157 resultados para Taux central de mortalité
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RESUME Introduction : Les naissances prématurées compliquent 6-10 % des grossesses dans les pays industrialisés et contribuent de façon notable aux taux de mortalité périnatale et de morbidité néonatale. Il a été démontré que la colonisation bactérienne du liquide amniotique joue un rôle dans l'étiologie des accouchements prématurés spontanés et des ruptures prématurées des membranes. Le but de ce travail était d'évaluer la présence de Mycoplasma hominis dans le liquide amniotique prélevé au 2eme trimestre de grossesse chez des patientes asymptomatiques et de déterminer son association avec une issue défavorable de la grossesse. Matériels et méthodes : Les échantillons de liquide amniotique de 456 patientes ayant subi une amniocentèse trans-abdominale entre les 15eme et I7eme semaines de grossesse pour diverses indications ont été testés par PCR (Polymerase Chain Reaction) afin d'identifier Mycoplasma hominis. Les produits ainsi amplifiés étaient ensuite détectés par ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay). Les données cliniques étaient obtenues après l'accouchement. Résultats : Mycoplasma hominis a été identifié dans 29 (6,4%) des échantillons de liquide amniotique. Le taux de menace d'accouchement prématuré chez les patientes positives pour Mycoplasma hominis (14,3%) était plus élevé que chez les patientes négatives (3,3 %) (p=0,01). De même, les naissances prématurées spontanées avec membranes intactes étaient plus fréquentes chez les patientes positives (10,7%) que chez les patientes négatives (1,9 %) (p=0,02). Le taux de menace d'accouchement prématuré lors d'une grossesse antérieure était plus de trois fois plus élevé chez les patientes positives, cependant ce résultat n'était pas statistiquement significatif. Finalement, la présence du mycoplasme n'était pas corrélée à la gestose, au retard de croissance intra-utérin ou aux anomalies chromosomiques foetales. Conclusions : Les résultats montrent que la présence de Mycoplasma hominis dans le liquide amniotique prélevé entre les 15eme et I7eme semaines d' aménorrhée chez des patientes asymptomatiques est associée à un taux plus élevé de menace d'accouchement prématuré et de naissances prématurées spontanées. La détection de ce microorganisme au 2eme trimestre de la grossesse peut donc identifier les patientes à risque de menace d'accouchement et de naissance prématurées. Abstract Objective: The relationship between detection of Mycoplasma hominis in mid-trimester amniotic fluid and subsequent pregnancy outcome was investigated. Study design: Amniotic fluids from 456 women of European background who underwent a transabdominal amniocentesis at weeks 15-17 of pregnancy were tested for M. hominis by polymerase chain reaction (PCR). The amplicons were hybridized to an internal probe and detected by ELISA. Pregnancy outcomes and clinical data were subsequently obtained. Results: M. hominis were identified in 29 (6.4%) of the amniotic fluids. The rate of preterm labor in women positive for M. hominis (14.3%) was higher than in the negative women (3.3%) (p = 0.01). Similarly, a spontaneous preterm birth with intact membranes occurred in 10.7% of the M. hominis-posltive women as opposed to only 1.9% of the negative women (p = 0.02). The presence of this mycoplasma was not correlated with fetal chromosomal aberrations, intrauterine growth restriction or preeclampsia. Conclusions: Detection of M. hominis in second-trimester amniotic fluids can identify women at increased risk for subsequent preterm labor and delivery.
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Quartz veins ranging in size from less than 50 cm length and 5 cm width to greater than 10 m in length and 5 m in width are found throughout the Central Swiss Alps. In some cases, the veins are completely filled with milky quartz, while in others, sometimes spectacular void-filling quartz crystals are found. The style of vein filling and size is controlled by host rock composition and deformation history. Temperatures of vein formation, estimated using stable isotope thermometry and mineral equilibria, cover a range of 450 degrees C down to 150 degrees C. Vein formation started at 18 to 20 Ma and continued for over 10 My. The oxygen isotope values of quartz veins range from 10 to 20 permil, and in almost all cases are equal to those of the hosting lithology. The strongly rock-buffered veins imply a low fluid/rock ratio and minimal fluid flow. In order to explain massive, nearly morromineralic quartz formation without exceptionally large fluid fluxes, a mechanism of differential pressure and silica diffusion, combined with pressure solution, is proposed for early vein formation. Fluid inclusions and hydrous minerals in late-formed veins have extremely low delta D values, consistent with meteoric water infiltration. The change from rock-buffered, static fluid to infiltration from above can be explained in terms of changes in the large-scale deformation style occurring between 20 and 15 Ma. The rapid cooling of the Central Alps identified in previous studies may be explained in part, by infiltration of cold meteoric waters along fracture systems down to depths of 10 km or more. An average water flux of 0.15 cm 3 cm(-2)yr(-1) entering the rock and reemerging heated by 40 degrees C is sufficient to cool rock at 10 km depth by 100 degrees C in 5 million years. The very negative delta D values of < -130 permil for the late stage fluids are well below the annual average values measured in meteoric water in the region today. The low fossil delta D values indicate that the Central Alps were at a higher elevation in the Neogene. Such a conclusion is supported by an earlier work, where a paleoaltitude of 5000 meters was proposed on the basis of large erratic boulders found at low elevations far from their origin.
