310 resultados para Algorithme de référence en examen clinique (AREC)


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé : Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de mortalité dans notre pays. Elles sont associées à des facteurs de risque (FRCV) bien connus comme le diabète ou la dyslipidémie. Nous résumons ici les principaux résultats de l'étude CoLaus concernant d'une part la prévalence du diabète et de la dyslipidémie et certaines caractéristiques de leur prise en charge.Les découvertes récentes concernant de nouveaux déterminants génétiques impliqués dans ces FRCV sont présentées de manière succincte. La contribution de ces données génétiques est également discutée dans une perspective de prise en charge clinique.[Abstract] Cardiovascular diseases remain the first cause of mortality in our country. They are associated with well known risk factors such as diabetes and dyslipidemia. Herein we summarize main results of the CoLaus study regarding, first the prevalence and characteristics of the treatment of these risk factors.Then we present recent discoveries of new genetic determinants associated with these risk factors. Finally, we discuss whether this knowledge changes our current clinical management of our patients.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction. - L'ostéoporose est caractérisée par une diminution dela densité minérale osseuse (DMO) et une détérioration de lamicroarchitecture osseuse (MO). En routine clinique, l'appréciationde la MO se fait de façon approximative en utilisant les facteurs derisque clinique (FRC). Il est maintenant possible d'estimer de façonsimple la MO en mesurant le Trabecular Bone Score (TBS) par réanalysed'une image DXA lombaire. TBS a une valeur diagnostiqueet pronostique indépendante des FRC et de la DMO. Le but de lacohorte lausannoise OstéoLaus est de combiner des éléments facilesà obtenir en routine clinique, à savoir les FRC et les éléments issusde la DXA (DMO, TBS, VFA) pour évaluer le risque fracturaire defaçon transversale puis prospective.Patients et Méthodes. - Nous avons constitué une cohorte d'environ1400 femmes entre 50 et 80 ans de la région lausannoise enrôléedepuis 7 ans dans une vaste cohorte (CoLaus, 6 700 participants)évaluant les facteurs génétiques et phénotypiques de maladies fréquentescardiovasculaires et psychiatriques. Le taux de participationà Ostéolaus est > 85%. Ces femmes sont vues entre mars 2010et décembre 2012. Elles passent un questionnaire, un ultrasonosseux du talon, une DXA de la colonne et de la hanche et une évaluationpar VFA (selon la méthode semi-quantitative de Genant) etle TBS. Nous rapportons les résultats préliminaires sur 631 participantes.Les données concernant les fractures (fx) vertébrales ne distinguentpas les origines traumatiques ou non.Résultats. - L'âge est de 67,4 ± 6,7 ans, l'IMC de 26.1 ± 4,6. Les donnéesbrutes de la colonne lombaire montrent une DMO à 0,943 ±0,168 (T-score -1,4 DS) et un TBS à 1,271 ± 0,103. La corrélationentre DMO et TBS est faible avec r2 = 0,16. La prévalence des fx vertébralesgrade 2/3, des fx ostéoporotiques majeures, et de toutes lesfx ostéoporotiques est de 8,4 %, 17,0 % et 26.0 % respectivement. LesORs (par diminution d'une déviation standard) ajustés pour l'âge etl'IMC sont pour la DMO de 1,8 (1,2-2,5), 1,6 (1,2-2,1), 1,3 (1,1-1,6),et pour TBS de 2,0 (1,4-3,0), 1,9 (1,4-2,5), 1.4 (1,1-1,7), respectivement.Le taux de fx avec DMO <þ- 2,5 DS se situe entre 35 et 37 %et le taux de fx avec un TBS < 1.200 entre 37 et 44 %. Par contre cetaux augmente entre 54 et 60 % si l'on combine une DMO < - 2,5 DSou un TBS < 1,200.Conclusion. - Ces données préliminaires confirment la faible corrélationentre la DMO et le TBS. Ajouter le TBS à la DMO permetd'augmenter significativement le nombre de participantes avec unefx ostéoporotique prévalente. Une mesure simple et peu irradiantepar DXA offre ainsi 3 informations complémentaires et pertinentespour la routine clinique : la DMO, la recherche des fractures vertébraleset le TBS.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

