110 resultados para Obstructive Sleep Apnea-hypopnea Syndrome


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STUDY OBJECTIVES: To evaluate the association between objective sleep measures and metabolic syndrome (MS), hypertension, diabetes, and obesity. DESIGN: Cross-sectional study. SETTING: General population sample. PARTICIPANTS: There were 2,162 patients (51.2% women, mean age 58.4 ± 11.1). INTERVENTIONS: Patients were evaluated for hypertension, diabetes, overweight/obesity, and MS, and underwent a full polysomnography (PSG). MEASUREMENTS AND RESULTS: PSG measured variables included: total sleep time (TST), percentage and time spent in slow wave sleep (SWS) and in rapid eye movement (REM) sleep, sleep efficiency and arousal index (ArI). In univariate analyses, MS was associated with decreased TST, SWS, REM sleep, and sleep efficiency, and increased ArI. After adjustment for age, sex, smoking, alcohol, physical activity, drugs that affect sleep and depression, the ArI remained significantly higher, but the difference disappeared in patients without significant sleep disordered breathing (SDB). Differences in sleep structure were also found according to the presence or absence of hypertension, diabetes, and overweight/obesity in univariate analysis. However, these differences were attenuated after multivariate adjustment and after excluding subjects with significant SDB. CONCLUSIONS: In this population-based sample we found significant associations between sleep structure and MS, hypertension, diabetes, and obesity. However, these associations were cancelled after multivariate adjustment. We conclude that normal variations in sleep contribute little if any to MS and associated disorders.

