295 resultados para sans-serifer
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A markedly elevated circulating CEA level was observed in January 1978 in a 40-year-old male patient who complained of functional digestive disorders consisting of 2-3 bowel movements at the end of each night. During follow-up of more than 3 years the CEA level was always found to be higher than 300 ng/ml as determined on 12 different blood samples using 3 different assays: the Hansen assay, our own inhibition radioimmunoassay performed on perchloric acid extract of serum, and a newly developed solid phase non-competitive enzyme immunoassay involving monoclonal anti-CEA antibody. The clinical evolution showed no aggravation of the persistent but mild bowel troubles, i.e. no real diarrhea or blood in the stool. The patient enjoys excellent general health and shows no weight loss. Barium enema, colonoscopy and extensive investigation by computerized axial tomography showed no evidence of primary or metastatic tumor. Apart from CEA, the blood chemistry was within normal limits. Six members of the patient's family have normal CEA levels. A possible explanation for this unique case of marked and persistent elevation of circulating CEA without evidence of cancer is discussed.
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Sweet syndrome is a non infectious febrile disease with a neutrophilic infiltrate of dermis. Extracutaneous involvement can occur. We report two cases of Sweet syndrome with cutaneous and pulmonary involvement and give a short review of the literature of pulmonary involvement in Sweet syndrome.
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PURPOSE: To investigate whether peroperative perfluorocarbon liquids (PFCL) improve the long term anatomical success of retinal detachment associated with severe proliferative vitreoretinopathy (PVR). PATIENTS AND METHODS: The charts of 62 successive patients operated on for retinal detachment associated with severe PVR were retrospectively analyzed. For one group of 39 patients PFCL were used intraoperatively to improve membrane dissection. The anatomical status of the two groups were compared one month after surgery and at least 6 months after silicone oil ablation. RESULTS: Anatomical success was observed in 84.6% in the group of patients operated with PFCL compared to 52% in the other group (P = 0.005). At the end of the follow up, anatomical success was observed in 64% of patients operated with PFCL compared to 61% in the control group (P = 0.8). However, recurrences were observed later in the group operated on with PFCL. CONCLUSION: Perfluorocarbons liquids significantly improve the initial reattachment of retinal detachment complicated with severe PVR, but they do not seem to improve their final anatomical status.
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Should we treat iron deficiency without anemia? The simple fact that the question can be formulated already leads to controversies. During the past years, the development of a new formulation of intravenous iron has helped fuel the controversy. What is the situation in 2012? This article gives a practical point of view on the actual situation and provides indications on the use of new intravenous medications.
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Immigration, a political, economic, demographic, social and ethic, as well as a medical issue, continues. Among migrants, asylum seekers, refugees and undocumented immigrants are characterised by their vulnerability, particularly related to their health status. Western physicians are more and more frequently confronted to "colorful" and often vulnerable patients. They face diseases related to international migrations; and at the same time have to integrate the differences in representations and meanings given to illness by patients of diverse origins. A bio-psychosocial and spiritual approach coupled with an evaluation of pre-migration, migration and post-migration trajectories is therefore useful for the clinician; these complementary approaches have all been integrated in the learning of cultural competencies.
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Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) est une pathologie fréquente dont la prévalence dans la population générale est de 5-15%. Le SJSR se caractérise par un besoin impérieux de bouger les membres inférieurs qui apparaît le plus souvent au repos, le soir et la nuit. Les symptômes sont typiquement atténués par la mobilisation des jambes. Plusieurs études ont montré que le SJSR a d'importantes répercussions sur le quotidien des patients atteints avec une diminution de leur qualité de vie, des troubles du sommeil et une altération des fonctions cognitives. Un lien entre la carence martiale et le SJSR est supposé depuis longtemps. Il a été montré que les symptômes sont aggravés en cas de déficit en fer sans qu'une corrélation directe ait pu être établie, le taux de ferritine étant souvent normal chez les patients avec un SJRS. Des études récentes ont permis de montrer qu'il existe une carence en fer au niveau du système nerveux central des patients avec un SJSR notamment au niveau du liquide céphalo-rachidien et de la substance noire. Il existe une probable dysfonction du système dopaminergique qui explique la symptomatologie des patients et la réponse souvent favorable aux agonistes dopaminergiques. Par ailleurs, des études ont récemment montré qu'il existe des polymorphismes de plusieurs gènes chez les patients avec un SJSR faisant supposer une probable prédisposition génétique. Les femmes donnant leur sang, population préalablement en bonne santé, sont plus à risque de présenter une carence en fer qui pourrait être associée à une augmentation du risque de développer un SJSR. Les études à ce sujet ont montré des résultats contradictoires. Une étude suédoise parue en 2004 montrait une prévalence du SJSR chez les donneuses de sang de presque 25% alors qu'une étude américaine de 2010 décrivait une prévalence de 9% comparable à la population générale. Il est donc d'intérêt de savoir si l'on fait prendre un risque aux donneuses de sang de développer une affection invalidante telle que le SJSR. Le but de ce travail de thèse en médecine était donc de déterminer la prévalence du SJSR chez les donneuses de sang. Notre étude s'est déroulée de 2008 à 2010 et notre collectif comprenait 291 donneuses de sang de 18 à 49 ans. Nos résultats ont montré une prévalence du SJSR de 6.9% chez les donneuses de sang. La prévalence de l'hyperménorrhée était augmentée chez les donneuses avec un SJSR et elles étaient également significativement plus fatiguées. Nous n'avons pas montré d'association entre le SJSR et la capacité aérobique, la fréquence des dons et la qualité de vie. Comme montré dans plusieurs études, nous avons confirmé l'absence de lien entre le SJSR et le taux d'hémoglobine et la ferritine.