140 resultados para Fine needle aspiration biopsy (FNAB)


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BACKGROUND AND STUDY AIMS: The current gold standard in Barrett's esophagus monitoring consists of four-quadrant biopsies every 1-2 cm in accordance with the Seattle protocol. Adding brush cytology processed by digital image cytometry (DICM) may further increase the detection of patients with Barrett's esophagus who are at risk of neoplasia. The aim of the present study was to assess the additional diagnostic value and accuracy of DICM when added to the standard histological analysis in a cross-sectional multicenter study of patients with Barrett's esophagus in Switzerland. METHODS: One hundred sixty-four patients with Barrett's esophagus underwent 239 endoscopies with biopsy and brush cytology. DICM was carried out on 239 cytology specimens. Measures of the test accuracy of DICM (relative risk, sensitivity, specificity, likelihood ratios) were obtained by dichotomizing the histopathology results (high-grade dysplasia or adenocarcinoma vs. all others) and DICM results (aneuploidy/intermediate pattern vs. diploidy). RESULTS: DICM revealed diploidy in 83% of 239 endoscopies, an intermediate pattern in 8.8%, and aneuploidy in 8.4%. An intermediate DICM result carried a relative risk (RR) of 12 and aneuploidy a RR of 27 for high-grade dysplasia/adenocarcinoma. Adding DICM to the standard biopsy protocol, a pathological cytometry result (aneuploid or intermediate) was found in 25 of 239 endoscopies (11%; 18 patients) with low-risk histology (no high-grade dysplasia or adenocarcinoma). During follow-up of 14 of these 18 patients, histological deterioration was seen in 3 (21%). CONCLUSION: DICM from brush cytology may add important information to a standard biopsy protocol by identifying a subgroup of BE-patients with high-risk cellular abnormalities.

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Introduction: Enchondromas are among the most current benign bone tumours. Malignant degeneration is extremely rare (<1%) and generally presents as a low grade chondrosarcoma. For localized grade 1 lesions, the treatment of choice is curettage. Wide excision and reconstruction is generally not necessary, unless locally advanced or more aggressive behaviour is suspected at presentation. Case report: A healthy 72 yo male presented with pain and recurrent knee joint effusion. X-rays show a classical central distal metaphyseal enchondroma of the femur associated with subtle osteolysis of the lateral condyle. MRI confirms the presence of a locally aggressive chondromatous lesion based in a classical enchondroma. Core needle biopsy revealed a grade 1 chondrosarcoma, which was in contrast to the radiological aggressiveness of the lesion. Total body CT-scan did not reveal metastatic disease. A wide resection was planned, as a high-grade lesion and joint contamination was suspected. We performed an extra-articular knee resection and reconstruction with a hinged modular total knee megaprosthesis. The definitive histology was grade 1 chondrosarcoma, the surgical margins were wide. The evolution was favourable and the patient was able to perform all his activities of daily living independently without pain at 6 weeks postop. Knee flexion reached 90°. The oncologic screening at 18 months did not show local or distant recurrence. Conclusion: Joints near a benign tumour that suddenly become symptomatic or present an effusion might indicate a malignant transformation. Wide resection and prosthetic reconstruction remains an effective treatment option even in low grade cartilaginous lesions if (1) the adjacent joint is contaminated, or (2) joint-sparing surgery would result in a severe functional impairment of the limb.

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Several cases of Brunner's gland hyperplasia causing hemorrhage, obstruction, or intussusception have been published in the adult literature. Similar cases in the pediatric population are very rare and have only been described twice, always associated with chronic renal failure. We report the third and youngest case of gastric outlet obstruction because of Brunner's gland hyperplasia focusing on histopathologic condition and treatment based on a review of the literature.

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The abscesses of the breast are puerperal or non puerperal. The Staphylococcus aureus is the most common germ. The diagnosis is based on clinical criterias and confirmed by the ultrasonography. The percutaneous ultrasonography-guided drainage must be proposed in first intent to treat. Surgical treatment is still valid with a relapsing or chronic abscess, or after the non operative processes have failed.

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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.

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In this study, we assessed the mixed exposure of highway maintenance workers to airborne particles, noise, and gaseous co-pollutants. The aim was to provide a better understanding of the workers' exposure to facilitate the evaluation of short-term effects on cardiovascular health endpoints. To quantify the workers' exposure, we monitored 18 subjects during 50 non-consecutive work shifts. Exposure assessment was based on personal and work site measurements and included fine particulate matter (PM2.5), particle number concentration (PNC), noise (Leq), and the gaseous co-pollutants: carbon monoxide, nitrogen dioxide, and ozone. Mean work shift PM2.5 concentrations (gravimetric measurements) ranged from 20.3 to 321 μg m(-3) (mean 62 μg m(-3)) and PNC were between 1.6×10(4) and 4.1×10(5) particles cm(-3) (8.9×10(4) particles cm(-3)). Noise levels were generally high with Leq over work shifts from 73.3 to 96.0 dB(A); the averaged Leq over all work shifts was 87.2 dB(A). The highest exposure to fine and ultrafine particles was measured during grass mowing and lumbering when motorized brush cutters and chain saws were used. Highest noise levels, caused by pneumatic hammers, were measured during paving and guardrail repair. We found moderate Spearman correlations between PNC and PM2.5 (r = 0.56); PNC, PM2.5, and CO (r = 0.60 and r = 0.50) as well as PNC and noise (r = 0.50). Variability and correlation of parameters were influenced by work activities that included equipment causing combined air pollutant and noise emissions (e.g. brush cutters and chain saws). We conclude that highway maintenance workers are frequently exposed to elevated airborne particle and noise levels compared with the average population. This elevated exposure is a consequence of the permanent proximity to highway traffic with additional peak exposures caused by emissions of the work-related equipment.