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Rapport de synthèseLe syndrome d'apnées obstructives du sommeil (SAOS) est une pathologie respiratoire fréquente. Sa prévalence est estimée entre 2 et 5% de la population adulte générale. Ses conséquences sont importantes. Notamment, une somnolence diurne, des troubles de la concentration, des troubles de la mémoire et une augmentation du risque d'accident de la route et du travail. Il représente également un facteur de risque cardiovasculaire indépendant.Ce syndrome est caractérisé par la survenue durant le sommeil d'obstructions répétées des voies aériennes supérieures. L'arrêt ou la diminution d'apport en oxygène vers les poumons entraîne des épisodes de diminution de la saturation en oxygène de l'hémoglobine. Les efforts ventilatoires visant à lever l'obstacle présent sur les voies aériennes causent de fréquents réveils à l'origine d'une fragmentation du sommeil.La polysomnographie (PSG) représente le moyen diagnostic de choix. Il consiste en l'enregistrement dans un laboratoire du sommeil et en présence d'un technicien diplômé, du tracé électroencéphalographique (EEG), de l'électrooculogramme (EOG), de l'électromyogramme mentonnier (EMG), du flux respiratoire nasal, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de l'électrocardiogramme (ECG), des mouvements thoraciques et abdominaux, de la position du corps et des mouvements des jambes. L'examen est filmé par caméra infrarouge et les sons sont enregistrés.Cet examen permet entre autres mesures, de déterminer les événements respiratoires obstructifs nécessaires au diagnostic de syndrome d'apnée du sommeil. On définit une apnée lors d'arrêt complet du débit aérien durant au moins 10 secondes et une hypopnée en cas, soit de diminution franche de l'amplitude du flux respiratoire supérieure à 50% durant au moins 10 secondes, soit de diminution significative (20%) de l'amplitude du flux respiratoire pendant au minimum 10 secondes associée à un micro-éveil ou à une désaturation d'au moins 3% par rapport à la ligne de base. La détection des micro-éveils se fait en utilisant les dérivations électroencéphalographiques, électromyographiques et électrooculographiques. Il existe des critères visuels de reconnaissance de ces éveils transitoire: apparition de rythme alpha (8.1 à 12.0 Hz) ou beta (16 à 30 Hz) d'une durée supérieure à 3 secondes [20-21].Le diagnostic de S AOS est retenu si l'on retrouve plus de 5 événements respiratoires obstructifs par heure de sommeil associés soit à une somnolence diurne évaluée selon le score d'Epworth ou à au moins 2 symptômes parmi les suivants: sommeil non réparateur, étouffements nocturne, éveils multiples, fatigue, troubles de la concentration. Le S AOS est gradué en fonction du nombre d'événements obstructifs par heure de sommeil en léger (5 à 15), modéré (15 à 30) et sévère (>30).La polysomnographie (PSG) comporte plusieurs inconvénients pratiques. En effet, elle doit être réalisée dans un laboratoire du sommeil avec la présence permanente d'un technicien, limitant ainsi son accessibilité et entraînant des délais diagnostiques et thérapeutiques. Pour ces mêmes raisons, il s'agit d'un examen onéreux.La polygraphie respiratoire (PG) représente l'alternative diagnostique au gold standard qu'est l'examen polysomnographique. Cet examen consiste en l'enregistrement en ambulatoire, à savoir au domicile du patient, du flux nasalrespiratoire, de l'oxymétrie de pouls, de la fréquence cardiaque, de la position du corps et du ronflement (par mesure de pression).En raison de sa sensibilité et sa spécificité moindre, la PG reste recommandée uniquement en cas de forte probabilité de SAOS. Il existe deux raisons principales à l'origine de la moindre sensibilité de l'examen polygraphique. D'une part, du fait que l'état de veille ou de sommeil n'est pas déterminé avec précision, il y a dilution des événements respiratoires sur l'ensemble de l'enregistrement et non sur la période de sommeil uniquement. D'autre part, en l'absence de tracé EEG, la quantification des micro-éveils est impossible. Il n'est donc pas possible dans l'examen poly graphique, de reconnaître une hypopnée en cas de diminution de flux respiratoire de 20 à 50% non associée à un épisode de désaturation de l'hémoglobine de 3% au moins. Alors que dans l'examen polysomnographique, une telle diminution du flux respiratoire pourrait être associée à un micro-éveil et ainsi comptabilisée en tant qu'hypopnée.De ce constat est né la volonté de trouver un équivalent de micro-éveil en polygraphie, en utilisant les signaux à disposition, afin d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique.Or plusieurs études ont démontrés que les micro-éveils sont associés à des réactions du système nerveux autonome. Lors des micro-éveils, on met en évidence la survenue d'une vasoconstriction périphérique. La variation du tonus sympathique associée aux micro-éveils peut être mesurée par différentes méthodes. Les variations de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie représentant un marqueur fiable de la vasoconstriction périphérique associée aux micro-réveils, il paraît donc opportun d'utiliser ce marqueur autonomique disponible sur le tracé des polygraphies ambulatoires afin de renforcer la sensibilité de cet examen.Le but de l'étude est d'évaluer la sensibilité des