104 resultados para Globalisation epistemology


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This chapter explores the institutional environments in which standards for the service sector are expected to support the rise of a global knowledgebased economy. The analysis relies on global political economy approaches to extend to the area of services standards the assumption that the process of globalisation is not opposing states and markets, but a joint expression of both of them including new patterns and agents of structural change through formal and informal power and regulatory practices. It analyses how services standards gain authority in the institutional environment in Europe and in the United States and the extent to which this authority is recognised at the transnational level. In contrast to conventional views opposing the European and American standardisation systems, the chapter shows that institutional developments of services standards are likely to face trade-offs and compromises across those systems.

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Under the referential of a ternary logic, with the two orthogonal concepts of information/signification, mediated by the third-included, the diagonal organizer of the cartographic communication, this article aims to cladify the pragmatical aspects of the map functionnality as a communication object. The interaction beween the meaning of its information and the information reciprocally contained in its signification, within a specified context and pertinence, implies a strong level of redundancy shared by producers and users of the map, a same system of scientific and ideological values to pass on the cartographic message. We are far from the objective cartographer who would fade away so to let the facts speaks "objectively" by themselves.

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This paper explores the role of international standards in the globalisation of the service economy. Various strands of economic analyses consider that core attributes of services affect their ability to be reliably delocalised, industrialised and standardised. In contrast, international political economy (IPE) approaches draw attention to power configurations supporting conflicting use of standards across industries and nations. The paper examines the case of the Indian service industry in business process outsourcing to probe these opposing views. Our findings suggest that standards matter in types of services conventionally identified as unlikely to be standardised, and that their use raise little conflict. An IPE perspective on service standardisation highlights, however, the importance of potential power issues likely to be included in more progressive forms of standardisation

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Le corps humain est l'objet privilégié d'action de la médecine, mais aussi réalité vécue, image, symbole, représentation et l'objet d'interprétation et de théorisation. Tous ces éléments constitutifs du corps influencent la façon dont la médecine le traite. Dans cette série de trois articles, nous abordons le corps sous différentes perspectives : médicale (1), phénoménologique (2), psychosomatique et socio-anthropologique (3). Ce premier article traite des représentations du corps en médecine, dont nous décrivons quatre types distincts, qui renvoient à autant de démarches scientifiques spécifiques et de formes de légitimité clinique : le corps-objet de l'anatomie, le corps-machine de la physiologie, le corps cybernétique de la biologie et le corps statistique de l'épidémiologie. The human body is the object upon which medicine is acting, but also lived reality, image, symbol, representation and the object of elaboration and theory. All these elements which constitute the body influence the way medicine is treating it. In this series of three articles, we address the human body from various perspectives: medical (1), phenomenological (2), psychosomatic and socio-anthropological (3). This first article discusses four distinct types of representation of the body within medicine, each related to a specific epistemology and shaping a distinct kind of clinical legitimacy: the body-object of anatomy, the body-machine of physiology, the cybernetic body of biology, the statistical body of epidemiology.

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Faced with an increasing number of data and rankings, the author questions the roles of the different groups of actors who were originally involved in questioning the use of statistical indicators as a means of addressing issues of access to higher education. The comparison and nature of these international (UNESCO, OECD, EUROSTAT) and national (Germany, England, France, Switzerland) indicators in matters of inequalities of access to higher education question the tension between the discourses and the indicators they generate, and their recording at the national level. Who says what and with what consequences? What range of actors are involved in this process? What kind of power relations forms them? The author discusses how the issue of inequalities of access to higher education got on to the agendas of European organisations, identifies the policies that were defined, and sets them against an array of indicators, showing the discrepancy between the discourses and what the indicators reveal, the gap between the recommendations and the available tools. Why is there such a contrast? What are the mechanisms at work? Is it a technical or a political problem? What does this discrepancy reveal as far as national specificities within the construction of social inequalities are concerned?

