamine D. Résultats: Le taux moyen de vitamine D était de 16,2 μg/l chez les 184 patients (femmes 86%, âge moyen 76ans). 167 patients (91%) avaient une insuffisance et 70 (38%) une carence. 59 patients bénéficiaient d'une supplémentation vitamino-calcique. Leur taux moyen était significativement plus élevé que ceux ne bénéficiant pas de supplémentation (22,9 vs 13,1 μg/l; p <0,05). Les proportions d'insuffisance (74,6% vs 94,4%) et de carence (3,4% vs 54,4%) étaient significativement plus basses. Le taux de vitamine D n'était pas différent entre les fractures traumatiques et non traumatiques (13,9 vs 16,4 μg/l; p = 0,4). Les patients avec une fracture de l'humérus avaient un taux plus bas que lors d'une autre fracture (9,0 vs 16,7 μg/l; p = 0,032). En distinguant les périodes hivernale et estivale, il n'existait pas de différence (16,13 vs 16,34; p = 0,90), ni en terme de carence (38% vs 37,9%; p = 0,99) ou d'insuffisance (86,7% vs 89,9%; p = 0,51). Aucune différence n'a été mise en évidence en fonction des classes d'âge (de 40 à >90 ans) ou du sexe. Les taux moyens de vitamine D étaient significativement plus bas lors d'IMC <18,5 ou >35. Conclusion: Cette analyse souligne l'importance du déficit en vitamine D dans une population de patients fracturés. Elle met en lumière le risque particulier couru par les patients aux deux extrêmes de l'IMC. Par ailleurs, les patients avec une supplémentation ont des taux sanguins de vitamine D insuffisants traduisant ou une compliance insuffisante ou la nécessité de prescrire des doses plus élevées.
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Citalopram, a new bicyclic antidepressant, is the most selective serotonin reuptake inhibitor. In a number of double-blind controlled studies, citalopram was compared to placebo and to known tricyclic antidepressants. These studies have shown their efficacy and good safety. The inefficacy of a psychotropic treatment in at least 20% of depressives has led a number of authors to propose original drug combinations and associations, like antidepressant/lithium (Li), antidepressant/sleep deprivation (agrypnia), antidepressant/ECT, or antidepressant/LT3. The aim of this investigation is to evaluate the clinical effectiveness and safety of a combined citalopram/lithium treatment in therapy-resistant patients, taking account of serotonergic functions, as tested by the fenfluramine/prolactin test, and of drug pharmacokinetics and pharmacogenetics of metabolism. DESIGN OF THE STUDY: A washout period of 3 days before initiating the treatment is included. After an open treatment phase of 28 days (D) with citalopram (20 mg D1-D3; 40 mg D4-D14; 40 or 60 mg D15-D28; concomitant medication allowed: chloral, chlorazepate), the nonresponding patients [less than 50% improvement in the total score on the 21 item-Hamilton Depression Rating Scale (HDRS)] are selected and treated with or without Li (randomized in double-blind conditions: citalopram/Li or citalopram/placebo) during the treatment (D29-D35). Thereafter, all patients included in the double-blind phase subsequently receive an open treatment with citalopram/Li for 7 days (D36-D42). The hypothesis of a relationship between serotoninergic functions in patients using the fenfluramine/prolactin test (D1) and the clinical response to citalopram (and Li) is assessed. Moreover, it is evaluated whether the pharmacogenetic status of the patients, as determined by the mephenytoin/dextromethorphan test (D0-D28), is related to the metabolism of fenfluramine and citalopram, and also to the clinical response. CLINICAL ASSESSMENT: Patients with a diagnosis of major depressive disorders according to DSM III are submitted to a clinical assessment of D1, D7, D14, D28, D35, D42: HDRS, CGI (clinical global impression), VAS (visual analog scales for self-rating of depression), HDRS (Hamilton depression rating scale, 21 items), UKU (side effects scale), and to clinical laboratory examens, as well as ECG, control of weight, pulse, blood pressure at D1, D28, D35. Fenfluramine/prolactin test: A butterfly needle is inserted in a forearm vein at 7 h 45 and is kept patent with liquemine. Samples for plasma prolactin, and d- and l-fenfluramine determinations are drawn at 8 h 15 (base line). Patients are given 60 mg fenfluramine (as a racemate) at 8 h 30. Kinetic points are determined at 9 h 30, 10 h 30, 11 h 30, 12 h 30, 13 h 30. Plasma levels of d- and l-fenfluramine are determined by gas chromatography and prolactin by IRNA. Mephenytoin/dextromethorphan test: Patients empty their bladders before the test; they are then given 25 mg dextropethorphan and 100 mg mephenytoin (as a racemate) at 8 h 00. They collect all urines during the following 8 hours. The metabolic ratio is determined by gas chromatography (metabolic ratio dextromethorphan/dextrorphan greater than 0.3 = PM (poor metabolizer); mephenytoin/4-OH-mephenytoin greater than 5.6, or mephenytoin S/R greater than 0.8 = PM). Citalopram plasma levels: Plasma levels of citalopram, desmethylcitalopram and didesmethylcitalopram are determined by gas chromatography--mass spectrometry. RESULTS OF THE PILOT STUDY. The investigation has been preceded by a pilot study including 14 patients, using the abovementioned protocol, except that all nonresponders were medicated with citalopram/Li on D28 to D42. The mean total score (n = 14) on the 21 item Hamilton scale was significantly reduced after the treatment, ie from 26.93 +/- 5.80 on D1 to 8.57 +/- 6.90 on D35 (p less than 0.001). A similar patCitalopram, a new bicyclic antidepressant, is the most selective serotonin reu
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The implementation of new techniques of imaging in the daily practice of the radiation oncologist is a major advance in these last 10 years. This allows optimizing the therapeutic intervals and locoregional control of the disease while limiting side effects. Among them, positron emission tomography (PET) offers an opportunity to the clinician to obtain data relative to the tumoral biological mechanisms, while benefiting from the morphological images of the computed tomography (CT) scan. Recently hybrid PET/CT has been developed and numerous studies aimed at optimizing its use in the planning, the evaluation of the treatment response and the prognostic value. The choice of the radiotracer (according to the type of cancer and to the studied biological mechanism) and the various methods of tumoral delineation, require a regular update to optimize the practices. We propose throughout this article, an exhaustive review of the published researches (and in process of publication) until December 2011, as user guide of PET/CT in all the aspects of the modern radiotherapy (from the diagnosis to the follow-up): biopsy guiding, optimization of treatment planning and dosimetry, evaluation of tumor response and prognostic value, follow-up and early detection of recurrence versus tumoral necrosis. In a didactic purpose, each of these aspects is approached by primary tumoral location, and illustrated with representative iconographic examples. The current contribution of PET/CT and its perspectives of development are described to offer to the radiation oncologist a clear and up to date reading in this expanding domain.