95 resultados para INFORMATION CENTERS


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The profiling of MDMA tablets can be carried out using different sets of characteristics. The first type of measurements performed on MDMA tablets are physical characteristics (i.e. post-tabletting characteristics). They yield preliminary profiling data that may be valuable in a first stage for investigation purposes. However organic impurities (i.e. pre-tabletting characteristics) are generally considered to bring more reliable information, particularly for presentation of evidence in court. This work aimed therefore at evaluating the added value of combining pre-tabletting characteristics and post-tabletting characteristics of seized MDMA tablets. In approximately half of the investigated cases, the post-tabletting links were confirmed with organic impurities analyses. In the remaining cases, post-tabletting batches (post-TBs) were divided in several pre-tabletting batches (pre-TBs), thus supporting the hypothesis that several production batches of MDMA powder (pre-TBs) were used to produce one single post-TB (i.e. tablets having the same shape, diameter, thickness, weight and score; but different organic impurities composition). In view of the obtained results, the hypotheses were discussed through illustrating examples. In conclusion, both sets of characteristics were found relevant alone and combined together. They actually provide distinct information about MDMA illicit production and trafficking.

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Background: In spite of the relapsing nature of inflammatory bowel diseases (IBD), on average, 40% of IBD patients are nonadherent to treatments. On the other hand, they are often actively seeking information on their disease. The relationship between information seeking behaviour and adherence to treatment is poorly documented. The main aim of this study was to examine this association among IBD patients. Methods: We used data from the Swiss IBD cohort study. Baseline data included questions on adherence to ongoing treatments. A survey was conducted in October 2009 to assess information sources and themes searched by patients. Crude odds ratio (OR) and 95% CI were calculated for the association between adherence and information seeking. Adjustment for potential confounders and main known risk factors was performed using multivariate logistic regression. Differences in the proportions of information sources and themes were compared between adherent and non-adherent patients. Results: The number of patients eligible was 488. Nineteen percent (N = 99) were non-adherent to treatment and one third (N = 159) were active information seekers. Crude OR for being non-adherent was 69% higher among information seekers compared to non-seekers (OR = 1.69; 95%CI 0.99 2.87). Adjusted OR for non-adherence was OR = 2.39 (95%CI 1.32 4.34) for information seekers compared to non-seekers. Family doctors were 15.2% more often consulted (p = 0.019) among patients who were adherent to treatment compared to those who were not, as were books and TV (+13.1%; p = 0.048). No difference was observed for internet or gastroenterologists as sources of information. Themes of information linked to tips for disease management were 14.2% more often searched among non-adherent patients (p = 0.028) compared to adherent. No difference was observed for the other themes (research and development on IBD, therapies, basic information on the disease, patients' experiences sharing, miscellaneous). Conclusions: Active information seeking was shown to be strongly associated with non-adherence to treatment in a population of IBD patients in Switzerland. Surprisingly themes related to therapies were not especially those on which nonadherent patients focused. Indeed, management of symptoms and everyday life with the disease seemed to be the most pressing information concerns of patients. Results suggest that the family doctor plays an important role in the multidisciplinary care approach needed for IBD patients.