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Résumé I. Introduction La présente étude analyse les conflits entre les autorités nationales de concurrence dans le cas de figure où plusieurs autorités examinent en même temps la convergence d'une opération de concentration avec leur droit de concentration respectif. Tandis que le débat concernant le contrôle parallèle des opérations de concentration internationales est aujourd'hui extrêmement vif, la recherche fondamentale sur ce sujet n'a pas encore beaucoup avancé. Cependant il y a un besoin de réforme évident, un besoin au centre duquel se situe une réflexion sur l'organisation du droit de concurrence international. Le but de cette étude est donc de fournir une vue d'ensemble des conflits possibles entre les autorités nationales de concurrence en matière politique, économique et juridique (matérielle et procédurale) causés par une opération de concentration internationale. L'objectif n'est pas de fournir une évaluation des différents systèmes de contrôle de concentration, mais plutôt de chercher la source des conflits. Par ailleurs, l'analyse qui suit insistera sur la nécessité d'une solution internationale de ces conflits. II. Arrière-plan Depuis plusieurs décennies, les relations économiques internationales entre les Etats et les entreprises ont été profondément marquées par un processus dynamique de globalisation et de libéralisation. La libéralisation a engendré une croissance énorme du commerce mondial. En conséquence, les entreprises ont développé des stratégies globales pour arriver à une croissance durable. Ainsi, le nombre et la taille des entreprises internationales a constamment augmenté. À cause de cette présence globale des entreprises, les anciens marchés nationaux ou régionaux sont devenus des marchés globaux. Dans le cadre de la libéralisation économique, beaucoup d'Etats ainsi que l'Union Européenne ont reconnu que la concurrence est le moyen approprié pour faire progresser l'innovation et la croissance économique. Il faut donc maintenir et développer les structures de concurrence. Pour cela, il faut surveiller dans le cadre du droit de contrôle international toutes les pratiques concertées dont l'objet ou l'effet serait de restreindre la concurrence, ainsi que les abus d'une position dominante ou les opérations de concentration d'entreprises. Jusqu'à présent, sur environ 200 Etats souverains existants au monde, une bonne centaine ainsi que l'Union Européenne (l'UE) ont développé un droit de concurrence. Et parmi ces Etats, 75 environ ont créé un droit de contrôle de concentration. Mais ces règles nationales ne sont pas toujours appropriées au regard de l'économie mondiale. On constate plutôt que ,,l'internationalisation croissante des marchés [...] n'a pas été suivie d'une internationalisation parallèle de la politique de concurrence". Par ailleurs, un grand nombre d'Etats appliquent leur droit de concurrence également en dehors de leur propre territoire afin de contrôler les abus à l'étranger. Même si on peut comprendre ce besoin de contrôle, cette évolution risque de provoquer des conflits avec les législations des autres Etats concernés. D'autres difficultés naissent des différences théoriques ou pratiques des systèmes du droit de la concurrence ou de régulations divergentes du point de vue matériel et procédural. Même sur la base de règles comparables, des divergences apparaissent à cause de différentes méthodes d'interprétation ou d'application. La communauté internationale s'emploie à combattre toutes les barrières au commerce transnational -notamment dans le cadre de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Mais si elle néglige de lutter en même temps contre les barrières commerciales établies par les entreprises elles-mêmes, elle risque de perdre les gains d'efficacité et de bien public déjà acquis par la suppression des barrières commerciales publiques. Car certaines actions des entreprises privées, comme l'exclusion ou la répartition mutuelle du marché, peuvent aussi bien conduire à des restrictions de la concurrence que les barrières commerciales publiques, tarifaires ou non-tarifaires, et peuvent même s'y substituer. III. Plan de l'étude Après l'Introduction, la partie B traite de la coopération de l'Union Européenne avec les Etats-Unis en matière du droit de la concurrence. En effet, les accords bilatéraux entre l'UE et les Etats-Unis montrent les possibilités et les limites d'une telle coopération. Les conflits entre les autorités de concurrence résultent de la mondialisation croissante et de l'intensification de la concurrence qui en découle. Aussi, ces conflits ne sont pas seulement d'ordre théorique mais également d'une grande importance pratique comme le montre l'analyse des deux cas dans la partie C. Les autorités de concurrence des Etats-Unis et de l'Union Européenne ont chacun de leur côté examiné la fusion des entreprises Boeing Corporation et McDonnell Douglas Corporation (MDD), ainsi que le projet de fusion entre Honeywell International Inc. (Honeywell) et General Electric Co. (GE). Or, ces deux procédures sont paradigmatiques en ce qui concerne la sensibilité politique des autorités de concurrence et les limites de la coopération bilatérale. Après