160 resultados para Langues africaines transfrontalières


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

(Résumé de l'ouvrage) Cette nouvelle traduction de la Bible est la première traduction française de la Bible réalisée en commun par des spécialistes des langues et des textes bibliques et des écrivains. Entièrement originale, elle a été élaborée d'après les langues sources de la Bible (Hébreu, Araméen, Grec), et selon les dernières éditions critiques. Chaque livre biblique a été confié à un tandem composé d'un bibliste et d'un écrivain, qui ont travaillé au coude à coude pendant 6 ans. Une idée forte a prévalu : jouer sur la pluralité des genres, des écritures, des interprétations, aboutissant à une Bible à plusieurs voix, qui transmet dans la langue et les littératures françaises contemporaines la diversité des genres littéraires, des styles, des formes, des auteurs, des inspirations, des traditions... Cette nouvelle traduction est le fruit d'une collaboration internationale exceptionnelle entre 20 écrivains et poètes contemporains francophones (parmi lesquels François Bon, Emmanuel Carrère, Florence Delay, Jean Echenoz, Jacques Roubaud...) et 27 spécialistes de la Bible et des langues anciennes. « Bible d'une nouvelle génération », cette Bible renoue avec l'histoire de notre culture. Elle affirme que cette histoire n'est pas close, que la Bible garde l'étonnante capacité de solliciter et de provoquer.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

(Résumé de l'ouvrage) Cette nouvelle traduction de la Bible est la première traduction française de la Bible réalisée en commun par des spécialistes des langues et des textes bibliques et des écrivains. Entièrement originale, elle a été élaborée d'après les langues sources de la Bible (Hébreu, Araméen, Grec), et selon les dernières éditions critiques. Chaque livre biblique a été confié à un tandem composé d'un bibliste et d'un écrivain, qui ont travaillé au coude à coude pendant 6 ans. Une idée forte a prévalu : jouer sur la pluralité des genres, des écritures, des interprétations, aboutissant à une Bible à plusieurs voix, qui transmet dans la langue et les littératures françaises contemporaines la diversité des genres littéraires, des styles, des formes, des auteurs, des inspirations, des traditions... Cette nouvelle traduction est le fruit d'une collaboration internationale exceptionnelle entre 20 écrivains et poètes contemporains francophones (parmi lesquels François Bon, Emmanuel Carrère, Florence Delay, Jean Echenoz, Jacques Roubaud...) et 27 spécialistes de la Bible et des langues anciennes. « Bible d'une nouvelle génération », cette Bible renoue avec l'histoire de notre culture. Elle affirme que cette histoire n'est pas close, que la Bible garde l'étonnante capacité de solliciter et de provoquer.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

[Table des matières] 1. Objectifs d'évaluation pour 2010. - 2. Données de la surveillance biologique et comportementale: Nouvelles déclarations de tests VIH positifs à Genève en 2010 - Comportements face au VIH/sida. 3. Suivi des associations: - Groupe Sida Genève (GsG) - Dialogai - L'association Première ligne - Association genevoise des Personnes Vivant Avec le VIH/sida (PVA) - Association Solidarité Femmes Africaines de Genève (ASFAG). 4. Annexes. 5. Liste des figures et des tableaux.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le but principal de ce travail est de comparer les idées sur la langue et sur la linguistique a l'intérieur de deux processus de « construction de monde », à savoir le réagencement de l'Europe après la Première guerre mondiale et la création du monde nouveau voulu par l'Union soviétique. La comparaison est rendue pertinente par le fait que ces deux « constructions de monde » eurent lieu dans des atmosphères idéologiques opposées, puisque la Première guerre mondiale et la révolution bolchevique s'opposent radicalement en représentant, respectivement, le triomphe des nations et celui de l'internationalisme de classe. La comparaison se fera aussi à l'intérieur de l'Union soviétique, puisque l'internationalisme des années 1920 laissera la place dans les années 1930 et jusqu'à la mort de Staline en 1953 à un nationalisme soviétique représenté par la métaphore de la « citadelle assiégée ». L'hypothèse du travail est la suivante : la façon d'utiliser les faits de langue et la linguistique, et la façon de considérer l'objet-langue dans un processus de construction étatique dépendent de l'atmosphère idéologique à l'intérieur de laquelle cette utilisation a lieu. Dans la première partie, nous analysons les idées de trois linguistes professionnels (Antoine Meillet, Aleksandar Belic et