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Introduction : la Sclérose en plaques (SEP) est le prototype de désordre auto-immun du système nerveux central. Avec environ 110 malades par 100'000 habitants, la Suisse est considérée un pays à haute prévalence. Chez environ 80% des patients, la maladie débute par la forme récurrente- rémittente (RR), où des poussées aiguës s'intercalent avec des périodes de rémission. Cette phase se conclut dans son évolution naturelle généralement en une phase secondairement progressive, pendant laquelle le déficit progresse en l'absence de poussée. Sur le plan physiopathologique, deux phénomènes interagissent : l'atteinte inflammatoire démyélinisante et l'atteinte neurodégénerative. La première est { l'origine des poussées aiguës, la deuxième se manifeste cliniquement par la progression irréversible du déficit neurologique. En Suisse les immunomodulateurs ont été utilisés comme thérapies de fond pour la SEP à partir des années 1995. Leur effet sur le taux de poussées a été largement démontré, tandis que leur efficacité sur l'évolution de la maladie à long terme reste ouverte. Le moyen le plus répandu pour quantifier le niveau du handicap neurologique est la Kurtzke Expanded Disability Status Scale (EDSS). Cette échelle évalue les troubles neurologiques en les classifiant de 0 (examen normal) à 10 (décès) avec des marches de demi-points. Notre recherche à voulu identifier des facteurs cliniques précoces { valeur prédictif sur l'évolution du déficit neurologique permanent, ainsi qu'analyser le moment d'introduction du traitement pour extraire des informations utiles { la décision thérapeutique. Méthodes : Exploitation de la base de données iMed-CHUV comptant 1150 patients SEP (dont 622 SEP RR) pour analyser rétrospectivement, dans la SEP RR, l'influence de différentes variables cliniques précoces (taux de poussées pendant les premières deux années de maladie, intervalle entre les deux premières poussées, sévérité et site anatomique de la première poussée, déficit résiduel après la première poussée) et de deux caractéristiques liées { l'instauration du traitement immunosuppresseur de fond (âge et délai d'introduction) sur l'évolution du déficit neurologique vers un score EDSS ≥4.0. Les variables ont été testées avec la méthode d'estimation de taux de survie Kaplan-Meier. Résultats: 349 patients avec SEP RR possédaient les critères nécessaires pour faire partie de l'analyse, le suivi moyen étant de 8.26 ans (SD 4.77). Un taux de poussées élevé pendant les premiers 2 ans (>1 vs ≤1) et un long intervalle entre les 2 premiers épisodes (>36 vs >12-36 vs ≤12) étaient significativement associés au risque de progression du déficit neurologique vers un score EDSS de 4.0 ou plus (log Rank P=0.016 et P=0.008 respectivement). Par contre ni le site anatomique de la première poussée ni l'âge d'introduction du traitement immunomodulateur n'avaient d'influence significative sur la progression du déficit neurologique (log rank P=0.370 et P=0.945 respectivement). Etonnamment une introduction rapide du traitement était associée à une plus forte progression du déficit neurologique (log rank P=0.032), montrant qu'une partie des patients a une évolution bénigne même en l'absence de traitement. Conclusions : L'activité inflammatoire précoce, dont le niveau peut être estimé par indices précoces comme le taux de poussées et l'intervalle entre les deux premières poussées, mais non le site de primo-manifestation prédit la progression ultérieure du déficit neurologique. Ces indices doivent être utilisés en combinaison avec les informations fournies par l'IRM pour l'individuation et le traitement précoce des patients à risque, indépendamment de leur âge. En raison des effets indésirables et des coûts élevés, les thérapies doivent cibler de façon spécifique les classes à risque, et épargner les patients avec évolution lente.
