48 resultados para pacemaker


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NlmCategory="UNASSIGNED">Rapid deployment aortic valve replacement (RDAVR) with the use of rapid deployment valve systems represents a smart alternative to the use of standard aortic bioprosthesis for aortic valve replacement. Nevertheless, its use is still debatable in patients with pure aortic valve regurgitation or true bicuspid aortic valve because of the risk of postoperative paravalvular leak. To address this issue, an optimal annulus-valve size match seems to be the ideal surgical strategy. This article describes a new technique developed to stabilize the aortic annulus and prevent paravalvular leak after RDAVR. To confirm the feasibility, this technique was performed in six patients with severe symptomatic aortic stenosis who were scheduled to undergo aortic valve replacement at our center. All patients survived surgery and were discharged from the hospital. There were no new intracardiac conduction system disturbances observed, and a permanent pacemaker implantation was not required in any of the patients. The intraoperative and postoperative echocardiogram confirmed successful positioning of the valve, and no paravalvular leak was observed. In this preliminary experience, RDAVR through a full sternotomy or an upper hemisternotomy approach with the use of aortic annulus stabilization technique was safe, and no leak was observed. Future studies on large series of patients are necessary to confirm the safety and effectiveness of this technique in preventing paravalvular leak in patients with true bicuspid aortic valves or pure aortic regurgitation.

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BACKGROUND: New generation transcatheter heart valves (THV) may improve clinical outcomes of transcatheter aortic valve implantation. METHODS AND RESULTS: In a nationwide, prospective, multicenter cohort study (Swiss Transcatheter Aortic Valve Implantation Registry, NCT01368250), outcomes of consecutive transfemoral transcatheter aortic valve implantation patients treated with the Sapien 3 THV (S3) versus the Sapien XT THV (XT) were investigated. An overall of 153 consecutive S3 patients were compared with 445 consecutive XT patients. Postprocedural mean transprosthetic gradient (6.5±3.0 versus 7.8±6.3 mm Hg, P=0.17) did not differ between S3 and XT patients, respectively. The rate of more than mild paravalvular regurgitation (1.3% versus 5.3%, P=0.04) and of vascular (5.3% versus 16.9%, P<0.01) complications were significantly lower in S3 patients. A higher rate of new permanent pacemaker implantations was observed in patients receiving the S3 valve (17.0% versus 11.0%, P=0.01). There were no significant differences for disabling stroke (S3 1.3% versus XT 3.1%, P=0.29) and all-cause mortality (S3 3.3% versus XT 4.5%, P=0.27). CONCLUSIONS: The use of the new generation S3 balloon-expandable THV reduced the risk of more than mild paravalvular regurgitation and vascular complications but was associated with an increased permanent pacemaker rate compared with the XT. Transcatheter aortic valve implantation using the newest generation balloon-expandable THV is associated with a low risk of stroke and favorable clinical outcomes. CLINICAL TRIAL REGISTRATION: URL: http://www.clinicaltrials.gov. Unique identifier: NCT01368250.

