68 resultados para Bankruptcy – Chapter 11
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Infantile spasms (IS) is the most severe and common form of epilepsy occurring in the first year of life. At least half of IS cases are idiopathic in origin, with others presumed to arise because of brain insult or malformation. Here, we identify a locus for IS by high-resolution mapping of 7q11.23-q21.1 interstitial deletions in patients. The breakpoints delineate a 500 kb interval within the MAGI2 gene (1.4 Mb in size) that is hemizygously disrupted in 15 of 16 participants with IS or childhood epilepsy, but remains intact in 11 of 12 participants with no seizure history. MAGI2 encodes the synaptic scaffolding protein membrane-associated guanylate kinase inverted-2 that interacts with Stargazin, a protein also associated with epilepsy in the stargazer mouse.
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OBJECTIVE: As part of the WHO ICD-11 development initiative, the Topic Advisory Group on Quality and Safety explores meta-features of morbidity data sets, such as the optimal number of secondary diagnosis fields. DESIGN: The Health Care Quality Indicators Project of the Organization for Economic Co-Operation and Development collected Patient Safety Indicator (PSI) information from administrative hospital data of 19-20 countries in 2009 and 2011. We investigated whether three countries that expanded their data systems to include more secondary diagnosis fields showed increased PSI rates compared with six countries that did not. Furthermore, administrative hospital data from six of these countries and two American states, California (2011) and Florida (2010), were analysed for distributions of coded patient safety events across diagnosis fields. RESULTS: Among the participating countries, increasing the number of diagnosis fields was not associated with any overall increase in PSI rates. However, high proportions of PSI-related diagnoses appeared beyond the sixth secondary diagnosis field. The distribution of three PSI-related ICD codes was similar in California and Florida: 89-90% of central venous catheter infections and 97-99% of retained foreign bodies and accidental punctures or lacerations were captured within 15 secondary diagnosis fields. CONCLUSIONS: Six to nine secondary diagnosis fields are inadequate for comparing complication rates using hospital administrative data; at least 15 (and perhaps more with ICD-11) are recommended to fully characterize clinical outcomes. Increasing the number of fields should improve the international and intra-national comparability of data for epidemiologic and health services research, utilization analyses and quality of care assessment.
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Introduction : L'HSA d'origine anévrismale est une pathologie au pronostic sombre, tout retard diagnostique exposant le patient à un risque élevé de récidives hémorragiques potentiellement fatales. La sensibilité du CT scanner étant jugée insuffisante dans cette indication, la majorité des recommandations actuelles préconisent la réalisation systématique d'une ponction lombaire après toute imagerie cérébrale négative. L'analyse spectrophotométrique du LCR permet en effet de différencier un saignement récent dans l'espace sous-arachnoïdien d'une ponction lombaire traumatique par détection de bilirubine. Or, le caractère invasif de cet examen et son manque de spécificité posent des difficultés en pratique. De plus, l'excellente sensibilité des CT de dernières générations, du moins dans les premières heures suivant la survenue de l'HSA, remet en question le dogme d'une PL systématique dans l'algorithme diagnostique d'une céphalée suspecte. Objectif : Evaluer le rendement diagnostique de la spectrophotométrie du LCR dans le cadre d'une suspicion d'HSA après une imagerie normale, afin d'en préciser les indications. Méthode : Étude monocentrique et rétrospective au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois de Lausanne du 1er janvier 2005 au 18 novembre 2010. Extraction de toutes les spectrophotométries positives et analyse approfondie des dossiers concernés. Dans un second temps, et durant la même période, revue de tous les séjours hospitaliers comportant le diagnostic d'HSA , afin d'extraire en particulier les HSA dont le diagnostic a été établi par spectrophotométrie en raison d'une imagerie initiale négative ou non conclusive. Résultats : 869 PL du 1er janvier 2005 au 18 novembre 2010. 36 (4.1%) examens positifs (concentration de bilirubine dans le LCR > 0.3 μmol/l), dont 14 (38.9%) dans un contexte d'HSA (valeur prédictive positive de 38.9%). Sur les 14 cas positifs, 3 ont été diagnostiqués exclusivement par la PL, mais aucune dans un cadre d'HSA anévrismale. Dans la même périodepériode, 235 HSA diagnostiquées, dont 7 (2.9%) avec une imagerie cérébrale initiale négative. Sur ces 7 cas, seuls 2 ont été diagnostiqués comme une HSA d'origine anévrismale. La sensibilité du CT dans notre recherche atteint donc 99.15%. Discussion : Sur les 36 spectrophotométries positives, 22 se sont révélées a posteriori faussement positives, confirmant dès lors la faible spécificité et la faible valeur prédictive positive de l'analyse spectrophotométrique du LCR . Ces faux positifs entraînent la réalisation d'examens invasifs (angiographie cérébrale conventionnelle), dont les complications sont bien décrites. Bien que les résultats ne nous permettent pas de chiffrer le nombre potentiel d'HSA manquées faute d'un examen du LCR, aucun cas d'HSA d'origine anévrismale n'a été diagnostiqué sur la base exclusive de la PL durant la période étudiée. Cette faible spécificité appuie l'idée de développer un score clinique prédictif afin de ne réserver la PL qu'aux patients jugés à haut risque d'HSA. La PL garde néanmoins un rôle dans la détection des HSA d'origine non anévrismales. Conclusions : Lors d'une suspicion clinique d'HSA, le rendement diagnostique de l'analyse du LCR après un angio- CT cérébral normal est faible, tout comme son impact sur la prise en charge, au prix d'un nombre important de faux positifs. La PL reste certainement indiquée face à des céphalées suspectes évoluant depuis plus de 24 heures. Toutefois, au vu de l'excellente valeur prédictive négative d'un CT cérébral réalisé précocement et interprété par un neuroradiologue, cet examen ne devrait être réservé qu'aux situations à haut risque d'HSA. A cet égard, le développement d'un score prédictif validé permettrait de mieux sélectionner les candidats à une PL.