465 resultados para Myopathie de Duchenne--Traitement
Resumo:
Le traitement de l'hépatite C chronique a été révolutionné par l'introduction de nouveaux antiviraux (directly acting antivirals [DAA]). Ces inhibiteurs de protéase, de la protéine NS5A et de la polymérase peuvent être associés dans des traitements oraux hautement efficaces et bien tolérés sans interféron. Dans cet article, nous fournissons un aperçu du traitement actuel de l'hépatite C chronique avec considération particulière des DAA actuellement autorisés en Suisse. Treatment of chronic hepatitis C is currently being revolutionised, with the introduction of directly acting antivirals (DAA), including protease, NS5A and polymerase inhibitors. These can be combined in interferon-free oral therapies with unprecedented efficacy and good tolerance. Here, we review the current therapy of chronic hepatitis C, with a particular focus on DAA that are approved in Switzerland today.
Resumo:
Le but de cette étude était d'investiguer l'association entre l'alliance thérapeutique et le contrôle de substances, comme il est vécu par le patient. La théorie de King et le concept de l'alliance thérapeutique figuraient comme cadres théoriques. L'investigation se faisait à l'aide d'un questionnaire auto-administré, incluant l'instrument working alliance inventory (WAI) dans sa forme abréviée, traduit et validé en français, visant un échantillon de convenance (n=28). L'alliance thérapeutique était évaluée sur une échelle Likert à 12 questions, et les alliances thérapeutiques se sont révélées comme bonnes (x=61.68, max=84). Mais il y a une relation linéaire négative significative entre le degré à quel point les contrôles sont perçus comme pesants, évalués par une question supplémentaire sur une visual analog scale (VAS), et l'établissement d'une alliance thérapeutique (r =-0.67, p-value>0.001). De plus, la forme d'admission joue un rôle significatif, car dans cette étude, les patients admis sous pression de l'extérieur (n=7) ont de moins bonnes alliances (t, p-value=0.018) et vivent les contrôles comme plus pesants (Z, p-value=0.004) que les patients admis de leur propre gré (n=21). Malgré que ces résultats ne sont, vu le petit échantillon (n=28), pas généralisables, ils pourraient impliquer pour la pratique de repenser la prise d'urine et d'être sensibilisés aux conséquences possibles. Des options, comme l'introduction d'une supervision par caméra ou le retrait complet de l'infirmière de référence de toute sorte de contrôles, seraient imaginables. Au moins pour les personnes hospitalisées sous pression de l'extérieur et qui sont probablement, pour cette raison, plus susceptibles à tout dérangement de la relation.