33 resultados para Spolander, Mia Mari: Rikosprosessin joutuisuus oikeudenmukaisen oikeudenkäynnin osatekijänä
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Oggetto della tesi è la poesia volgare prodotta nell'orbita della corte viscontea nel corso del Trecento e del primo Quattrocento. La presente ricerca si propone di illustrare il contesto culturale lombardo e correggere alcuni giudizi di colore avanzati dagli studi positivistici di fine Ottocento e inizio Novecento, attraverso un'indagine rigorosa sui testi scritti attorno ai Visconti, dei quali si propone un'edizione filologicamente sorvegliata, accompagnata da uno studio sulla tradizione manoscritta, da cappelli introduttivi, apparati critici e note di commento. Una prima sezione ospita il corpus di rime dell'aretino Braccio Bracci: tre canzoni {Silenzio posto aveva al dire in rima-, O aspettato dalla giusta verga e lo scambio epistolare fittizio Soldan di Bambilonia et ceterà-Illustri e serenissimo, alto e vero) e quindici sonetti (O tesorier, che 7 bel tesor d'Omero-, Antonio mio, tua fama era inmortale; Deh, non guastare il popol cristiano; O santo Pietro, per Dio, non restare; El tempio tuo, che tu edificasti-, Veggio l'antica, dritta e ferma Scala-, Messer Luigi, vostra nobil fama-, Volse Traian, quando la vedovella-, Firenze, or ti rallegra, or ti conforta-, O infamato da ' lucenti raggi-, Sette sorelle sono a mme venute-, Sempre son stato con gran signoria; Se Ile cose terrene al possesore; Sia con voi pace, signor' fiorentini). La seconda sezione accoglie dodici sonetti attribuiti al fiorentino Marchionne di Matteo Arrighi {Deh, quant 'egli è in villa un bello stare; Omé, e ' mi par che Ila mia rota torca; Acciò che veggi chiaro il mio sonetto; Tu non potrai più bere alle stagioni; O Iscatizza di vii condizione; Se mille volte il dì tu m'uccidessi; Io n'ò 'n dispetto il Sole e Ila Luna; Tanto mi piace l'angelico sono; Lasso, tapino a mme, quando riguardo; Era venuta nella mente mia; Io ti ricordo, caro amico fino; Solo soletto ma non di pensieri). Nella terza sezione si propongono due canzoni viscontee del magister Giovanni da Modena, La mia gravosa e disformata vita e Ne l'ora che la caligin nocturna . La quarta e ultima sezione è dedicata ad alcune poesie anonime viscontee: sei sonetti (Egli è gran tempo, dolce Signor mio; Quela dolce saeta che nel core; Stan le cita lombarde co le chiave; Cesere in arme fu feroce e franco; l'pensava stancar la destra mano; Poniam silenzio a tutti i gran Signori), due ballate (Chi troppo al fuoco si lassa apressare e Io udii già cantare), due Lamenti di Bernabò Visconti in ottava rima (Novo lamento con doglioxo pianto e l'prego Idio eh 'è Signore e Padre, quest'ultimo pronunciato da un tal Matteo da Milano) e una canzone in morte del duca Gian Galeazzo {Fortuna c 'ogni ben mundan remuti).
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Réunissant quelques-uns des meilleurs experts français sur la question, le projet de cet ouvrage est de dresser un bilan des principales orientations historiographiques de l'histoire du sport. Cette réflexion complète la table ronde organisée lors du congrès du comité français des sciences historiques (Reims 2012). Elle s'interroge sur la spécificité d'un champ qui s'est développé en marge de l'Histoire en abordant un objet - le sport - qui traverse les cultures et les périodes, et entretient avec les registres politiques, sociaux, économiques, médiatiques, ou scientifiques des liens originaux. Appuyée sur des comparaisons européennes et nordaméricaines, elle suggère aussi des perspectives et de nouvelles pistes à investiguer. Cet ouvrage constitue une base de données précieuse pour les étudiants, doctorants, enseignants, chercheurs, archivistes et conservateurs et, plus largement, tout public averti et désireux de comprendre comment l'histoire a, jusqu'ici, questionné le phénomène sportif. Le lecteur y puisera des éléments conceptuels et des points d'appui historiographiques essentiels. Les grands débats du moment s'y reflètent : sport dans l'Antiquité, histoire de l'éducation physique, histoire économique du sport, histoire des techniques, des médias, du genre, ou encore histoire du sport en milieu colonial.