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Contexte¦Le VIH reste une des préoccupations majeures de santé publique dans le monde. Le nombre de patients infectés en Europe continue de croître et s'élève, en 2008, à 2.3 millions (1). De plus, environ 30 % des personnes séropositives ignorent leur statut et, de ce fait, contribuent à la propagation de l'épidémie. Ces patients sont responsables de la moitié des nouveaux cas du VIH (2) ; ils transmettent, en effet, 3.5 fois plus l'infection que les patients dont le diagnostic est connu (3).¦Aux USA, en raison de l'épidémiologie actuelle du VIH, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont, en septembre 2006, mis le point sur la nécessité d'étendre drastiquement les tests et, de ce fait, ont publié de nouvelles recommandations. Non seulement, le test devra dépasser les groupes à risque dans les zones à grande prévalence mais aussi, être répandu à toute la population adulte de 13 à 64 ans sauf si la prévalence du VIH est en dessous de 0.1 % (4). Cette démarche est appelée routine opt-out HIV screening et plusieurs arguments parlent en faveur d'un dépistage systématique. Cette maladie rempli tout d'abord les 4 critères pour l'introduction d'un dépistage systématique : une maladie grave pouvant être mise en évidence avant l'apparition des symptômes, son diagnostic améliore la survie par une progression moins rapide et diminution de la mortalité, des tests de dépistage sensibles et spécifiques sont disponibles et les coûts sont moindres en comparaison aux bénéfices (5). Aux USA, 73 % des patients diagnostiqués à un stade avancé de l'infection VIH entre 2001 et 2005 avaient eu recours à l'utilisation des systèmes de soins au moins une fois dans les 8 ans précédant le diagnostic (6). Ces occasions manquées font aussi partie des arguments en faveur d'un dépistage systématique. En règle générale, le médecin se basant uniquement sur les symptômes et signes, ainsi que sur l'anamnèse sexuelle sous-estime la population à tester. Ce problème de sélection des candidats n'a plus lieu d'être lors d'un tel screening. Après cette publication des recommandations du CDC, qui introduit le dépistage systématique, il a été constaté que seulement 1/3 du personnel soignant interrogé connaissait les nouvelles directives et seulement 20 % offrait un dépistage de routine à tous les patients concernés (7). Cette étude nous montre alors qu'il est impératif de vérifier le niveau de connaissances des médecins après la publication de nouvelles recommandations.¦Devant le problème de l'épidémie du VIH, la Suisse opte pour une stratégie différente à celle des Etats-Unis. La Commission d'experts clinique et thérapie VIH et SIDA (CCT) de l'OFSP a tout d'abord publié, en 2007, des recommandations destinées à diminuer le nombre d'infections VIH non diagnostiquées, grâce à un dépistage initié par le médecin (8). Cette approche, appelée provider initiated counselling and testing (PICT), complétait alors celle du voluntary counselling and testing (VCT) qui préconisait un dépistage sur la demande du patient. Malheureusement, le taux d'infections diagnostiquées à un stade avancé a stagné aux environs de 30 % jusqu'en 2008 (9), raison pour laquelle l'OFSP apporte, en 2010, des modifications du PICT. Ces modifications exposent différentes situations où le test du VIH devrait être envisagé et apportent des précisions quant à la manière de le proposer. En effet, lors d'une suspicion de primo-infection, le médecin doit expliquer au patient qu'un dépistage du VIH est indiqué, un entretien conseil est réalisé avec des informations concernant la contagiosité élevée du virus à ce stade de l'infection. Si le patient présente un tableau clinique qui s'inscrit dans le diagnostic différentiel d'une infection VIH, le médecin propose le test de manière systématique. Il doit alors informer le patient qu'un tel test sera effectué dans le cadre d'une démarche diagnostique, sauf si celui-ci s'y oppose. Enfin, dans d'autres situations telles que sur la demande du patient ou si celui-ci fait partie d'un groupe de population à grande prévalence d'infection VIH, le médecin procède à une anamnèse sexuelle, suivie d'un entretien conseil et du test si l'accord explicite du patient a été obtenu (10).¦Nous pouvons donc constater les différentes stratégies face à l'épidémie du VIH entre les USA et la Suisse. Il est nécessaire d'évaluer les conséquences de ces applications afin d'adopter la conduite la plus efficace en terme de dépistage, pour amener à une diminution des transmissions, une baisse de la morbidité et mortalité. Aux USA, des études ont été faites afin d'évaluer l'impact de l'approche opt-out qui montrent que le screening augmente la probabilité d'être diagnostiqué (11). En revanche, en Suisse, aucune étude de ce type n'a été entreprise à l'heure actuelle. Nous savons également qu'il existe un hiatus entre la publication de nouvelles recommandations et l'application de celles-ci en pratique. Le 1er obstacle à la mise en oeuvre des guidelines étant leur méconnaissance (12), il est alors pertinent de tester les connaissances des médecins des urgences d'Hôpitaux de Suisse au sujet des nouvelles recommandations sur le dépistage du VIH de l'OFSP de mars 2010.¦Objectifs¦Montrer que les recommandations de l'OFSP de mars 2010 ne sont pas connues des médecins suisses.¦Méthodes¦Nous testerons la connaissance des médecins concernant ces recommandations via un questionnaire qui sera distribué lors d'un colloque organisé à cet effet avec tous les médecins du service des urgences d'un même établissement. Il n'y aura qu'une séance afin d'éviter d'éventuels biais (transmission d'informations d'un groupe à un autre). Ils recevront tout d'abord une lettre informative, accompagnée d'un formulaire de consentement pour l'utilisation des données de manière anonyme. La feuille d'information est rédigée de façon à ne pas influencer les candidats pour les réponses aux questions. Le questionnaire comprend deux parties, une première qui comprend divers cas cliniques. Les candidats devront dire si ces situations se trouvent, selon eux, dans les nouvelles recommandations de l'OFSP en termes de dépistage du VIH et indiquer la probabilité d'effectuer le test en pratique. La deuxième partie interrogera sur la manière de proposer le test au patient. La durée nécessaire pour remplir le questionnaire est estimée à 15 minutes.¦Le questionnaire élaboré avec la collaboration de Mme Dubois de l'UMSP à Lausanne et vont être testés par une vingtaine de médecins de premier recours de Vidy Med et Vidy Source, deux centres d'urgences lausannois.¦Réstulats escomptés¦Les médecins suisse ne sont pas au courant des nouvelles recommandations concernant le dépistage du VIH.¦Plus-value escomptée¦Après le passage du questionnaire, nous ferons une succincte présentation afin d'informer les médecins au sujet de ces recommandations. Aussi, l'analyse des résultats du questionnaire nous permettra d'agir au bon niveau pour que les nouvelles recommandations de l'OFSP de mars 2010 soient connues et appliquées, tout en ayant comme objectif l'amélioration du dépistage du VIH.

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RATIONALE AND OBJECTIVE:. The information assessment method (IAM) permits health professionals to systematically document the relevance, cognitive impact, use and health outcomes of information objects delivered by or retrieved from electronic knowledge resources. The companion review paper (Part 1) critically examined the literature, and proposed a 'Push-Pull-Acquisition-Cognition-Application' evaluation framework, which is operationalized by IAM. The purpose of the present paper (Part 2) is to examine the content validity of the IAM cognitive checklist when linked to email alerts. METHODS: A qualitative component of a mixed methods study was conducted with 46 doctors reading and rating research-based synopses sent on email. The unit of analysis was a doctor's explanation of a rating of one item regarding one synopsis. Interviews with participants provided 253 units that were analysed to assess concordance with item definitions. RESULTS AND CONCLUSION: The content relevance of seven items was supported. For three items, revisions were needed. Interviews suggested one new item. This study has yielded a 2008 version of IAM.