ces analyse de cas, la partie D qui compare le droit de contrôle de concentration aux Etats-Unis et en Europe et examine les conflits éventuels entre les deux systèmes constitue la partie principale de l'étude. Les sources de ces conflits peuvent être aussi bien trouvées dans le droit matériel que dans le droit procédural, tout comme dans les différences d'orientation politique générale des deux systèmes. La partie E montre les différentes solutions qui ont été proposées dans ce cadre. Ensuite, ces propositions sont comparées avec celles concernant l'harmonisation des politiques de concurrence et de contrôle de concentrations. Sur la base de ces résultats, une proposition de solution montrant les premiers pas nécessaires pour résoudre les conflits existants entre les autorités de concurrence est présentée. IV. Résumé des conflits L'étude aboutit à la constatation que presque tous les aspects du contrôle des concentrations constituent un important potentiel de conflits. Celui-ci est d'ailleurs bien plus important que l'on ne pourrait penser au w des lois applicables. La complexité du droit de la concurrence provoque nécessairement des conflits. Mais il faut également tenir compte des différences fondamentales concernant les objectifs politiques des Etats, les formes d'institutionnalisation des autorités de concurrence et la prise en considération des pays en développement ou des pays émergents. Les différences purement juridiques accroissent le potentiel de conflits entre les Etats et empêchent une intensification de la coopération. Cela est notamment vrai pour la définition de la concentration, l'application extraterritoriale du droit national, la notification obligatoire et ses seuils fixés. Concernant le droit matériel, les conflits se situent dans les domaines de la délimitation du marché, le critère d'incompabilité, l'analyse économique, la prise en compte des gains d'efficacité, l'importance de la concentration de sauvetage ainsi que de l'application du principe de ,,comity of nations". Du point de we du droit procédural, les différences d'inscription obligatoire et d'interdiction partielle de l'accomplissement consécutif donnent autant également lieu à des conflits potentiels que les différences de méthode d'investigation et d'exécution des décisions publiques. Il en va de même pour les différents remèdes ou les sanctions prévues pour le mépris des décisions des autorités ou des tribunaux et la position des parties tierces dans la procédure est également un facteur de conflit. Enfin, il faut mentionner le manque de transparence qui nuit à la sécurité juridique. L'application arbitraire du droit, le protectionnisme, le mercantilisme ainsi que le manque de sécurité juridique augmentent le danger de conflits interétatiques. La coopération entre les Etats-Unis et l'Union Européenne sur la base de l'accord de 1991 n'a pas vraiment réduit ce potentiel de conflits. Cela s'est notamment avéré au moment des projets de fusion entre GE et Honeywell et de la reprise de MDD par Boeing. V. Les possibilités d'harmonisation Aussi bien la nécessité que la faisabilité d'une harmonisation globale du droit de la concurrence et d'une politique de la concurrence sont encore très discutés. La plupart des débats tournent plutôt autour de l'arrangement concret d'un tel droit harmonisé que de l'objectif général d'une harmonisation. Quelques Etats comme les Etats-Unis redoutent une trop grande perte de souveraineté et veulent par conséquent maintenir leur méthode unilatérale et extraterritoriale. Cependant, la plupart des experts des organisations internationales comme ceux des autorités de concurrence et du public intéressé approuvent l'idée d'un droit de concurrence international. Etant donné la gravité de certains conflits, de nombreux Etats et un grand nombre de juristes perçoivent la nécessité de développer la conscience d'une indispensable harmonisation, et un accord sur ce plan semble parfaitement possible. Parmi ceux qui soutiennent cet accord l'on trouve presque tous les Etats membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (l'OCDE), de nombreux Etats membres de l'OMC, de l'Organisations des nations unies (l'ONU) et de l'Accord de libre-échange nord-américain (l'ALENA), particulièrement les Etats de l'UE, l'Australie, le Japon, le Canada, le Mexique, la Nouvelle Zélande et quelques représentants des autorités de concurrence des Etats-Unis. La méthode la plus efficace et raisonnable pour lutter contre les obstacles privés à la concurrence est la coopération et la coordination globale des mécanismes de contrôle. Les forums et les structures nécessaires pour la préparation d'une telle tâche existent déjà. Ainsi, le cadre institutionnel éprouvé de l'OMC pourra faire progresser le processus d`harmonisation. Il faudrait simplement élargir les compétences de l'OMC pour garantir un contrôle international efficace. L'harmonisation sur le plan international serait plus efficace qu'une harmonisation unilatérale ou bilatérale. La flexibilité d'un accord international pourrait être garanti par 1"insertion de cet accord dans le Mémorandum d'accords commerciaux plurilatéraux (Annexe 4) de l'OMC. Ainsi, cet accord ne serait obligatoire que pour les Etats membres qui l'auraient