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Ne réaliser que l'on est enceinte seulement lors de l'accouchement ? N'avoir aucun ou peu des symptômes habituels de la grossesse ? Ce phénomène étonnant appelé déni de grossesse (DG) existe et n'est pas aussi rare que l'on pourrait le penser1. Dans la littérature, la plupart des articles mentionnent une prévalence de 2 à 3 cas pour 1000 accouchements2. Le DG n'a pas une définition considérée comme universelle, mais globalement nous pouvons le définir comme étant la « non-reconnaissance d'une grossesse au-delà du premier trimestre, qui peut se prolonger jusqu'à l'accouchement et recouvrir ce dernier»2, nous parlons respectivement, à partir de 14 semaines d'aménorrhée, de déni partiel et total. Bien que les dénis partiels soient plus fréquents que les dénis totaux, ces derniers sont les plus impressionnants. Dans la population générale ainsi qu'au sein des professionnels de la santé ce phénomène est encore considéré comme « impossible », il reste incompris ou est, de façon présumée, lié à des causes bien spécifiques comme par exemple un très jeune âge, une origine étrangère ou un bas niveau social. Realising you're pregnant only while giving birth ? Having no or few of the usual symptoms of pregnancy? This strange phenomenon exists and is called denial of pregnancy, and it's not as rare as one might think1. Most research articles mention a prevalence of 2-3 cases per 1000 births2. Denial of pregnancy doesn't have a universal definition, but can be defined as the « unawareness of a pregnancy after the first trimester, which can last until and even through birth »2. We will therefore subsequently speak of partial or complete denial. While partial denial is more frequent than complete denial, the latter is the most impressive. Among general population and professionals, this phenomenon is still considered as «impossible», keeps beeing misunderstood or is attributed to specific causes, such as younger age, foreign nationality or low socioeconomic status. A better understanding of this phenomenon would allow us to improve the care of the women affected. Objectifs : 1. Définir la terminologie et l'entité « déni de grossesse ». 2. Réaliser une étude rétrospective à partir des archives médicales du CHUV afin d'analyser le phénomène en fonction de plusieurs caractéristiques bien définies puis comparer les résultats obtenus avec la littérature. Méthodes : Il s'est agit d'effectuer une revue de littérature à partir de recherches au centre de documentation et planning familial de Genève, dans les bases de données informatiques telles que PubMed/MedLine, SAPHIR, Web of Science ainsi que de la lecture de plusieurs livres (cf. Bibliographie). Nous avons parcouru non seulement les archives papier mais surtout les archives électroniques des dossiers des patientes admises pour un diagnostic de DG partiel ou total (ou de grossesse méconnue/ non suivie) dans le service de gynécologie-obstétrique (DGO) du CHUV entre 1999 et 2012. A partir du recueil de données, nous avons analysé la répartition du DG en fonction de plusieurs paramètres tels que la classe d'âge, le milieu social, les éventuelles grossesses antérieures, la réaction de la famille en particulier du partenaire/mari ainsi que l'évolution ou l'issue de ces situations cliniques. La documentation à disposition n'a permis qu'une recherche de cas dans les dossiers d'obstétrique. Cette approche ne tient ainsi pas compte des DG qui se sont soldées par une interruption de grossesse ou un avortement spontané du 2e trimestre. Nous avons étudié uniquement les DG dont les grossesses ont aboutit à un accouchement. Résultats : Le déni de grossesse s'est révélé être un phénomène fréquent aussi au CHUV avec une prévalence de 2 pour 1000 naissances. Les DG partiels (90%) ont été plus fréquents que les DG totaux (10%). Les adolescentes représentaient une minorité des patientes (7%). En moyenne, les femmes étaient âgées de 27 ans ; elles ont découvert leur grossesse aux allentours de la 25ème semaine d'aménorrhée (SA) en moyenne et étaient en majorité de nationalité étrangère (68%) ce qui ne diffère pas des proportions habituellement retrouvées dans les consultations obstétricales au sein du CHUV. Les enfants nés suite à un DG avaient un poids et une taille dans la norme avec une moyenne de 2934.7 grammes et une taille moyenne de 47.5 centimètres. Nous notons une prise pondérale d'en moyenne 11 kilogrammes et une augmentation du BMI de 5 points par rapport au BMI habituel. Seule une minorité de patientes consommaient activement ou avouent avoir consommé des substances illicites durant la grossesse (17%). Le tabac est le toxique le plus consommé (44%). Les patientes viennent de tous les milieux socio-économiques, bien qu'une part importante travaille dans le secteur tertiaire. Les femmes n'habitent généralement pas seules, ce qui prouve que le DG peut être « contagieux ». La plupart (62%) sont hospitalisées durant le même nombre de jours que les patientes qui ne font pas de DG, soit habituellement entre 4 et 5 jours. Le service de divers spécialistes comme les pédopsychiatres, les sages-femmes conseillères en périnatalité, le service social ou d'autres professionnels de santé a systématiquement été sollicité afin de répondre au mieux aux besoins des patientes en adaptant chaque situation au cas par cas en fonction des éventuelles demandes de la patiente ainsi que de l'évaluation clinique. Conclusion: Le DG n'a pas encore une définition claire considérée comme universelle, bien que ce terme soit utilisé depuis 1970 dans la pratique médicale courante. Les résultats de notre étude correspondent globalement aux résultats de la littérature. De manière générale, force est de constater qu'il n'y a pas de caractéristiques propres aux femmes victimes de DG que ce soit dans notre étude ou dans la littérature, ce qui nous empêche de dresser le portrait exact d'une personne à risque et ainsi prévenir de futurs cas. La prise en charge s'est systématiquement déroulée en collaboration avec une équipe multidisciplinaire. Connaître les circonstances du DG permettrait d'éviter toute stigmatisation et mauvaise prise en charge. Nous ne pouvons pas espérer prévenir totalement le DG mais nous pouvons limiter ses conséquences. Une façon de le faire serait d'amener ce phénomène à la connaissance de tous, qu'ils soient des professionnels de la santé ou non. Pour les médecins, il s'agit de considérer une telle possibilité face à une femme en âge de procréer qui consulte pour des douleurs abdominales ou l'apparition d'autres symptômes liés habituellement à une grossesse comme par exemple les nausées, une prise de poids avec ou sans aménorrhée. Le DG est une expérience souvent traumatique. L'issue n'est pas nécessairement dramatique ni pour la mère, l'enfant, le géniteur ou l'entourage. Plus la découverte se fait tôt dans la grossesse plus il reste de temps pour l'encadrement et l'acceptation de celle-ci.