variations de l'amplitude de l'onde de pouls pour détecter des micro-réveils corticaux afin de trouver un moyen d'augmenter la sensibilité de l'examen polygraphique et de renforcer ainsi sont pouvoir diagnostic.L'objectif est de démontrer qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde pouls est concomitante à une activation corticale correspondant à un micro¬réveil. Cette constatation pourrait permettre de déterminer une hypopnée, en polygraphie, par une diminution de 20 à 50% du flux respiratoire sans désaturation de 3% mais associée à une baisse significative de l'amplitude de pouls en postulant que l'événement respiratoire a entraîné un micro-réveil. On retrouve par cette méthode les mêmes critères de scoring d'événements respiratoires en polygraphie et en polysomnographie, et l'on renforce la sensibilité de la polygraphie par rapport au gold standard polysomnographique.La méthode consiste à montrer en polysomnographie qu'une diminution significative de l'amplitude de l'onde de pouls mesurée par pulsoxymétrie est associée à une activation du signal électroencéphalographique, en réalisant une analyse spectrale du tracé EEG lors des baisses d'amplitude du signal d'onde de pouls.Pour ce faire nous avons réalisé une étude rétrospective sur plus de 1000 diminutions de l'amplitude de l'onde de pouls sur les tracés de 10 sujets choisis de manière aléatoire parmi les patients référés dans notre centre du sommeil (CIRS) pour suspicion de trouble respiratoire du sommeil avec somnolence ou symptomatologie diurne.Les enregistrements nocturnes ont été effectués de manière standard dans des chambres individuelles en utilisant le système d'acquisition Embla avec l'ensemble des capteurs habituels. Les données ont été par la suite visuellement analysées et mesurées en utilisant le software Somnologica version 5.1, qui fournit un signal de l'amplitude de l'onde de pouls (puise wave amplitude - PWA).Dans un premier temps, un technicien du sommeil a réalisé une analyse visuelle du tracé EEG, en l'absence des données du signal d'amplitude d'onde de pouls. Il a déterminé les phases d'éveil et de sommeil, les stades du sommeil et les micro¬éveils selon les critères standards. Les micro-éveils sont définis lors d'un changement abrupt dans la fréquence de l'EEG avec un pattern d'ondes thêta-alpha et/ou une fréquence supérieure à 16 Hz (en l'absence de fuseau) d'une durée d'au minimum trois secondes. Si cette durée excède quinze secondes, l'événement correspond à un réveil.Puis, deux investigateurs ont analysé le signal d'amplitude d'onde de pouls, en masquant les données du tracé EEG qui inclut les micro-éveils. L'amplitude d'onde de pouls est calculée comme la différence de valeur entre le zénith et le nadir de l'onde pour chaque cycle cardiaque. Pour chaque baisse de l'amplitude d'onde de pouls, la plus grande et la plus petite amplitude sont déterminées et le pourcentage de baisse est calculé comme le rapport entre ces deux amplitudes. On retient de manière arbitraire une baisse d'au moins 20% comme étant significative. Cette limite a été choisie pour des raisons pratiques et cliniques, dès lors qu'elle représentait, à notre sens, la baisse minimale identifiable à l'inspection visuelle. Chaque baisse de PWA retenue est divisée en 5 périodes contiguës de cinq secondes chacune. Deux avant, une pendant et deux après la baisse de PWA.Pour chaque période de cinq secondes, on a pratiqué une analyse spectrale du tracé EEG correspondant. Le canal EEG C4-A1 est analysé en utilisant la transformée rapide de Fourier (FFT) pour chaque baisse de PWA et pour chaque période de cinq secondes avec une résolution de 0.2 Hz. La distribution spectrale est catégorisée dans chaque bande de fréquence: delta (0.5 à 4.0 Hz); thêta (4.1 à 8.0Hz); alpha (8.1 à 12.0 Hz); sigma (12.1 à 16 Hz) et beta (16.1 à 30.0 Hz). La densité de puissance (power density, en μΥ2 ) pour chaque bande de fréquence a été calculée et normalisée en tant que pourcentage de la puissance totale. On a déterminé, ensuite, la différence de densité de puissance entre les 5 périodes par ANOVA on the rank. Un test post hoc Tukey est été utilisé pour déterminer si les différences de densité de puissance étaient significatives. Les calculs ont été effectués à l'aide du software Sigmastat version 3.0 (Systat Software San Jose, California, USA).Le principal résultat obtenu dans cette étude est d'avoir montré une augmentation significative de la densité de puissance de l'EEG pour toutes les bandes de fréquence durant la baisse de l'amplitude de l'onde de pouls par rapport à la période avant et après la baisse. Cette augmentation est par ailleurs retrouvée dans la plupart des bande de fréquence en l'absence de micro-réveil visuellement identifié.Ce résultat témoigné donc d'une activation corticale significative associée à la diminution de l'onde de pouls. Ce résulat pourrait permettre d'utiliser les variations de l'onde de pouls dans les tracés de polygraphie comme marqueur d'une activation corticale. Cependant on peut dire que ce marqueur est plus sensible que l'analyse visuelle du tracé EEG par un technicien puisque qu'on notait une augmentation de lactivité corticale y compris en l'absence de micro-réveil visuellement identifié. L'application pratique de ces résultats nécessite donc une étude prospective complémentaire.

