79 resultados para Load bearing


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Allostatic load (AL) is a marker of physiological dysregulation which reflects exposure to chronic stress. High AL has been related to poorer health outcomes including mortality. We examine here the association of socioeconomic and lifestyle factors with AL. Additionally, we investigate the extent to which AL is genetically determined. We included 803 participants (52% women, mean age 48±16years) from a population and family-based Swiss study. We computed an AL index aggregating 14 markers from cardiovascular, metabolic, lipidic, oxidative, hypothalamus-pituitary-adrenal and inflammatory homeostatic axes. Education and occupational position were used as indicators of socioeconomic status. Marital status, stress, alcohol intake, smoking, dietary patterns and physical activity were considered as lifestyle factors. Heritability of AL was estimated by maximum likelihood. Women with a low occupational position had higher AL (low vs. high OR=3.99, 95%CI [1.22;13.05]), while the opposite was observed for men (middle vs. high OR=0.48, 95%CI [0.23;0.99]). Education tended to be inversely associated with AL in both sexes(low vs. high OR=3.54, 95%CI [1.69;7.4]/OR=1.59, 95%CI [0.88;2.90] in women/men). Heavy drinking men as well as women abstaining from alcohol had higher AL than moderate drinkers. Physical activity was protective against AL while high salt intake was related to increased AL risk. The heritability of AL was estimated to be 29.5% ±7.9%. Our results suggest that generalized physiological dysregulation, as measured by AL, is determined by both environmental and genetic factors. The genetic contribution to AL remains modest when compared to the environmental component, which explains approximately 70% of the phenotypic variance.

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Nombreux sont les groupes de recherche qui se sont intéressés, ces dernières années, à la manière de monitorer l'entraînement des sportifs de haut niveau afin d'optimaliser le rendement de ce dernier tout en préservant la santé des athlètes. Un des problèmes cardinaux d'un entraînement sportif mal conduit est le syndrome du surentraînement. La définition du syndrome susmentionné proposée par Kreider et al. est celle qui est actuellement acceptée par le « European College of Sport Science » ainsi que par le « American College of Sports Medicine», à savoir : « An accumulation of training and/or non-training stress resulting in long-term decrement in performance capacity with or without related physiological and psychological signs and symptoms of maladaptation in which restoration of performance capacity may take several weeks or months. » « Une accumulation de stress lié, ou non, à l'entraînement, résultant en une diminution à long terme de la capacité de performance. Cette dernière est associée ou non avec des signes et des symptômes physiologiques et psychologiques d'inadaptation de l'athlète à l'entraînement. La restauration de ladite capacité de performance peut prendre plusieurs semaines ou mois. » Les recommandations actuelles, concernant le monitoring de l'entraînement et la détection précoce du syndrome du surentrainement, préconisent, entre autre, un suivi psychologique à l'aide de questionnaires (tel que le Profile of Mood State (POMS)), un suivi de la charge d'entraînement perçue par l'athlète (p.ex. avec la session rating of perceived exertion (RPE) method selon C. Foster), un suivi des performances des athlètes et des charges d'entraînement effectuées ainsi qu'un suivi des problèmes de santé (blessures et maladies). Le suivi de paramètres sanguins et hormonaux n'est pas recommandé d'une part pour des questions de coût et de faisabilité, d'autre part car la littérature scientifique n'a, jusqu'ici, pas été en mesure de dégager des évidences à ce sujet. A ce jour, peu d'études ont suivi ces paramètres de manière rigoureuse, sur une longue période et chez un nombre d'athlète important. Ceci est précisément le but de notre étude.