Jordan Ivanov) relatives au réagencement de l'Europe après la guerre. De l'analyse de ces trois corpus de textes ressortira une espèce de contradiction, puisque ces linguistes qui, au début du XXème siècle, entendaient user de la science linguistique pour asseoir sur des bases solides la nouvelle Europe, le firent avec une « conscience linguistique » d'inspiration romantique, tout droit sortie du XIXeme siècle. La nécessité de proposer pour l'Europe une solution pratique et durable a très certainement amené ces linguistes à privilégier, peut-être inconsciemment, des théories linguistiques certes dépassées, mais qui avaient l'avantage de considérer les langues comme des objets discontinus et homogènes. Dans notre deuxième partie consacrée à l'Union soviétique, nous analysons des textes (d'auteurs parfois méconnus) traitant de ce que nous avons appelé la « révolution en langue » : partant du principe que le monde nouveau de la dictature du prolétariat allait être totalement différent du monde que l'on avait connu précédemment, certains auteurs des années 1920 furent convaincus que ce monde nouveau allait avoir besoin d'une langue nouvelle. Mais au lieu d'attendre que cette langue nouvelle apparaisse spontanément, par évolution, certains proposèrent d'introduire consciemment dans la langue, par révolution, les changements selon eux nécessaires pour que la langue corresponde aux nouveaux besoins. Dans ce contexte, l'objet-langue est considéré comme un simple outil de communication qu'il est possible de modifier à sa guise, et la linguistique comme une discipline technique. Cette idée de changer la langue disparaîtra de l'URSS des années 1930, avec le passage vers le nationalisme soviétique. A la place, on préférera rappeler que les langues ne peuvent évoluer que par évolution, que l'on ne peut pas changer la langue, que l'on ne peut pas créer une langue selon notre volonté. Dans le contexte de la « citadelle assiégée », la langue russe deviendra le signe distinctif de l'Union soviétique qu'il sera impossible de toucher et de modifier. La langue n'est plus un outil, elle est désormais un symbole. Avec la comparaison de ces deux situations particulières (trois si l'on distingue les deux atmosphères de l'URSS), nous pensons avoir montré que l'apparition de certaines idées sur la langue et sur la linguistique est liée au contexte et aux besoins.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé : Nous nous proposons de suivre l'emploi et les réflexions autour du concept de «minorité linguistique» dans les travaux des linguistes soviétiques des années 1920-1930. L'État soviétique ne s'est pas uniquement formé suivant un principe terri-torial et géographique mais aussi selon un principe ethno-culturel. Dans les années 1920, nombre de linguistes ont participé aux recensements ethniques et linguis-tiques. Ils ont joué un rôle important dans la réalisation du premier recensement soviétique de 1926, en élaborant la nomenclature des ethnies d'Union soviétique et en les distinguant en différentes catégories (nation, peuple, ethnie, minorité linguis-tique) qui furent ensuite utilisées par les dirigeants dans l'organisation administra-tive de l'État. Nous nous arrêterons sur l'instrumentalisation du concept de «minorité linguistique», qui devient un objet de discours, et sur l'idée de mettre sur pied une politique linguistique en matière de minorités.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L'Académie de Lausanne est la première école supérieure protestante implantée en territoire francophone. Lausanne constitue ainsi, dès les années 1540, un pôle de première importance dans le monde réformé. De nombreux savants protestants, attirés par la liberté de pratiquer leur foi et par la présence de l'Académie, s'établissent dans cette ville et des étudiants affluent de toute l'Europe. Les structures de l'Académie de Lausanne et son programme d'enseignement, fixés par un règlement daté de 1547, condensent sous une forme nouvelle les réflexions pédagogiques de la Renaissance. Ils constituent un modèle, direct ou indirect, pour toutes les Académies calvinistes fondées aux XVIème et XVIIème siècles, que ce soit à Genève, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Écosse, en Pologne ou encore aux États-Unis, dont les trois premiers Colleges, Harvard, William and Mary et Yale, se situent dans la même tradition. Malgré la place fondamentale qu'occupe l'Académie de Lausanne dans l'histoire de l'éducation protestante, la phase de création et de développement de cette institution était encore très mal connue. Cette thèse comble cette lacune de l'historiographie par la mise au jour et par l'analyse de nombreux documents, en grande partie