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Rapport de synthèse : DEVENIR NEURO-DEVELOPPEMENTAL DE NOUVEAU-NES TRAITES PAR DU SULFATE DE MAGNESIUM POUR UNE HYPERTENSION PULMONAIRE PERSISTANTE L'hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HTPP) est un trouble de l'adaptation post-natale de la circulation pulmonaire caractérisé par une défaillance de la diminution normale des résistances vasculaires pulmonaires, accompagné d'un shunt droite-gauche, résultant en une hypoxémie profonde. C'est une pathologie sévère nécessitant des soins intensifs avec un risque augmenté de handicaps neurologiques chez les survivants. Le traitement de l'HTPP du nouveau-né inclut une ventilation mécanique ainsi que différents agents pharmacologiques pour dilater les vaisseaux pulmonaires, dont le sulfate de magnésium (MgSO4) à hautes doses par voie intraveineuse et le monoxyde d'azote par voie inhalée (iN0). Le MgSO4 est une alternative thérapeutique de l'HTPP du nouveau-né avec peu d'effets secondaires et une mortalité basse. Il a aussi été démontré que le MgSO4 est un traitement de l'HTPP du nouveau-né autant efficace que le iN0 et moins coüteux. Des études sur le suivi neuro-développemental de nouveau-nés avec HTPP traités selon différentes méthodes ont été publiées reportant des taux élevés de handicaps majeurs et mineurs. Plus récemment, des études de suivi après traitement par iN0 ont montré des taux plus bas qu'avec des traitements antérieurs. Le devenir neuro-développemental àlong terme d'enfants traités avec du MgSO4 n'a pas été documenté. Le but de cette étude est de décrire le développement des enfants qui ont présenté une HTPP traitée seulement avec du MgS04, de reporter l'incidence de handicaps majeurs et mineurs, et de les comparer à un groupe contrôle d'enfants sains du même âge ainsi qu'aux données de la littérature. La population consiste en 33 nouveau-nés traités pour une HTPP avec seulement du MgSO4 (groupe étude) et 32 nouveau-nés à terme sains (groupe contrôle). Un suivi neurodéveloppemental standardisé et approfondi a été effectué aux âges clés de 18 mois et 5 ans. Les taux de handicaps majeurs à 18 mois et 5 ans dans le groupe étude étaient de 6% et 11,4% respectivement, et de 0% aux deux âges dans le groupe contrôle. Les taux de handicaps mineurs aux mêmes âges étaient de 3% et 26,9% pour le groupe étude, et de 0% et 26,1% pour le groupe contrôle. Les quotients développementaux moyens à 18 mois étaient de 106,6 (DS 1,6) dans le groupe étude et de 118,3 (DS 1,0) dans le groupe contrôle (P < 0,001). L'index général intellectuel en âge préscolaire était de 112.6 (DS 3.7), respectivement de 119.3 (DS 3.1 ), sans différence significative entre les deux groupes. A 18 mois, les taux de handicaps majeurs et mineurs dans les groupes études et contrôle étaient de 6% et 3%. Dans la littérature, des taux entre 0% et 33% ont été décrits. A cet âge, il y avait une différence significative pour tous les scores du test de Griffiths, mëme en tenant compte du status socio-économique de la famille. Ceci suggère un léger retard du développement global et non une altération spécifique. Ces différences n'étaient plus significatives en âge préscolaire, suggérant un rattrapage développemental. Le taux de handicaps majeurs en âge préscolaire pour le groupe étude était de 11.5%, sans aucune infirmité motrice cérébrale. Ces résultats correspondent à ceux d'études de suivi après d'autres traitements jusqu'à l'âge de 24 mois avec des taux variant de 0% à 15%. Le taux de handicaps mineurs était de 26.9% dans le groupe étude et de 26.1% dans le groupe contrôle, sans différence significative entre les deux groupes. L'incidence de handicaps mineurs dans le groupe étude était plutôt élevée en comparaison aux données de la littérature (6 à 22% à 6 ans). Une explication possible est que nous avons considéré des problèmes de langage et de comportement comme handicaps mineurs. Ceci suggère une différence méthodologique et non une plus mauvaise issue dans nos deux groupes. Les évaluations cognitives des enfants des deux groupes se trouvaient dans la norme, ce qui est aussi le cas dans la littérature. En conclusion, cette étude longitudinale non randomisée d'enfants traités avec du MgSO4 seul pour une HTPP sévère ne montre pas de conséquences sur le devenir neuro-développemental à long terme. Cette étude le démontre pour la première fois. Malgré le fait que iN0 soit le traitement actuellement recommandé pour l'HTPP du nopuveau-né, le MgSO4 reste largement utilisé, en particulier dans des pays en voie de développement. L'absence de complications neuro-développementales majeures à long terme permet de considérer l'administration du MgSO4 pour le traitement de l'HTPP du nouveau-né en cas de non réponse ou d'inaccessibilité au iNO.
