34 resultados para VIS and NIR luminescence


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Calcineurin is a key protein phosphatase required for hyphal growth and virulence in Aspergillus fumigatus, making it an attractive antifungal target. However, currently available calcineurin inhibitors, FK506 and cyclosporine A, are immunosuppressive, limiting usage in the treatment of patients with invasive aspergillosis. Therefore, the identification of endogenous inhibitors of calcineurin belonging to the calcipressin family is an important parallel strategy. We previously identified the gene cbpA as the A. fumigatus calcipressin member and showed its involvement in hyphal growth and calcium homeostasis. However, the mechanism of its activation/inhibition through phosphorylation and its interaction with calcineurin remains unknown. Here we show that A. fumigatus CbpA is phosphorylated at three distinct domains, including the conserved SP repeat motif (phosphorylated domain-I; PD-I), a filamentous fungal-specific domain (PD-II), and the C-terminal CIC motif (Calcipressin Inhibitor of Calcineurin; PD-III). While mutation of three phosphorylated residues (Ser208, Ser217, Ser223) in the PD-II did not affect CbpA function in vivo, mutation of the two phosphorylated serines (Ser156, Ser160) in the SP repeat motif caused reduced hyphal growth and sensitivity to oxidative stress. Mutational analysis in the key domains in calcineurin A (CnaA) and proteomic interaction studies confirmed the requirement of PxIxIT motif-binding residues (352-NIR-354) and the calcineurin B (CnaB)-binding helix residue (V371) for the binding of CbpA to CnaA. Additionally, while the calmodulin-binding residues (442-RVF-444) did not affect CbpA binding to CnaA, three mutations (T359P, H361L, and L365S) clustered between the CnaA catalytic and the CnaB-binding helix were also required for CbpA binding. This is the first study to analyze the phosphorylation status of calcipressin in filamentous fungi and identify the domains required for binding to calcineurin.

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Objectifs: Le dosage des biomarqueurs du liquide céphalorachidien (LCR) ne fait pas partie des recommandations de la démarche diagnostique de la maladie d'Alzheimer (MA) en France. Nous voulions analyser l'apport de leur dosage en pratique clinique quotidienne. Matériel et méthode: Étude rétrospective observationnelle, portant sur l'ensemble des dosages de biomarqueurs du LCR de la MA effectués entre le 1er novembre 2010 et le 30 septembre 2012 dans l'hôpital de jour (HDJ) et le service de médecine interne gériatrique (SMIG) du centre mémoire de ressources et de recherche (CMRR) des hôpitaux universitaires de Strasbourg (Alsace, France). Résultats: Quatre-vingt-dix-sept patients (femmes : 60,8 % ; âge moyen : 80 ± 6,5 ans) ont été considérés. En HDJ (n = 50), les biomarqueurs étaient utilisés pour le diagnostic positif de MA (64,0 %) ou le diagnostic différentiel entre les démences (36,0 %). Au SMIG (n = 47), leur dosage était effectué afin de confirmer une MA (19,1 %), de rechercher une pathologie cognitive sous-jacente à un syndrome confusionnel (17,0 %) ou pour diagnostiquer une démence chez des patients atteints de pathologies psychiatriques (29,8 %). Si 49,5 % des patients ont eu un diagnostic de MA confirmée, les biomarqueurs ont contribué à infirmer cette étiologie dans 9,2 % des cas. Le doute entre une MA et une autre étiologie persistait cependant encore chez 10 patients. Les analyses comparatives des taux des différents biomarqueurs ont montré que la protéine tau est observée avec un taux significativement plus élevé dans la MA que dans la démence vasculaire (p = 0,003) et à la limite de la significativité pour la maladie de Parkinson (p = 0,06). Le profil observé avec la Ptau est similaire mais avec une significativité atteinte vis-à-vis de la démence de la maladie de Parkinson (p = 0,01). En ce qui concerne l'Aβ1-42, si les taux moyens étaient les plus élevés dans les démences vasculaire et à corps de Lewy, (p < 0,0001 et p < 0,01), ils étaient plus faibles en cas de démence de la maladie de Parkinson mais sans atteindre le seuil de signification (p = 0,12). Conclusion: Cette étude a analysé l'utilisation des biomarqueurs de la MA en pratique courante. Si leur intérêt se positionne actuellement dans le diagnostic de la MA à un stade léger, ces biomarqueurs montrent leur utilité dans les situations où le diagnostic clinique est rendu difficile par un trouble psychiatrique et/ou une confusion, une clinique atypique où lorsque les tests cognitifs sont irréalisables.