déjà approuvé séparément. Les autres Etats auraient la possibilité de le signer plus tard. En cas de conflits dans le cadre de l'application de cet accord, on pourrait se servir du mécanisme d'arbitrage de l'OMC. Il faudrait également créer une autorité internationale de concurrence et un comité spécial international de concurrence. Un tel accord de l'OMC ne constitue qu'un premier pas. Les exigences minimales de l'accord doivent être renforcées et régulièrement ajustées à l'évolution et aux nouvelles données de l'économie mondiale. Ainsi, le processus d'harmonisation internationale sera l'objet d'une dynamique permanente. VI. Résultats et conclusions L'étude a montré que l'application parallèle des droits nationaux de concurrence est une importante source de conflits. Elle a surtout mis l'accent sur les relations entre les Etats-Unis et l'Union Européenne. Il est d'ailleurs très probable que ce genre de conflits augmente encore dans le futur. En 2000, l'activité mondiale des fusions et acquisitions a eu un volume de 3 billions de dollars Anglo-américains. Cela équivaut à une multiplication par onze du volume de 1991. En 2001, par contre, le volume a de nouveau baissé à 1,6 billions de dollars Anglo-américains. Mais selon les pronostics, le nombre des concentrations va à nouveau augmenter considérablement dans les prochaines années. Cette vague de concentrations internationales est la conséquence de l'intensification mondiale des relations économiques transnationales. Cette évolution va se poursuivre pour autant que les barrières commerciales publiques continuent à être démantelées, que le renforcement de la dérégularisation ouvre de nouveaux marchés à la compétition, que de plus en plus de standards techniques soient harmonisés et que les transports et la communication internationale soient améliorés et moins couteux. Enfin, la consolidation de certains secteurs économiques à la suite de fusions déjà réalisées encourage de plus en plus les entreprises à fusionner sur le plan international et dans des dimensions de plus en plus grandes. Outre les conflits engendrés par les différentes législations nationales, il faut également mentionner les oppositions qui résultent d'une façon indirecte de la compétition entre les différentes autorités de contrôle. Ainsi, par exemple, les conséquences économiques et financières d'un retard dans la procédure de contrôle ou les sanctions importantes imposées aux entreprises concernées sont souvent le sujet de discussions et de conflits politiques. Dans ce cadre, il faut souligner qu'en réalité le droit de concurrence ainsi que le droit de contrôle de concentrations ne vise pas seulement une politique de concurrence mais également la politique industrielle et générale. La diversité de ces différentes visées politiques provoque nécessairement des conflits politiques. La solution présentée à la fin de ce travail voudrait proposer une application efficace du droit de contrôle de concentration sur le plan international. A la base de cette efficacité il y a aurait notamment: L'encouragement d'une politique de concurrence au sein des Etats qui n'ont pas encore développé un droit de concurrence ou qui ne l'exécutent pas d'une manière suffisante. L'encouragement de la concurrence et des concentrations positives améliorant la situation compétitive. La simplification de la coopération des autorités de concurrence. L'accélération des procédures et des décisions. La garantie de la sécurité juridique. La diminution des conflits politiques. L'encouragement d'une amélioration globale du bien public qui est à la base de toute politique commerciale. Ces objectifs ne peuvent être atteints que si le protectionnisme national est battu en brêche et si des systèmes de contrôle international sont installés. Les intérêts des Etats doivent refléter les nouvelles dimensions de l'économie globale qui ne s'arrête pas aux frontières nationales. Pour cela il leur faut accepter certaines pertes de souveraineté et tolérer certaines infractions aux règles internationales de la non-ingérence. Les intérêts nationaux doivent s'ajuster à l'économie mondiale et aux intérêts des autres Etats. Bien entendu, tant que la divergence actuelle entre les marchés internationaux et les systèmes de contrôle nationaux persiste, une amélioration de la situation est peu probable. Pour que cela soit possible, il faudrait une législation qui reflète les nouvelles dimensions de l'économie et ses effets transnationaux et qui, en même temps, augmente et assure une concurrence efficace. Une telle stratégie aiderait non seulement les autorités de concurrence et les Etats mais également tout particulièrement les consommateurs et les entreprises. Car une telle concurrence efficace engendre des entreprises plus efficaces, des produits améliorés, un choix plus grand et des prix plus bas. En fin de compte, un tel effet de bien public diminuerait aussi le risque de conflits interétatiques. Dans le cadre de la consolidation et de l'amélioration des structures juridiques du système de l'OMC, il serait essentiel que les institutions et la méthode d'arbitrage de l'OMC inspirent suffisamment confiance à la communauté internationale des Etats. Car c'est seulement sur la base d'une telle confiance et avec la volonté des Etats de faire un pas décisif en faveur d'un commerce mondial plus libre et plus loyal qu'un projet aussi ambitieux est réalisable. Il est donc essentiel que les responsables réalisent enfin les projets d'harmonisation et de coopération renforcées qu'ils ont si souvent annoncés. En tous cas, une forte ,,dynamique du processus d'harmonisation" sera nécessaire pour progresser sur le terrain de l'harmonisation internationale de la politique de la concurrence. Berlin, 17/08/2006 Florens Girardet