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AIMS: This article explores the structures of relational resources that individuals with psychiatric disorders get from their family configurations using the concept of social capital. METHODS: The research is based on a sample of 54 individuals with psychiatric disorders and behavioural problems, and a comparison sample of 54 individuals without a clinical record matched to the clinical respondents for age and sex. Standard measures of social capital from social network methods are applied on family configurations of individuals from both samples. Differences are tested by variance analysis. RESULTS: Structures of family resources available to individuals with psychiatric disorders are distinct. Individuals with psychiatric disorders perceive themselves as less central in their family configurations and less connected to their family members. Their significant family members are perceived as less connected with each other. As a whole, their family configurations are smaller and do not include spouses or partners. Therefore bridging and bonding social capitals are not readily available for them. CONCLUSION: As family configurations of individuals with psychiatric disorders provide fewer relational resources than other families, they are not able to deal with social integration of individuals with psychiatric disorders on their own.
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Hydrocarbon distributions and stable isotope ratios of carbonates (delta(13)C(car), delta(18)O(car)), kerogen (delta(13)C(ker)), extractable organic matter (delta(13)C(EOM)) and individual hydrocarbons of Liassic black shale samples from a prograde metamorphic sequence in the Swiss Alps were used to identify the major organic reactions with increasing metamorphic grade. The studied samples range from the diagenetic zone (< 100 degrees C) to amphibolite facies (similar to 550 degrees C). The samples within the diagenetic zones (< 100 and 150 degrees C) are characterized by the dominance of C-< 20 n-alkanes, suggesting an origin related with marine and/or bacterial inputs. The metamorphic samples (200 to 550 degrees C) have distributions significantly dominated by C-12 and C-13 n-alkanes, C-14, C-16 and C-18 n-alkylcyclopentanes and to a lesser extend C-15, C-17 and C-21 n-alkylcyclohexanes. The progressive C-13-enrichment (up to 3.9 parts per thousand) with metamorphism of the C-> 17 n-alkanes suggests the occurrence of cracking reactions of high molecular weight compounds. The isotopically heavier (up to 5.6 parts per thousand) C-< 17 n-alkanes in metamorphic samples are likely originated by thermal degradation of long-chain homologous with preferential release of isotopically light C-1 and C-2 radicals. The dominance of specific even C-number n-alkylcyclopentanes suggests an origin related to direct cyclization mechanism (without decarboxylation step) of algal or bacterial fatty acids occurring in reducing aqueous metamorphic fluid conditions. The regular increase of the concentrations of n-alkylcycloalkanes vs. C-> 13 n-alkanes with metamorphism suggests progressive thermal release of kerogen-linked fatty acid precursors and degradation of n-alkanes. Changes of the steroid and terpenoid distributions are clearly related to increasing metamorphic temperatures. The absence of 18 alpha(H)-22,29,30-trisnorneohopane (Ts), the occurrence of 17 beta(H)-trisnorhopane, 17 beta(H), 21 alpha(H)-hopanes in the C-29 to C-31 range and 5 alpha(H),14 alpha(H),17 alpha(H)-20R C-27, C-29 steranes in the low diagenetic samples (< 100 degrees C) are characteristic of immature bitumens. The higher thermal stress within the upper diagenetic zone (150 degrees C) is marked by the presence of Ts, the disappearance of 17 beta(H)-trisnorhopane and thermodynamic equilibrium of the 22S/(22S + 22R) homohopane ratios. The increase of the alpha alpha alpha-sterane 20S/(20S + 20R) and 20R beta beta/(beta beta + alpha alpha) ratios (from 0.0 to 0.55 and from 0.0 to 0.40, respectively) in the upper diagenetic zone indicates the occurrence of isomerization reactions already at < 150 degrees C. However, the isomerization at C-20 (R -> S) reaches thermodynamic equilibrium values already at the upper diagenesis (similar to 150 degrees C) whereas the epimerisation at C-14 and C-17 (alpha alpha ->beta beta) arrives to constant values in the lower anchizone (similar to 200 degrees C). The ratios Ts vs. 17 alpha(H)-22,29,30-trisnorneohopane [(Ts/(Ts + Tm)] and 18 alpha(H)-30-norneohopane (C29Ts) vs. 17 alpha(H),21 beta(H)-30-norhopane [C29Ts/(C29Ts + C-29)] increase until the medium anchizone (200 to 250 degrees C) from 0.0 to 0.96 and from 0.0 to 0.44, respectively. An opposite trend owards lower values is observed in the higher metamorphic samples. The occurrence of specific hydrocarbons (e.g., n-alkylcyclopentanes, cadalene, hydrogenated aromatic compounds) in metamorphic samples points to kerogen degradation reactions most probably occurring in the presence of water and under reducing conditions. The changes of hydrocarbon distributions and carbon isotopic compositions of n-alkanes related to metamorphism suggest that the organic geochemistry may help to evaluate the lowest grades of prograde metamorphism. Copyright (c) 2005 Elsevier Ltd.