inédits. Elle détruit bon nombre de préjugés entourant la mise en place et les buts de l'Académie de Lausanne à ses débuts. Ainsi, l'Académie de Lausanne n'est pas uniquement une école de pasteurs, comme il a souvent été affirmé jusqu'à ce jour, mais plus largement une institution offrant une formation d'un niveau très élevé dans les trois langues anciennes, (latin, grec et hébreu), en arts libéraux, en philosophie naturelle et morale, et en théologie. Au milieu du XVIème siècle, l'Académie lausannoise est capable de rivaliser avec les meilleures institutions pédagogiques de la Renaissance et d'attirer, dans un rayon très large, non seulement des étudiants qui se destinent au pastorat, mais aussi ceux qui sont formés pour gouverner leurs cités. Plus généralement, cette thèse, qui combine des approches d'histoire intellectuelle, d'histoire politique et d'histoire sociale, reconstitue et analyse les structures de l'Académie de Lausanne jusqu'à 1560, ainsi que ses fonctions éducatives, confessionnelles et politiques.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La présente thèse de doctorat s'inscrit dans le champ des recherches en didactique des langues et des cultures. Il s'agit d'une étude théorique et empirique qui s'interroge sur le rôle que la lecture littéraire joue dans l'appropriation langagière et culturelle d'individus adultes plurilingues, apprenant le français comme langue seconde et/ou étrangère en contexte universitaire. Dans la partie théorique, dans le droit fil d'une approche plurilingue et pluriculturelle, la lecture est considérée comme une pratique littératiée, c'est-à-dire une pratique langagière contextualisée relative au langage écrit. La littérature, quant à elle, est définie comme un ensemble de discours faisant l'objet de représentations sociales et auxquels sont attribuées des valeurs symboliques. L'appropriation langagière et culturelle, considérée dans une perspective socio-discursive, est liée aux notions d'identités multiples, de représentations et de subjectivité. En conformité avec le champ des recherches en didactique des littératures, en outre, la lecture littéraire est définie comme une manière particulière de lire des textes. Elle varie selon les contextes et les tâches requises, selon les postures que les lecteurs adoptent (ce qui permet de définir différents types de lecture) et selon les compétences que ces lecteurs mettent en oeuvre pour comprendre et pour interpréter les textes (les modes de lecture). La partie empirique consiste en une analyse qualitative et compréhensive de témoignages recueillis auprès de dix étudiants universitaires (neuf femmes et un homme) interrogés à plusieurs reprises par oral et par écrit et observés en classe. L'analyse porte à la fois sur la forme et sur les contenus des discours. Il s'agit d'appréhender la manière dont les participants décrivent leurs pratiques de lecture, reconfigurent leurs identités multiples de lecteurs et de locuteurs plurilingues selon différents contextes et construisent leurs représentations sur la lecture, la langue, la littérature et l'apprentissage. Dans la partie didactique conclusive, en se basant sur les analyses effectuées et en reprenant le cadre théorique, il est procédé à une conceptualisation de la lecture littéraire plurilingue. Les répartitions traditionnelles entre modes et types de lecture sont reconsidérées en observant des oppositions scalaires complexes entre les différents modes et les différents types. Dès lors, il est possible de théoriser les notions de lecture- capital et de lecture-plaisir comme deux types de lecture, conformes aux descriptions des participants, pouvant devenir des objectifs d'apprentissage en contexte de classe. Ces types de lecture se lient en effet à deux actions indispensables en vue de déclencher le processus d'appropriation : l'investissement et l'engagement. Les étudiants, par ailleurs, montrent qu'ils disposent d'un répertoire langagier et culturel pluriel et commun à toutes leurs langues et qu'ils mobilisent des ressources linguistiques et symboliques pour s'approprier les nouveaux textes qu'ils lisent. Par conséquent, conformément aux études relatives à la compétence plurilingue et pluriculturelle, on peut constater que le lecteur plurilingue effectue des transferts et des renvois au sein de l'ensemble de ses langues. La thèse se termine avec une ouverture sur des pistes pédagogiques qui prennent en compte les pratiques de lecture et les représentations observées : les approches les plus adaptées à une didactique de la lecture littéraire et de la littérature s'adressant à des lecteurs-acteurs plurilingues se révèlent être des approches plurielles, plurilingues et intégrées.