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OBJECTIVES: To refine the classic definition of, and provide a working definition for, congenital high airway obstruction syndrome (CHAOS) and to discuss the various aspects of long-term airway reconstruction, including the range of laryngeal anomalies and the various techniques for reconstruction. DESIGN: Retrospective chart review. PATIENTS: Four children (age range, 2-8 years) with CHAOS who presented to a single tertiary care children's hospital for pediatric airway reconstruction between 1995 and 2000. CONCLUSIONS: To date, CHAOS remains poorly described in the otolaryngologic literature. We propose the following working definition for pediatric cases of CHAOS: any neonate who needs a surgical airway within 1 hour of birth owing to high upper airway (ie, glottic, subglottic, or upper tracheal) obstruction and who cannot be tracheally intubated other than through a persistent tracheoesophageal fistula. Therefore, CHAOS has 3 possible presentations: (1) complete laryngeal atresia without an esophageal fistula, (2) complete laryngeal atresia with a tracheoesophageal fistula, and (3) near-complete high upper airway obstruction. Management of the airway, particularly in regard to long-term reconstruction, in children with CHAOS is complex and challenging.

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Residual lung function abnormalities have been investigated in 9 children (4 boys and 5 girls) a mean 2.7 years after surviving severe adult respiratory distress syndrome (ARDS). All patients had been artificially ventilated for an average of 9.4 days with a FiO2 greater than 0.5 for 34 hours and maximal PEEP levels in the range of 8-20 cm H2O. Since the ARDS, 3 children had presented recurrent respiratory symptoms (moderate exertional dyspnea and cough) and 2 had had evidence of fibrosis on chest radiographs. In all patients abnormal lung functions were found, i.e. ventilation inequalities (8), hypoxemia (7), and obstructive (2) and restrictive (1) lung disease. A significant correlation between respirator therapy and residual lung function was found (duration of FiO2 greater than 0.5 in hours and inspiratory plateau pressure during respirator therapy vs. ventilation inequalities and hypoxemia).

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We describe the case of a man with a history of complex partial seizures and severe language, cognitive and behavioural regression during early childhood (3.5 years), who underwent epilepsy surgery at the age of 25 years. His early epilepsy had clinical and electroencephalogram features of the syndromes of epilepsy with continuous spike waves during sleep and acquired epileptic aphasia (Landau-Kleffner syndrome), which we considered initially to be of idiopathic origin. Seizures recurred at 19 years and presurgical investigations at 25 years showed a lateral frontal epileptic focus with spread to Broca's area and the frontal orbital regions. Histopathology revealed a focal cortical dysplasia, not visible on magnetic resonance imaging. The prolonged but reversible early regression and the residual neuropsychological disorders during adulthood were probably the result of an active left frontal epilepsy, which interfered with language and behaviour during development. Our findings raise the question of the role of focal cortical dysplasia as an aetiology in the syndromes of epilepsy with continuous spike waves during sleep and acquired epileptic aphasia.

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Introduction : Plusieurs études épidémiologiques et de laboratoire basées sur des estimations subjectives de la durée et de la qualité du sommeil suggèrent que celles-ci pourraient être associées à une augmentation du risque de troubles métaboliques ou cardiovasculaires. Objectif : Dans cette étude nous avons examiné les associations entre les caractéristiques du sommeil évaluées objectivement par Polysomnographie (PSG) et le syndrome métabolique ainsi que ses composants (hypertension, diabète, obésité). Matériel et méthodes : Nous avons analysé les données de 2162 sujets de la population générale (dont le 51.2% étaient des femmes, âge moyen : 58.4±11.1 ans, fourchette d'âge: 40.5-84.4) qui ont participé à l'étude Hypnolaus. Tous les sujets ont eu une évaluation clinique et biologique et ils ont bénéficié d'une PSG complète à domicile. Résultats : Les analyses univariées ont montré que les sujets présentant un syndrome métabolique avaient une diminution du temps total de sommeil, du sommeil lent profond, du sommeil paradoxal et de l'efficacité du sommeil, ainsi qu'une augmentation de l'index de microéveils par rapport aux sujets qui n'avaient pas un syndrome métabolique. Nous avons aussi trouvé des différences significatives de la structure du sommeil en fonction de la présence ou de l'absence d'hypertension, de diabètes et de surpoids/obésité. Cependant, ces différences s'atténuent après ajustement pour des facteurs confondants (âge, genre, tabagisme, prise d'alcool, activité physique, médicaments qui affectent le sommeil, dépression, santé globale et indice de masse corporelle). Seules des différences marginales, non statistiquement significatives, persistaient dans le modèle multiajusté et après stratification en fonction de la présence de troubles respiratoires au cours du sommeil. Conclusions: Dans cet échantillon de la population générale nous avons mis en évidence des associations significatives entre la structure du sommeil et le syndrome métabolique ainsi que ses composants. Cependant, ces associations ne sont pas indépendantes des autres facteurs de risque cardiométabolique connus. Nous en concluons que les variations normales de la durée et de la structure du sommeil contribuent peu ou pas au syndrome métabolique et ses troubles associés.