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OBJECTIVE: Quality assurance (QA) in clinical trials is essential to ensure treatment is safely and effectively delivered. As QA requirements have increased in complexity in parallel with evolution of radiation therapy (RT) delivery, a need to facilitate digital data exchange emerged. Our objective is to present the platform developed for the integration and standardization of QART activities across all EORTC trials involving RT. METHODS: The following essential requirements were identified: secure and easy access without on-site software installation; integration within the existing EORTC clinical remote data capture system; and the ability to both customize the platform to specific studies and adapt to future needs. After retrospective testing within several clinical trials, the platform was introduced in phases to participating sites and QART study reviewers. RESULTS: The resulting QA platform, integrating RT analysis software installed at EORTC Headquarters, permits timely, secure, and fully digital central DICOM-RT based data review. Participating sites submit data through a standard secure upload webpage. Supplemental information is submitted in parallel through web-based forms. An internal quality check by the QART office verifies data consistency, formatting, and anonymization. QART reviewers have remote access through a terminal server. Reviewers evaluate submissions for protocol compliance through an online evaluation matrix. Comments are collected by the coordinating centre and institutions are informed of the results. CONCLUSIONS: This web-based central review platform facilitates rapid, extensive, and prospective QART review. This reduces the risk that trial outcomes are compromised through inadequate radiotherapy and facilitates correlation of results with clinical outcomes.
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The hypothalamic neuropeptide oxytocin (OT), which controls childbirth and lactation, receives increasing attention for its effects on social behaviors, but how it reaches central brain regions is still unclear. Here we gained by recombinant viruses selective genetic access to hypothalamic OT neurons to study their connectivity and control their activity by optogenetic means. We found axons of hypothalamic OT neurons in the majority of forebrain regions, including the central amygdala (CeA), a structure critically involved in OT-mediated fear suppression. In vitro, exposure to blue light of channelrhodopsin-2-expressing OT axons activated a local GABAergic circuit that inhibited neurons in the output region of the CeA. Remarkably, in vivo, local blue-light-induced endogenous OT release robustly decreased freezing responses in fear-conditioned rats. Our results thus show widespread central projections of hypothalamic OT neurons and demonstrate that OT release from local axonal endings can specifically control region-associated behaviors.
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BACKGROUND AND OBJECTIVES: Central nervous system (CNS) stimulants may be used to reduce tiredness and increase alertness, competitiveness, and aggression. They are more likely to be used in competition but may be used during training to increase the intensity of the training session. There are several potential dangers involving their misuse in contact sports. This paper reviews the three main CNS stimulants, ephedrine, amfetamine, and cocaine, in relation to misuse in sport. METHODS: Description of the pharmacology, actions, and side effects of amfetamine, cocaine, and ephedrine. RESULTS: CNS stimulants have psychotropic effects that may be perceived to be ergogenic. Some are prescription drugs, such as Ephedra alkaloids, and there are issues regarding their appropriate therapeutic use. Recently attention has been given to their widespread use by athletes, despite the lack of evidence regarding any ergogenic or real performance benefit, and their potentially serious side effects. Recreational drugs, some of which are illegal (cocaine, amfetamines), are commonly used by athletes and cause potential ergolytic effects. Overall, these drugs are important for their frequent use and mention in anti-doping laboratories statistics and the media, and their potentially serious adverse effects. CONCLUSIONS: Doping with CNS stimulants is a real public health problem and all sports authorities should participate in its prevention. Dissemination of information is essential to prevent doping in sport and to provide alternatives. Adequate training and education in this domain should be introduced.