L'anisocorie est une anomalie pupillaire fréquemment rencontrée en pratique clinique. Elle peut être physiologique, s'inscrire dans le cadre d'une atteinte oculaire, d'une paralysie pharmacologique, ou encore dans le cadre d'une maladie neurologique. Le but de cet article est de fournir au lecteur une approche systématique de ce problème qui lui permettra de déterminer dans la majorité des cas le mécanisme aboutissant à cette anisocorie.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Effet d'un bolus intraveineux de phénylephrine ou d'éphedríne sur le flux sanguin cutané lors d'une anesthésie rachidienne Introduction : La phénylephrine et l'éphedrine sont des substances vaso-actives utilisées de routine pour corriger des épisodes d'hypotension artérielle induits par l'anesthésie intrarachidienne. L'influence de ces deux vasopresseurs sur le flux sanguin cutané (FSC) dans ce contexte n'a jusqu'à maintenant pas été décrite. Cette étude évalue l'effet d'une injection intraveineuse de 75 µg de phénylephrine ou de 7.5 mg d'éphedrine sur le FSC mesuré par Laser Doppler, dans les zones concernées parle bloc sympathiqué induit par l'anesthésie intrarachidienne (membres inférieurs) et dans les zones non concernées (membres supérieurs). Méthode :Après acceptation par le Comité d'Éthique, et obtention de leur accord écrit, 20 patients devant subir une intervention chirurgicale élective en décubitus dorsal sous anesthésie. intrarachidienne ont été inclus dans cette étude randomisée en double insu. Le FSC a été mesuré en continu par deux sondes fixées l'une à la cuisse (zone avec bloc sympathique) et l'autre sur l'avantbras (zone sans bloc sympathique). Les valeurs de FSC ont été enregistrées après l'anesthésie rachidienne (valeur contrôle), puis après l'injection i.v. dè phénylephrine (10 patients) ou d'éphedrine (10 patients) pour corriger une hypotension définie comme une chute de 20 mmHg de la pression artérielle systolique. Les variations de FSC exprimées en pourcentage de la valeur contrôle moyenne (+/- écart type) ont été analysées par le test t de Student. Résultats :Les données démographiques des patients et le niveau sensitif induit par l'anesthésie rachidienne sont similaires dans les deux groupes. Aux doses utilisées, seule l'éphedrine restaure la pression artérielle aux valeurs précédant l'anesthésie rachidienne. La phénylephrine augmente le FSC de l'avant-bras de 44% (+/- 79%) et de la cuisse de 34% (+/-24%), alors que l'éphedrine diminue le débit sanguin cutané de l'avant-bras de 16% (+/- 15%) et de la cuisse de 22% (+/-11%). Conclusion : L'injection intraveineuse de phénylephrine et d'éphedrine ont des effets opposés sur le flux sanguin cutané, et cette réponse n'est pas modifiée par le bloc sympathique.. Cette différence peut s'expliquer par la distribution des sous-types de récepteurs adrénergiques alpha et leur prédominance relative dans les veines et les artères de différents diamètres perfusant le tissu sous-cutané et la peau. L'éphedrine, èn raison de sa meilleure efficacité pour traiter les épisodes d'hypotension artérielle après anesthésie intrarachidienne devrait être préféré à la phénylephrine, leurs effets opposés sur le flux sanguin cutané n'étant pas pertinents en pratique clinique. SUMMARY Background: Phenylephrine or ephedrine is routinely used to correct hypotensive episodes fallowing spinal anaesthesia (SA). The influence of these two vasopressors on skin blood flow (SBF) has not yet been described. We have therefore evaluated the effects of an i.v. bolus of 75 µg phenylephrine or 7.5 mg of ephedrine on SBF measured by laser Doppler flowmetry during sympathetic blockade induced by SA. Methods: With Ethical Committee approval and written consent, 20 patients scheduled for elective procedures in supine position under SA were enrolled in this double-blind randomized study. SBF was measured continuously by two probes fixed at the thigh (area with sympathic blockade) and forearm level (area without sympathic blockade) respectively. SBF values were