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La cardiomyopathie hypertrophique (CMH) est la maladie cardiaque monogénique la plus fréquente, touchant environ 1 individu sur 500 dans la population (1,2). L'étiologie est familiale dans la majorité des cas avec une transmission de type autosomal dominant à pénétrance variable. Deux gènes principaux sont à l'origine de la maladie chez 70% des patients avec un test génétique positif. Il s'agit des gènes qui codent pour la chaine lourde β de la myosine (MYH7) et la protéine C liant la myosine (MYBPC3) (1-3). La CMH est définie par la présence d'une hypertrophie myocardique « inadéquate » car se développant en l'absence d'une cause d'augmentation de la post-charge (HTA, sténose aortique, membrane sous-aortique), d'une pathologie infiltrative ou d'un entrainement physique (4,5). Le plus souvent asymétrique et affectant préférentiellement le septum, cette hypertrophie s'accompagne dans près de deux tiers des cas d'une obstruction dynamique sous-aortique de la chambre de chasse du ventricule gauche par la valve mitrale (systolic anterior motion ou SAM). Cette obstruction est à la fois la conséquence du rétrécissement de la chambre de chasse par l'hypertrophie septale mais également d'un malpositionnement de la valve mitrale (6-8). On parle alors de Cardiomyopathie Hypertrophique et Obstructive (CMHO). L'obstruction - présente au repos dans 50% des cas et uniquement après manoeuvres de provocation dans l'autre moitié des cas (manoeuvre de Valsalva, test de vasodilatation par nitrite d'amyle) est à l'origine d'un gradient de pression entre le ventricule gauche et l'aorte, et donc d'une surcharge de pression pour le ventricule gauche. Cette surcharge de pression est à l'origine des symptômes classiquement rencontrés soit dyspnée et angor d'effort, présyncope voire syncopes à l'effort. Un gradient sous-aortique de plus de 50 mmHg (mesuré au repos ou après provocation) est considéré comme un gradient à valeur pronostique (6-8) et justifiant un traitement si associé à des symptômes. Le traitement médical des formes obstructives repose sur l'administration de substances inotropes négatives et/ou susceptibles de favoriser la relaxation myocardique tels que les béta-bloqueurs, les antagonistes du calcium et le disopyramide - pris isolément ou en association. Pour les nombreux patients qui deviennent réfractaires ou intolérants à ces traitements, deux interventions peuvent leur être proposées pour lever l'obstruction : une myotomie-myectomie chirurgicale du septum (9,10) ou une alcoolisation du septum par voie percutanée (7,8). Les indications à ces interventions sont les suivantes (7,8,11) : 1. Symptômes (dyspnée de classe fonctionnelle NYHA III ou IV, angor de classe fonctionnelle CCS III ou IV, syncope, ou présyncope) réfractaires au traitement médical ou intolérance du patient au traitement. Une dyspnée de classe II est considérée suffisante dans le cas de jeunes patients. 2. Obstruction sous-aortique avec gradient supérieur ou égal à 50 mmHg, au repos ou après manoeuvre de provocation, associée à une hypertrophie septale et à un mouvement systolique antérieur de la valve mitrale (effet SAM) 3. Anatomiecardiaquefavorableàuntraitementinvasif(épaisseurduseptumde plus de 16 mm) Si la myectomie chirurgicale reste la méthode de référence (12-18), l'alcoolisation septale du myocarde par voie percutanée est devenue un des traitements de choix dans la thérapie de la Cardiomyopathie Hypertrophique Obstructive réfractaire. Elle consiste à repérer par coronarographie l'artère septale nourrissant le septum basal hypertrophié, puis à y introduire un petit ballon pour isoler ce territoire du reste du lit coronaire avant d'y injecter une dose d'alcool à 95% comprise entre 1 et 5 cc. On crée ainsi un infarctus chimique, technique qui fut dans le passé utilisée pour le traitement de certaines tumeurs. Les effets ne sont pas immédiats et nécessitent généralement 2-3 semaines avant de se manifester. On assiste alors à une diminution progressive de l'épaisseur du myocarde nécrosé (7), à la disparition progressive de l'obstruction et à l'amélioration / disparition des symptômes. La question de savoir qui de la chirurgie ou de l'alcoolisation est le plus efficace a été source de nombreux débats (7,11-13,18). Par rapport à la chirurgie, les avantages de la méthode percutanée sont les suivants (11,14,15,18,19) : - Efficacités hémodynamique et fonctionnelle jugées comparable à la chirurgie selon les études - Taux de morbidité et de mortalité très faible et non supérieure à la chirurgie - Absence de sternotomie - Diminution de la durée de l'hospitalisation et surtout de la période de convalescence, le patient pouvant reprendre une activité dès son retour à domicile Certains experts émettent néanmoins des doutes quant à l'innocuité à long terme de la méthode, les zones nécrotiques pouvant servir de terrain arythmogène. Pour ces raisons, la méthode n'est pas recommandée chez les patients de moins de 40 ans (6,8). Le risque majeur de l'alcoolisation du septum proximal réside dans l'induction d'un bloc atrio-ventriculaire complet chimique, le noeud atrio-ventriculaire étant justement situé dans cette région. Ce risque augmente avec la quantité d'alcool administrée et nécessite, si persistance après trois jours, l'implantation d'un pacemaker à demeure. Selon les centres, le taux d'implantation d'un stimulateur varie ainsi entre 7% et 20% (7,14,20). L'efficacité clinique et l'incidence des complications est donc en partie liée à la compétence technique et à l'expérience de l'opérateur (7,14), mais aussi aux choix des patients. Il peut donc varier grandement selon les centres médicaux. L'étude proposée vise à analyser les résultats de l'alcoolisation obtenus à Lausanne, jusqu'à présent pas encore été étudiés, et à les comparer à ceux de la littérature.