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At the beginning of the 21st century, a new social arrangement of work poses a series of questions and challenges to scholars who aim to help people develop their working lives. Given the globalization of career counseling, we decided to address these issues and then to formulate potentially innovative responses in an international forum. We used this approach to avoid the difficulties of creating models and methods in one country and then trying to export them to other countries where they would be adapted for use. This article presents the initial outcome of this collaboration, a counseling model and methods. The life-designing model for career intervention endorses five presuppositions about people and their work lives: contextual possibilities, dynamic processes, non-linear progression, multiple perspectives, and personal patterns. Thinking from these five presuppositions, we have crafted a contextualized model based on the epistemology of social constructionism, particularly recognizing that an individual's knowledge and identity are the product of social interaction and that meaning is co-constructed through discourse. The life-design framework for counseling implements the theories of self-constructing [Guichard, J. (2005). Life-long self-construction. International Journal for Educational and Vocational Guidance, 5, 111-124] and career construction [Savickas, M. L. (2005). The theory and practice of career construction. In S. D. Brown & R. W. Lent (Eds.), Career development and counselling: putting theory and research to work (pp. 42-70). Hoboken, NJ: Wiley] that describe vocational behavior and its development. Thus, the framework is structured to be life-long, holistic, contextual, and preventive.

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Difficile de concevoir une évaluation psychologique indépendante des critères culturels ou d'en tenir compte de manière adéquate. C'est pourquoi la globalisation des économies et les mouvements migratoires impliquent de repenser l'évaluation psychologique dans le domaine du conseil et de l'orientation d'un point de vue théorique et pratique. Cette nouvelle situation pose des défis inédits

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Résumé Cet article examine le rôle joué par les normes internationales techniques dans la mondialisation des activités de service. Différentes approches d'économie considèrent que les spécificités des activités de services sont un frein à leur délocalisation, à leur industrialisation et à leur normalisation. A l'opposé de ces approches centrées sur les spécificités des activités de services, les approches d'économie politique internationale mettent en avant l'existence de configurations conflictuelles de pouvoir à l'oeuvre dans l'internationalisation des activités de services et ce, au-delà des limites sectorielles et nationales. Cet article examine le cas du secteur des centres d'appels et, plus généralement, celui de la sous-traitance des services aux entreprises (BPO) en Inde. Nos résultats suggèrent que les normes techniques sont importantes dans le secteur étudié, alors même que ces types de services sont conventionnellement identifiés comme étant peu susceptibles d'être soumis à des normes. Une perspective d'économie politique sur la normalisation des activités de service souligne comment la problématique du pouvoir investit la normalisation technique d'une dimension plus progressive à travers les thématiques du "travailleur", du "consommateur", ou de "l'environnement". Abstract This paper explores the role of international standards in the much-debated globalisation of the service economy. Various strands of economic analyses consider that core attributes of services affect their ability to be reliably delocalised, industrialised, and standardised. In contrast, international political economy approaches draw attention to power configurations supporting conflicting use of standards across industries and nations. The paper examines the case of the rising Indian service industry in customer centres and business process outsourcing to probe these opposing views. Our findings suggest that standards matter in types of services that conventional economic analyses identify as unlikely to be standardised, and that the standards used in the Indian BPO industry are widely accepted. Despite little conflict in actual definitions of market requirements, an international political economy perspective on service standardisation highlights the importance of potential power issues related to workers', consumers', and environmental concerns likely to be included in more progressive forms of standardisation.