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Deletions on the short arm of chromosome 4 cause Wolf-Hirschhorn syndrome (WHS) and Pitt-Rogers-Danks syndrome (PRDS). WHS is associated with severe growth and mental retardation, microcephaly, a characteristic facies and congenital malformations. The PRDS phenotype is similar to WHS but generally less severe. Seizures occur in the majority of WHS and PRDS patients. Sgrò et al. [17] described a stereotypic electroclinical pattern in four unrelated WHS patients, consisting of intermittent bursts of 2-3 Hz high voltage slow waves with spike wave activity in the parietal areas during drowsiness and sleep associated with myoclonic jerks. We report a patient with PRDS and the typical EEG pattern and review 14 WHS patients with similar EEG findings reported in the literature. CONCLUSION: Awareness and recognition of the characteristic electroclinical findings in Wolf-Hirschhorn syndrome and Pitt-Rogers-Danks syndrome might help in the early diagnosis of such patients.

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Le syndrome de fatigue chronique (SFC) est une pathologie invalidante, moins rare qu'on ne le pense (prévalence de l'ordre de 0,3-0,9 %), qui associe un épuisement physique persistant et inexpliqué à des douleurs diffuses, des troubles du sommeil, des troubles neurocognitifs et neurovégétatifs. Sa physiopathologie est controversée, mais les pistes de recherche actuelles convergent vers une atteinte dysimmunitaire, dans laquelle le stress oxydatif et un dysfonctionnement des mitochondries semblent jouer un rôle. Il n'existe pas de médication ayant démontré une efficacité spécifique pour le traitement du SFC. La prise en charge consiste à limiter les investigations superflues et à encourager le patient vers un reconditionnement à l'effort très progressif, dans le cadre d'un counselling empathique visant à prévenir les pensées négatives. Chronic fatigue syndrome (CFS) is a debilitating disorder, characterized by a severe, persistant and unexplained fatigue, which can be associated with diffuse pain, sleep difficulties, neurocognitive and neurovegetative troubles. Its prevalence has been estimated between 0.3 and 0.9%. Though its physiopathology remains controversial, evidence is growing that dysimmunity, oxidative stress and mitochondrial dysfunction are involved in its pathogeny. No medication has demonstrated specifc efficacy in the CFS. The management of CFS involves limiting unnecessary investigations, promoting graded exercice therapy, and providing empathic counselling in order to prevent negative thoughts.

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Williams-Beuren syndrome (WBS; OMIM no. 194050) is a multisystemic neurodevelopmental disorder caused by a hemizygous deletion of 1.55 Mb on chromosome 7q11.23 spanning 28 genes. Haploinsufficiency of the ELN gene was shown to be responsible for supravalvular aortic stenosis and generalized arteriopathy, whereas LIMK1, CLIP2, GTF2IRD1 and GTF2I genes were suggested to be linked to the specific cognitive profile and craniofacial features. These insights for genotype-phenotype correlations came from the molecular and clinical analysis of patients with atypical deletions and mice models. Here we report a patient showing mild WBS physical phenotype and normal IQ, who carries a shorter 1 Mb atypical deletion. This rearrangement does not include the GTF2IRD1 and GTF2I genes and only partially the BAZ1B gene. Our results are consistent with the hypothesis that hemizygosity of the GTF2IRD1 and GTF2I genes might be involved in the facial dysmorphisms and in the specific motor and cognitive deficits observed in WBS patients.

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BACKGROUND: Intra-specific variation in melanocyte pigmentation, common in the animal kingdom, has caught the eye of naturalists and biologists for centuries. In vertebrates, dark, eumelanin pigmentation is often genetically determined and associated with various behavioral and physiological traits, suggesting that the genes involved in melanism have far reaching pleiotropic effects. The mechanisms linking these traits remain poorly understood, and the potential involvement of developmental processes occurring in the brain early in life has not been investigated. We examined the ontogeny of rapid eye movement (REM) sleep, a state involved in brain development, in a wild population of barn owls (Tyto alba) exhibiting inter-individual variation in melanism and covarying traits. In addition to sleep, we measured melanistic feather spots and the expression of a gene in the feather follicles implicated in melanism (PCSK2). RESULTS: As in mammals, REM sleep declined with age across a period of brain development in owlets. In addition, inter-individual variation in REM sleep around this developmental trajectory was predicted by variation in PCSK2 expression in the feather follicles, with individuals expressing higher levels exhibiting a more precocial pattern characterized by less REM sleep. Finally, PCSK2 expression was positively correlated with feather spotting. CONCLUSIONS: We demonstrate that the pace of brain development, as reflected in age-related changes in REM sleep, covaries with the peripheral activation of the melanocortin system. Given its role in brain development, variation in nestling REM sleep may lead to variation in adult brain organization, and thereby contribute to the behavioral and physiological differences observed between adults expressing different degrees of melanism.