Hyperhomocysteinemia is independently associed with albuminuria in the population-based CoLaus study
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L'homocystéine est un molécule potentiellement atherogénique et est considéré comme facteur de risque indépendant pour les maladies cardiovasculaires. Pour les patients avec une maladie rénale chronique ou en général avec une fonction rénale diminuée le taux d'homocystéine dans le sérum est élevé. L'acide urique est associé avec un risque augmenté de développer une maladie rénale et prédit la mortalité pour les patients avec une maladie rénale chronique. Le but de cette étude était d'évaluer l'association entre des taux sériques d'homocystéine élevés est la présence d'une fonction rénale diminuée, exprimé par une filtration glomérulaire diminuée ou une albuminurie dans une sélection de la population de Lausanne. Nous avons aussi investigué l'effet de l'acide urique sur cette relation. Pour évaluer si l'association entre l'homocystéine est l'albuminurie pourra être causal, nous avons en même temps investigué l'association entra l'albuminurie est le polymorphisme du gène de la methylènetetrafolate réductase (MTHFR) fortement corrélé avec les taux sériques de l'homocystéine. L'étude CoLaus est transversale et basée sur la population. Elle représente une sélection aléatoire, non stratifié de la population générale de la ville de Lausanne, Suisse, âgée 35-75 ans (n=56.694). 5913 personnes étaient incluses dans l'analyse. La prévalence de l'albuminurie augmente dans les catégories de taux sériques croissants d'homocystéine. L'acide urique est associé avec la concentration sérique de l'homocystéine. Hyperhomocystéinémie et des taux sérique d'acide urique augmentés sont associés avec l'albuminurie, indépendant de l'hypertonie et du diabète. Dans cette étude basée sur une large population, l'association entre des taux sérique elevés d'homocystéine et la prévalence augmentée de l'albuminurie est indépendante de la fonction glomérulaire, indiquant que cette association n'est pas simplement la conséquence de la fonction rénale réduite. Hyperhomocystéinémie est associé avec un risque doublé pour une albuminurie, ce qu'est similaire au risque associé à l'hypertonie ou au diabète type 2. Cette association est indépendante de l'acide urique. Ce résultat suggère que l'hyperhomocystéinémie est un marqueur indépendant des la dysfonction rénale. Individus avec le polymorphisme du MTHFR associé avec des concentrations sériques élevées d'homocystéine sont associé avec un risque augmenté pour une albuminurie. Tous ces résultats supportent l'hypothèse que l'homocystéine cause des dommages rénaux.
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STUDY OBJECTIVES: Gamma-hydroxybutyrate (GHB) was originally introduced as an anesthetic but was first abused by bodybuilders and then became a recreational or club drug.1 Sodium salt of GHB is currently used for the treatment of cataplexy in patients with narcolepsy. The mode of action and metabolism of GHB is not well understood. GHB stimulates growth hormone release in humans and induces weight loss in treated patients, suggesting an unexplored metabolic effect. In different experiments the effect of GHB administration on central (cerebral cortex) and peripheral (liver) biochemical processes involved in the metabolism of the drug, as well as the effects of the drug on metabolism, were evaluated in mice. DESIGN: C57BL/6J, gamma-aminobutyric acid B (GABAB) knockout and obese (ob/ob) mice were acutely or chronically treated with GHB at 300 mg/kg. MEASUREMENTS AND RESULTS: Respiratory ratio decreased under GHB treatment, independent of food intake, suggesting a shift in energy substrate from carbohydrates to lipids. GHB-treated C57BL/6J and GABAB null mice but not ob/ob mice gained less weight than matched controls. GHB dramatically increased the corticosterone level but did not affect growth hormone or prolactin. Metabolome profiling showed that an acute high dose of GHB did not increase the brain GABA level. In the brain and the liver, GHB was metabolized into succinic semialdehyde by hydroxyacid-oxoacid transhydrogenase. Chronic administration decreased glutamate, s-adenosylhomocysteine, and oxidized gluthathione, and increased omega-3 fatty acids. CONCLUSIONS: Our findings indicate large central and peripheral metabolic changes induced by GHB with important relevance to its therapeutic use.