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The discovery of an anterior mediastinal mass requires careful management with specific consideration of the pathology. More than 50% of all mediastinal masses seen in adults are in the anterior mediastinum. The most frequent diagnoses are thymoma, lymphoma, teratoma and benign thyroid tumours. 60% of cases are malignant. Often the clinical and radiological findings do not allow a definitive diagnosis and a histological diagnosis is often required to select the optimal treatment modality. The choice of biopsy technique depends on the localization of the lesion, clinical factors, and the availability of special techniques and equipment. Biopsy may be obtained by trans-thoracic puncture under computed tomography or ultrasound guidance, or by a surgical approach (mediastinotomy or thoracoscopy).

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The treatment of multiple myeloma has undergone significant changes in the recent past. The arrival of novel agents, especially thalidomide, bortezomib and lenalidomide, has expanded treatment options and patient outcomes are improving significantly. This article summarises the discussions of an expert meeting which was held to debate current treatment practices for multiple myeloma in Switzerland concerning the role of the novel agents and to provide recommendations for their use in different treatment stages based on currently available clinical data. Novel agent combinations for the treatment of newly diagnosed, as well as relapsed multiple myeloma are examined. In addition, the role of novel agents in patients with cytogenetic abnormalities and renal impairment, as well as the management of the most frequent side effects of the novel agents are discussed. The aim of this article is to assist in treatment decisions in daily clinical practice to achieve the best possible outcome for patients with multiple myeloma.

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BACKGROUND: In obstetrics, post-dural puncture headache is a well-recognised complication. Typical symptoms include fronto-temporal or occipital headache, worsening with ambulation and improving in the decubitus position. Occasionally, patients present with non-postural headache, although relatively little is known about this atypical presentation. The purpose of this study was to determine the incidence, associated signs and risk factors for this atypical manifestation of post-dural puncture headache. METHODS: We analysed a series of 27 064 parturients having a neuraxial procedure between January 2001 and December 2010. Using data from electronic anaesthesia patient records, medical charts and a postpartum quality audit, we identified all parturients with atypical post-dural puncture headache. We assessed the incidence and used uni- and multivariate analysis to identify associated risk factors. RESULTS: Amongst 142 parturients with post-dural puncture headache, eight (5.6%, 95% CI 1.7-9.4%) had atypical non-postural headache. Associated symptoms were stiffness and pain in the cervical, thoracic or lumbar vertebral area, visual disturbances and vertigo. Significant risk factors for developing atypical signs were previous migraine, odds ratio 6.1 (95% CI 1.2-28.7), a more cephalad level of needle insertion, odds ratio 17.2 (95% CI 1.4-210.1) and identification of dural puncture by aspiration of cerebrospinal fluid from the epidural catheter, odds ratio 5.5 (95% CI 1.2-24.4). Following multivariate analysis, recognition of dural puncture by aspiration of cerebrospinal fluid from the epidural catheter was the most significant predictor of non-orthostatic postdural puncture headache. CONCLUSION: Anaesthetists should be aware of this atypical clinical presentation, particularly if there is a past history of migraine, a more cephalad level of needle insertion or identification of dural puncture by aspiration of cerebrospinal fluid from the epidural catheter.

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BACKGROUND: Increasingly, patients receiving methadone treatment are found in low threshold facilities (LTF), which provide needle exchange programmes in Switzerland. This paper identifies the characteristics of LTF attendees receiving methadone treatment (MT) compared with other LTF attendees (non-MT). METHODS: A national cross-sectional survey was conducted in 2006 over five consecutive days in all LTF (n=25). Attendees were given an anonymous questionnaire, collecting information on socio-demographic indicators, drug consumption, injection, methadone treatment, and self-reported HIV and HCV status. Univariate analysis and logistic regression were performed to compare MT to non-MT. The response rate was 66% (n=1128). RESULTS: MT comprised 57.6% of the sample. In multivariate analysis, factors associated with being on MT were older age (OR: 1.38), being female (OR: 1.60), having one's own accommodation (OR: 1.56), receiving public assistance (OR: 2.29), lifetime injecting (OR: 2.26), HIV-positive status (OR: 2.00), and having consumed cocaine during the past month (OR: 1.37); MT were less likely to have consumed heroin in the past month (OR: 0.76, not significant) and visited LTF less often on a daily basis (OR: 0.59). The number of injections during the past week was not associated with MT. CONCLUSIONS: More LTF attendees were in the MT group, bringing to light an underappreciated LTF clientele with specific needs. The MT group consumption profile may reflect therapeutic failure or deficits in treatment quality and it is necessary to acknowledge this and to strengthen the awareness of LTF personnel about potential needs of MT attendees to meet their therapeutic goals.