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Summary This dissertation explores how stakeholder dialogue influences corporate processes, and speculates about the potential of this phenomenon - particularly with actors, like non-governmental organizations (NGOs) and other representatives of civil society, which have received growing attention against a backdrop of increasing globalisation and which have often been cast in an adversarial light by firms - as a source of teaming and a spark for innovation in the firm. The study is set within the context of the introduction of genetically-modified organisms (GMOs) in Europe. Its significance lies in the fact that scientific developments and new technologies are being generated at an unprecedented rate in an era where civil society is becoming more informed, more reflexive, and more active in facilitating or blocking such new developments, which could have the potential to trigger widespread changes in economies, attitudes, and lifestyles, and address global problems like poverty, hunger, climate change, and environmental degradation. In the 1990s, companies using biotechnology to develop and offer novel products began to experience increasing pressure from civil society to disclose information about the risks associated with the use of biotechnology and GMOs, in particular. Although no harmful effects for humans or the environment have been factually demonstrated even to date (2008), this technology remains highly-contested and its introduction in Europe catalysed major companies to invest significant financial and human resources in stakeholder dialogue. A relatively new phenomenon at the time, with little theoretical backing, dialogue was seen to reflect a move towards greater engagement with stakeholders, commonly defined as those "individuals or groups with which. business interacts who have a 'stake', or vested interest in the firm" (Carroll, 1993:22) with whom firms are seen to be inextricably embedded (Andriof & Waddock, 2002). Regarding the organisation of this dissertation, Chapter 1 (Introduction) describes the context of the study, elaborates its significance for academics and business practitioners as an empirical work embedded in a sector at the heart of the debate on corporate social responsibility (CSR). Chapter 2 (Literature Review) traces the roots and evolution of CSR, drawing on Stakeholder Theory, Institutional Theory, Resource Dependence Theory, and Organisational Learning to establish what has already been developed in the literature regarding the stakeholder concept, motivations for engagement with stakeholders, the corporate response to external constituencies, and outcomes for the firm in terms of organisational learning and change. I used this review of the literature to guide my inquiry and to develop the key constructs through which I viewed the empirical data that was gathered. In this respect, concepts related to how the firm views itself (as a victim, follower, leader), how stakeholders are viewed (as a source of pressure and/or threat; as an asset: current and future), corporate responses (in the form of buffering, bridging, boundary redefinition), and types of organisational teaming (single-loop, double-loop, triple-loop) and change (first order, second order, third order) were particularly important in building the key constructs of the conceptual model that emerged from the analysis of the data. Chapter 3 (Methodology) describes the methodology that was used to conduct the study, affirms the appropriateness of the case study method in addressing the research question, and describes the procedures for collecting and analysing the data. Data collection took place in two phases -extending from August 1999 to October 2000, and from May to December 2001, which functioned as `snapshots' in time of the three companies under study. The data was systematically analysed and coded using ATLAS/ti, a qualitative data analysis tool, which enabled me to sort, organise, and reduce the data into a manageable form. Chapter 4 (Data Analysis) contains the three cases that were developed (anonymised as Pioneer, Helvetica, and Viking). Each case is presented in its entirety (constituting a `within case' analysis), followed by a 'cross-case' analysis, backed up by extensive verbatim evidence. Chapter 5 presents the research findings, outlines the study's limitations, describes managerial implications, and offers suggestions for where more research could elaborate the conceptual model developed through this study, as well as suggestions for additional research in areas where managerial implications were outlined. References and Appendices are included at the end. This dissertation results in the construction and description of a conceptual model, grounded in the empirical data and tied to existing literature, which portrays a set of elements and relationships deemed important for understanding the impact of stakeholder engagement for firms in terms of organisational learning and change. This model suggests that corporate perceptions about the nature of stakeholder influence the perceived value of stakeholder contributions. When stakeholders are primarily viewed as a source of pressure or threat, firms tend to adopt a reactive/defensive posture in an effort to manage stakeholders and protect the firm from sources of outside pressure -behaviour consistent with Resource Dependence Theory, which suggests that firms try to get control over extemal threats by focussing on the relevant stakeholders on whom they depend for critical resources, and try to reverse the control potentially exerted by extemal constituencies by trying to influence and manipulate these valuable stakeholders. In situations where stakeholders are viewed as a current strategic asset, firms tend to adopt a proactive/offensive