recorded after SA (control values) and then after a bolus administration of phenylephriné (n=10) or ephedrine (n=10) when systolic blood pressure decreased by 20 mmHg. Changes were expressed as percentage of control SBF values and analysed by Student's paired t-test. Results: Patient characteristics and dermatomal sensory levels were similar in both groups. Phenylephrine increases mean SBF at the forearm level by 44% (79%) [mean (SD)j and at the thigh by 34% (24%). Ephedrine decreases SBF at the forearm level by 16% (15%) and at the thigh by 22% (il%). Ephedrine bolus restores arterial blood pressure to pre-anaesthesia values, whereas phenylephrine does not. Conclusion: Administratión of phenylephrine and ephedrine has opposite effects on skin blood flow and sympathetic blockade does not modify this response. These findings could be explained by the distribution of the alpha-adrenoréceptor subtypes and their relative predominance among veins and arteries of different size perfusing the subcutaneous tissue and the skin. Ephedrine, due to its better efficacy to correct hypotensive episodes following SA, should be preferred, to phenylephrine, their opposite effects on SBF being not relevant for clinical practice.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

RÉSUMÉ Comparaison dés habitudes de prescription de médicaments psychotropes dans des cliniques de psychiatrie adulte et de psychogériatrie Afin de pouvoir comparer l'utilisation de médicaments psychotropes et non psychotropes, la proportion des nouveaux et celle des anciens antidépresseurs ou antipsychotiques, ce travail a eu pour but d'étudier les prescriptions médicamenteuses dans deux groupes de patients hospitalisés, l'un en milieu psychiatrique adulte (de 18 à 64 ans), l'autre en milieu psychogériatrique (plus de 64 ans). Lors d'un jour de référence en Mai 2000, toutes les prescriptions médicamenteuses dans deux hôpitaux psychiatriques universitaires abritant l'un une population adulte, l'autre gériatrique, ont été relevées chez tous les patients. Le coût financier total par patient a été comparé en tenant compte de la proportion des médicaments non psychotropes. La médication de 61 patients adultes et de 82 patients gériatriques a ainsi été analysée. Le nombre moyen de médicaments non psychotropes par patient était plus élevé dans la population âgée (p< 0.001), ce qui se reflète également par une prescription totale de médicaments par patient en moyenne plus élevée dans cette population (p<0.001). L'utilisation de benzodiazépines était inférieure dans là population psychogériatrique (p<0.001), même si l'on y additionne celle en association avec les antidépresseurs (p<0.001). Le coût financier du traitement pharmacologique quotidien d'un patient adulte était significativement inférieur à celui d'un patient gériatrique dont la comédication somatique est nécessairement plus importante (9.3 ± 7.2 CHF/patient contre 14.1 ± 9.5 CHF/patient) (p<0.009). En conclusion, cette étude confirme l'importance des habitudes locales dans la prescription médicamenteuse par les médecins, à l'exception de l'utilisation des benzodiazépines pour lesquelles les psychogériâtres semblent moins favorables.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction. - L'ostéoporose est caractérisée par une diminution de la DMO et une altération de la microarchitecture (MA). La MA est évaluable en routine clinique par la mesure du Trabecular Bone Score (TBS), par simple ré-analyse de l'image lombaire de la DMO. Le TBS a démontré sa valeur diagnostique et pronostique, partiellement indépendante des FRC et le la DMO. Le but de la cohorte OsteoLaus est de combiner en routine clinique les FRC et les informations données par la DXA (DMO, TBS, VFA) et FRAX pour mieux identifier les femmes à risque de fracture. Matériels et Méthodes. - Dans la cohorte OsteoLaus (1 500 femmes, 50 à 80 ans, Lausanne, Suisse) les FRC, la DMO lombaire et de la hanche, l'IVA, le TBS et le FRAX sont relevés. La sensibilité et la spécificité des différents outils pour prédire les