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AIM: The aim of this study was to interpret and validate a French version of the Oswestry disability index (ODI), using a cross-cultural validation method. The validity and reliability of the questionnaire was assessed in order to ensure the psychometric characteristics. METHOD: The cross-cultural validation was carried out according to Beaton's methodology. The study was conducted with 41 patients suffering from low back pain. The correlation between the ODI and the Roland-Morris disability questionnaire (RMDQ), the medical outcome survey short form-36 (MOS SF-36) and a pain visual analogical scale (VAS) was assessed. RESULTS: The validity of the Oswestry questionnaire was studied using the Cronbach Alpha coefficient calculation: 0.87 (n=36). The significant correlation between the ODI and RMDQ was 0.8 (P<0.001, n=41) and 0.71 (P<0.001, n=36) for the pain VAS. The correlation between the ODI and certain subscales (physical functioning 0.7 (P<0.001, n=41), physical role 0.49 et bodily pain 0.73 (P<0.001, n=41)) of the MOS SF-36 were equally significant. The reproducibility of the ODI was calculated using the Wilcoxon matched pairs test: there was no significant difference for eight out of ten sections or for the final score. CONCLUSION: This French translation of the ODI should be considered as valid and reliable. It should be used for any future clinical studies carried out using French language patients. Complimentary studies must be completed in order to assess its sensitivity to change in the event of any modifications in the patients functional capacity.
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BACKGROUND: Peer pressure is regarded as an important determinant of substance use, sexual behavior and juvenile delinquency. However, few peer pressure scales are validated, especially in French or German. Little is known about the factor structure of such scales or the kind of scale needed: some scales takes into account both peer pressure to do and peer pressure not to do, while others consider only peer pressure to do. The aim of the present study was to adapt French and German versions of the Peer Pressure Inventory, which is one of the most widely used scales in this field. We considered its factor structure and concurrent validity. METHODS: Five thousand eight hundred and sixty-seven young Swiss men filled in a questionnaire on peer pressure, substance use, and other variables (conformity, involvement) in a cohort study. RESULTS: We identified a four-factor structure, with the three factors of the initial Peer Pressure Inventory (involvement, conformity, misconduct) and adding a new one (relationship with girls). A non-valued scale (from no peer pressure to peer pressure to do only) showed stronger psychometric qualities than a valued scale (from peer pressure not to do to peer pressure to do). Concurrent validity was also good. Each behavior or attitude was significantly associated with peer pressure. CONCLUSION: Peer pressure seems to be a multidimensional concept. In this study, peer pressure to do showed the strongest influence on participants. Indeed, peer pressure not to do did not add anything useful. Only peer pressure to do affected young Swiss men's behaviors and attitudes and was reliable.
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I. Introduction : A. Données du problème : En ce début de XXIe siècle, le nombre d'actions en justice visant à engager la responsabilité des autorités de surveillance des banques, à la suite de faillites bancaires, n'a cessé de croître. Ce contentieux s'inscrit dans une tendance générale de recherche des responsabilités des acteurs chargés du contrôle des entités économiques privées. Les autorités de surveillance bancaire ont-elles l'obligation de répondre, devant la justice, du dommage éventuellement causé dans l'exercice de leur mission et d'en assumer les conséquences financières? C'est ce que tentent d'établir les demandeurs, le plus souvent des déposants lésés, qui, malgré l'existence de mécanismes de garantie des dépôts, n'ont pu recouvrer l'intégralité des sommes déposées auprès de banques défaillantes. Les demandeurs agissent fréquemment en dernier ressort contre l'autorité de surveillance bancaire. Les carences alléguées des autorités de surveillance bancaire constituent les fondements de leurs actions en justice. Plusieurs facteurs peuvent expliquer l'augmentation de ce contentieux : ? La croissance des avoirs financiers. Au sein d'un paysage financier européen caractérisé par l'intégration et l'interdépendance de plus en plus poussées des économies nationales, volume et concentration des avoirs financiers n'ont cessé de croître. ? La formalisation des réglementations prudentielles. La surveillance des banques repose désormais sur un corps de règles détaillé et précis, au niveau national, européen et international. ? Les défaillances bancaires. De telles défaillances ont touché de nombreux Etats ces dernières années: la Bank of Credit and Commerce international (BCCI) dont la faillite a eu des répercussions internationales en 1991, l'établissement Barings au Royaume-Uni en 1995, le Crédit Lyonnais en France en 1992 ou la Spar- und Leihkasse Thun en Suisse en 1991. Cette tendance est cependant paradoxale puisque dans de nombreux Etats européens, comme au Royaume-Uni ou en Allemagne, les autorités de surveillance jouissent d'une protection juridique conférée par la loi, les préservant, théoriquement, de poursuites judiciaires intempestives. Dans d'autres pays, comme en France et en Suisse, c'est le droit général de la responsabilité de l'Etat qui est appliqué de manière restrictive par les juridictions compétentes. Les actions judiciaires devant les juges nationaux comportent également des aspects de droit européen. En effet, depuis 1993 un marché bancaire unique existe en Europe et les demandeurs ont fréquemment invoqué le droit matériel de l'Union européenne à l'appui de leurs prétentions. L'affaire BCCI illustre le type de contentieux auquel doivent faire face le Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (BaFin) allemand, la Financial Services Authority (FSA) britannique, la Commission fédérale des banques (CFB) suisse ou la Commission bancaire (CB) française. L'accroissement de ce contentieux prouve que le risque d'engagement de la responsabilité des autorités de surveillance bancaire n'est pas purement théorique.