posture in an effort to tap stakeholder contributions and connect the organisation to its environment - behaviour consistent with Institutional Theory, which suggests that firms try to ensure the continuing license to operate by internalising external expectations. In instances where stakeholders are viewed as a source of future value, firms tend to adopt an interactive/innovative posture in an effort to reduce or widen the embedded system and bring stakeholders into systems of innovation and feedback -behaviour consistent with the literature on Organisational Learning, which suggests that firms can learn how to optimize their performance as they develop systems and structures that are more adaptable and responsive to change The conceptual model moreover suggests that the perceived value of stakeholder contribution drives corporate aims for engagement, which can be usefully categorised as dialogue intentions spanning a continuum running from low-level to high-level to very-high level. This study suggests that activities aimed at disarming critical stakeholders (`manipulation') providing guidance and correcting misinformation (`education'), being transparent about corporate activities and policies (`information'), alleviating stakeholder concerns (`placation'), and accessing stakeholder opinion ('consultation') represent low-level dialogue intentions and are experienced by stakeholders as asymmetrical, persuasive, compliance-gaining activities that are not in line with `true' dialogue. This study also finds evidence that activities aimed at redistributing power ('partnership'), involving stakeholders in internal corporate processes (`participation'), and demonstrating corporate responsibility (`stewardship') reflect high-level dialogue intentions. This study additionally finds evidence that building and sustaining high-quality, trusted relationships which can meaningfully influence organisational policies incline a firm towards the type of interactive, proactive processes that underpin the development of sustainable corporate strategies. Dialogue intentions are related to type of corporate response: low-level intentions can lead to buffering strategies; high-level intentions can underpin bridging strategies; very high-level intentions can incline a firm towards boundary redefinition. The nature of corporate response (which encapsulates a firm's posture towards stakeholders, demonstrated by the level of dialogue intention and the firm's strategy for dealing with stakeholders) favours the type of learning and change experienced by the organisation. This study indicates that buffering strategies, where the firm attempts to protect itself against external influences and cant' out its existing strategy, typically lead to single-loop learning, whereby the firm teams how to perform better within its existing paradigm and at most, improves the performance of the established system - an outcome associated with first-order change. Bridging responses, where the firm adapts organisational activities to meet external expectations, typically leads a firm to acquire new behavioural capacities characteristic of double-loop learning, whereby insights and understanding are uncovered that are fundamentally different from existing knowledge and where stakeholders are brought into problem-solving conversations that enable them to influence corporate decision-making to address shortcomings in the system - an outcome associated with second-order change. Boundary redefinition suggests that the firm engages in triple-loop learning, where the firm changes relations with stakeholders in profound ways, considers problems from a whole-system perspective, examining the deep structures that sustain the system, producing innovation to address chronic problems and develop new opportunities - an outcome associated with third-order change. This study supports earlier theoretical and empirical studies {e.g. Weick's (1979, 1985) work on self-enactment; Maitlis & Lawrence's (2007) and Maitlis' (2005) work and Weick et al's (2005) work on sensegiving and sensemaking in organisations; Brickson's (2005, 2007) and Scott & Lane's (2000) work on organisational identity orientation}, which indicate that corporate self-perception is a key underlying factor driving the dynamics of organisational teaming and change. Such theorizing has important implications for managerial practice; namely, that a company which perceives itself as a 'victim' may be highly inclined to view stakeholders as a source of negative influence, and would therefore be potentially unable to benefit from the positive influence of engagement. Such a selfperception can blind the firm from seeing stakeholders in a more positive, contributing light, which suggests that such firms may not be inclined to embrace external sources of innovation and teaming, as they are focussed on protecting the firm against disturbing environmental influences (through buffering), and remain more likely to perform better within an existing paradigm (single-loop teaming). By contrast, a company that perceives itself as a 'leader' may be highly inclined to view stakeholders as a source of positive influence. On the downside, such a firm might have difficulty distinguishing when stakeholder contributions are less pertinent as it is deliberately more open to elements in operating environment (including stakeholders) as potential sources of learning and change, as the firm is oriented towards creating space for fundamental change (through boundary redefinition), opening issues to entirely new ways of thinking and addressing issues from whole-system perspective. A significant implication of this study is that potentially only those companies who see themselves as a leader are ultimately able to tap the innovation potential of stakeholder dialogue.