fractures vertébrales (FxV) de grade 2/3 ont été calculées. Résultats. - Nous avons inclus 451 femmes : âge 67,4 ± 6,7 ans, IMC 26,1 ± 4,6, DMO lombaire 0,943 ± 0,168 (T-score -1,4 SD), TBS 1,271 ± 0,103. La corrélation entre DMO et TBS est faible (r2 = 0,16). La prévalence des FxV 2/3 est de 9,3 %. Conclusion. - L'IMC a un mauvais pouvoir discriminant dans notre cohorte. Ces résultats préliminaires confirment l'indépendance partielle entre le TBS et la DMO. Une approche combinant TBS et FRAX semble être le meilleur compromis en termes de sensibilité/spécificité pour identifier les femmes avec une FxV 2/3 prévalente qui aurait pu être mal classifiée par la DMO ou le TBS ou le FRAX seuls.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVE: Positive occipital sharp transient of the sleep (POSTS) are considered a normal variant of non-REM sleep EEG. We describe a small series of patients with asymmetric POSTS and ipsilateral abnormal EEG findings. METHODS: Over a period of 30 weeks, we prospectively observed five consecutive subjects with strictly unilateral POSTS associated with ispilateral electrographic abnormalities. They represent 0.4% of all EEG performed over the same time lapse (5/1130), including inpatients, outpatients and long-term monitoring. RESULTS: Four women and one boy suffering from epileptic seizures (aged 7-76 years old) had unilateral POSTS, occurring only on the right side, during light sleep. They also presented ipsilateral epileptiform abnormalities. CONCLUSION: The fact that POSTS were asymmetric and found only on the same side as the abnormalities raises the question whether these transients should still be considered physiological or could be interpreted at times as markers of underlying electrical abnormalities, pointing to an increased cortical excitability on the more active side. Although larger samples are needed to confirm our preliminary results, this case study questions the interpretation of POSTS as a uniformly normal variant.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé Introduction : Les patients nécessitant une prise en charge prolongée en milieu de soins intensifs et présentant une évolution compliquée, développent une réponse métabolique intense caractérisée généralement par un hypermétabolisme et un catabolisme protéique. La sévérité de leur atteinte pathologique expose ces patients à la malnutrition, due principalement à un apport nutritionnel insuffisant, et entraînant une balance énergétique déficitaire. Dans un nombre important d'unités de soins intensifs la nutrition des patients n'apparaît pas comme un objectif prioritaire de la prise en charge. En menant une étude prospective d'observation afin d'analyser la relation entre la balance énergétique et le pronostic clinique des patients avec séjours prolongés en soins intensifs, nous souhaitions changer cette attitude et démonter l'effet délétère de la malnutrition chez ce type de patient. Méthodes : Sur une période de 2 ans, tous les patients, dont le séjour en soins intensifs fut de 5 jours ou plus, ont été enrôlés. Les besoins en énergie pour chaque patient ont été déterminés soit par calorimétrie indirecte, soit au moyen d'une formule prenant en compte le poids du patient (30 kcal/kg/jour). Les patients ayant bénéficié d'une calorimétrie indirecte ont par ailleurs vérifié la justesse de la formule appliquée. L'âge, le sexe le poids préopératoire, la taille, et le « Body mass index » index de masse corporelle reconnu en milieu clinique ont été relevés. L'énergie délivrée l'était soit sous forme nutritionnelle (administration de nutrition entérale, parentérale ou mixte) soit sous forme non-nutritionnelle (perfusions : soluté glucosé, apport lipidique non nutritionnel). Les données de nutrition (cible théorique, cible prescrite, énergie nutritionnelle, énergie non-nutritionnelle, énergie totale, balance énergétique nutritionnelle, balance énergétique totale), et d'évolution clinique (nombre des jours de ventilation mécanique, nombre d'infections, utilisation des antibiotiques, durée du