48 resultados para Application method
Resumo:
Following their detection and seizure by police and border guard authorities, false identity and travel documents are usually scanned, producing digital images. This research investigates the potential of these images to classify false identity documents, highlight links between documents produced by a same modus operandi or same source, and thus support forensic intelligence efforts. Inspired by previous research work about digital images of Ecstasy tablets, a systematic and complete method has been developed to acquire, collect, process and compare images of false identity documents. This first part of the article highlights the critical steps of the method and the development of a prototype that processes regions of interest extracted from images. Acquisition conditions have been fine-tuned in order to optimise reproducibility and comparability of images. Different filters and comparison metrics have been evaluated and the performance of the method has been assessed using two calibration and validation sets of documents, made up of 101 Italian driving licenses and 96 Portuguese passports seized in Switzerland, among which some were known to come from common sources. Results indicate that the use of Hue and Edge filters or their combination to extract profiles from images, and then the comparison of profiles with a Canberra distance-based metric provides the most accurate classification of documents. The method appears also to be quick, efficient and inexpensive. It can be easily operated from remote locations and shared amongst different organisations, which makes it very convenient for future operational applications. The method could serve as a first fast triage method that may help target more resource-intensive profiling methods (based on a visual, physical or chemical examination of documents for instance). Its contribution to forensic intelligence and its application to several sets of false identity documents seized by police and border guards will be developed in a forthcoming article (part II).
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We consider the problem of multiple correlated sparse signals reconstruction and propose a new implementation of structured sparsity through a reweighting scheme. We present a particular application for diffusion Magnetic Resonance Imaging data and show how this procedure can be used for fibre orientation reconstruction in the white matter of the brain. In that framework, our structured sparsity prior can be used to exploit the fundamental coherence between fibre directions in neighbour voxels. Our method approaches the ℓ0 minimisation through a reweighted ℓ1-minimisation scheme. The weights are here defined in such a way to promote correlated sparsity between neighbour signals.
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La dermatite irritative est décrite comme une réaction réversible, non immunologique caractérisée par des lésions d'aspect très variable, allant de la simple rougeur jusqu'à la formation de bulles voire d'une nécrose, accompagnée de prurit ou d'une sensation de brûlure suite à I' application d'une substance chimique. Le teste de prédiction d'irritation cutanée est traditionnellement depuis les années 1940 le Test de Draize. Ce test consiste en l'application d'une substance chimique sur une peau rasée de lapin pendant 4h et de regarder à 24h si des signes cliniques d'irritations sont présents. Cette méthode critiquable autant d'un point de vue éthique que qualitative reste actuellement le teste le plus utilisé. Depuis le début des années 2000 de nouvelles méthodes in vitro se sont développées tel que le model d'épiderme humain recombiné (RHE). Il s agit d'une multicouche de kératinocyte bien différencié obtenu depuis une culture de don d'ovocyte. Cependant cette méthode en plus d'être très couteuse n'obtient au mieux que 76% de résultat similaire comparé au test in vivo humain. Il existe donc la nécessité de développer une nouvelle méthode in vitro qui simulerait encore mieux la réalité anatomique et physiologique retrouvée in vivo. Notre objectif a été de développer cette nouvelle méthode in vitro. Pour cela nous avons travaillé avec de la peau humaine directement prélevée après une abdominoplastie. Celle ci après préparation avec un dermatome, un couteau dont la lame est réglable pour découper l'épaisseur souhaitée de peau, est montée dans un système de diffusion cellulaire. La couche cornée est alors exposée de manière optimale à 1 ml de la substance chimique testée pendant 4h. L'échantillon de peau est alors fixé dans du formaldéhyde pour permettre la préparation de lames standards d'hématoxyline et éosine. L'irritation est alors investiguée selon des critères histopathologiques de spongioses, de nécroses et de vacuolisations cellulaires. Les résultats de ce.tte première batterie de testes sont plus que prometteurs. En effet, comparé au résultat in vivo, nous obtenons 100% de concordance pour les 4 même substances testes irritantes ou non irritantes, ce qui est supérieur au model d épiderme humain recombiné (76%). De plus le coefficient de variation entre les 3 différentes séries est inférieur à 0.1 ce qui montre une bonne reproductibilité dans un même laboratoire. Dans le futur cette méthode va devoir être testée avec un plus grand nombre de substances chimiques et sa reproductibilité évaluée dans différents laboratoires. Mais cette première evaluation, très encourageante, ouvre des pistes précieuses pour l'avenir des tests irritatifs.