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NR2E3, also called photoreceptor-specific nuclear receptor (PNR), is a transcription factor of the nuclear hormone receptor superfamily whose expression is uniquely restricted to photoreceptors. There, its physiological activity is essential for proper rod and cone photoreceptor development and maintenance. Thirty-two different mutations in NR2E3 have been identified in either homozygous or compound heterozygous state in the recessively inherited enhanced S-cone sensitivity syndrome (ESCS), Goldmann-Favre syndrome (GFS), and clumped pigmentary retinal degeneration (CPRD). The clinical phenotype common to all these patients is night blindness, rudimental or absent rod function, and hyperfunction of the "blue" S-cones. A single p.G56R mutation is inherited in a dominant manner and causes retinitis pigmentosa (RP). We have established a new locus-specific database for NR2E3 (www.LOVD.nl/eye), containing all reported mutations, polymorphisms, and unclassified sequence variants, including novel ones. A high proportion of mutations are located in the evolutionarily-conserved DNA-binding domains (DBDs) and ligand-binding domains (LBDs) of NR2E3. Based on homology modeling of these NR2E3 domains, we propose a structural localization of mutated residues. The high variability of clinical phenotypes observed in patients affected by NR2E3-linked retinal degenerations may be caused by different disease mechanisms, including absence of DNA-binding, altered interactions with transcriptional coregulators, and differential activity of modifier genes.

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Aim:  Determine the frequency and predictors of sleep disorders in boys with Duchenne Muscular Dystrophy (DMD). Method:  Cross-sectional study by postal questionnaire. Sleep disturbances were assessed using the Sleep Disturbance Scale for Children (validated on 1157 healthy children). A total sleep score and six sleep disturbance factors representing the most common sleep disorders were computed. Potential associations between pathological scores and personal, medical and environmental factors were assessed. Results:  Sixteen of 63 boys (25.4%) had a pathological total sleep score compared with 3% in the general population. The most prevalent sleep disorders were disorders of initiating and maintaining sleep (DIMS) 29.7%, sleep-related breathing disorders 15.6% and sleep hyperhydrosis 14.3%. On multivariate analysis, pathological total sleep scores were associated with the need to be moved by a carer (OR = 9.4; 95%CI: 2.2-40.7; p = 0.003) and being the child of a single-parent family (OR = 7.2; 95%CI: 1.5-35.1; p = 0.015) and DIMS with the need to be moved by a carer (OR = 18.0; 95%CI: 2.9-110.6; p = 0.002), steroid treatment (OR = 7.7; 95%CI: 1.4-44.0; p = 0.021) and being the child of a single-parent family (OR = 7.0; 95%CI: 1.3-38.4; p = 0.025). Conclusion:  Sleep disturbances are frequent in boys with DMD and are strongly associated with immobility. Sleep should be systematically assessed in DMD to implement appropriate interventions.

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A large fraction of genome variation between individuals is comprised of submicroscopic copy number variation of genomic DNA segments. We assessed the relative contribution of structural changes and gene dosage alterations on phenotypic outcomes with mouse models of Smith-Magenis and Potocki-Lupski syndromes. We phenotyped mice with 1n (Deletion/+), 2n (+/+), 3n (Duplication/+), and balanced 2n compound heterozygous (Deletion/Duplication) copies of the same region. Parallel to the observations made in humans, such variation in gene copy number was sufficient to generate phenotypic consequences: in a number of cases diametrically opposing phenotypes were associated with gain versus loss of gene content. Surprisingly, some neurobehavioral traits were not rescued by restoration of the normal gene copy number. Transcriptome profiling showed that a highly significant propensity of transcriptional changes map to the engineered interval in the five assessed tissues. A statistically significant overrepresentation of the genes mapping to the entire length of the engineered chromosome was also found in the top-ranked differentially expressed genes in the mice containing rearranged chromosomes, regardless of the nature of the rearrangement, an observation robust across different cell lineages of the central nervous system. Our data indicate that a structural change at a given position of the human genome may affect not only locus and adjacent gene expression but also "genome regulation." Furthermore, structural change can cause the same perturbation in particular pathways regardless of gene dosage. Thus, the presence of a genomic structural change, as well as gene dosage imbalance, contributes to the ultimate phenotype.