séjour, complications neurologiques, respiratoires gastro-intestinales, cardiovasculaires, rénales et hépatiques, scores de gravité pour patients en soins intensifs, valeurs hématologiques, sériques, microbiologiques) ont été analysées pour chacun des 669 jours de soins intensifs vécus par un total de 48 patients. Résultats : 48 patients de 57±16 ans dont le séjour a varié entre 5 et 49 jours (motif d'admission : polytraumatisés 10; chirurgie cardiaque 13; insuffisance respiratoire 7; pathologie gastro-intestinale 3; sepsis 3; transplantation 4; autre 8) ont été retenus. Si nous n'avons pu démontrer une relation entre la balance énergétique et plus particulièrement, le déficit énergétique, et la mortalité, il existe une relation hautement significative entre le déficit énergétique et la morbidité, à savoir les complications et les infections, qui prolongent naturellement la durée du séjour. De plus, bien que l'étude ne comporte aucune intervention et que nous ne puissions avancer qu'il existe une relation de cause à effet, l'analyse par régression multiple montre que le facteur pronostic le plus fiable est justement la balance énergétique, au détriment des scores habituellement utilisés en soins intensifs. L'évolution est indépendante tant de l'âge et du sexe, que du status nutritionnel préopératoire. L'étude ne prévoyait pas de récolter des données économiques : nous ne pouvons pas, dès lors, affirmer que l'augmentation des coûts engendrée par un séjour prolongé en unité de soins intensifs est induite par un déficit énergétique, même si le bon sens nous laisse penser qu'un séjour plus court engendre un coût moindre. Cette étude attire aussi l'attention sur l'origine du déficit énergétique : il se creuse au cours de la première semaine en soins intensifs, et pourrait donc être prévenu par une intervention nutritionnelle précoce, alors que les recommandations actuelles préconisent un apport énergétique, sous forme de nutrition artificielle, qu'à partir de 48 heures de séjour aux soins intensifs. Conclusions : L'étude montre que pour les patients de soins intensifs les plus graves, la balance énergétique devrait être considérée comme un objectif important de la prise en charge, nécessitant l'application d'un protocole de nutrition précoce. Enfin comme l'évolution à l'admission des patients est souvent imprévisible, et que le déficit s'installe dès la première semaine, il est légitime de s'interroger sur la nécessité d'appliquer ce protocole à tous les patients de soins intensifs et ceci dès leur admission. Summary Background and aims: Critically ill patients with complicated evolution are frequently hypermetabolic, catabolic, and at risk of underfeeding. The study aimed at assessing the relationship between energy balance and outcome in critically ill patients. Methods: Prospective observational study conducted in consecutive patients staying 5 days in the surgical ICU of a University hospital. Demographic data, time to feeding, route, energy delivery, and outcome were recorded. Energy balance was calculated as energy delivery minus target. Data in means+ SD, linear regressions between energy balance and outcome variables. Results: Forty eight patients aged 57±16 years were investigated; complete data are available in 669 days. Mechanical ventilation lasted 11±8 days, ICU stay 15+9 was days, and 30-days mortality was 38%. Time to feeding was 3.1 ±2.2 days. Enteral nutrition was the most frequent route with 433 days. Mean daily energy delivery was 1090±930 kcal. Combining enteral and parenteral nutrition achieved highest energy delivery. Cumulated energy balance was between -12,600+ 10,520 kcal, and correlated with complications (P<0.001), already after 1 week. Conclusion: Negative energy balances were correlated with increasing number of complications, particularly infections. Energy debt appears as a promising tool for nutritional follow-up, which should be further tested. Delaying initiation of nutritional support exposes the patients to energy deficits that cannot be compensated later on.