40 resultados para Protestants. 1753
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Differential protein labeling with 2-DE separation is an effective method for distinguishing differences in the protein composition of two or more protein samples. Here, we report on a sensitive infrared-based labeling procedure, adding a novel tool to the many labeling possibilities. Defined amounts of newborn and adult mouse brain proteins and tubulin were exposed to maleimide-conjugated infrared dyes DY-680 and DY-780 followed by 1- and 2-DE. The procedure allows amounts of less than 5 microg of cysteine-labeled protein mixtures to be detected (together with unlabeled proteins) in a single 2-DE step with an LOD of individual proteins in the femtogram range; however, co-migration of unlabeled proteins and subsequent general protein stains are necessary for a precise comparison. Nevertheless, the most abundant thiol-labeled proteins, such as tubulin, were identified by MS, with cysteine-containing peptides influencing the accuracy of the identification score. Unfortunately, some infrared-labeled proteins were no longer detectable by Western blots. In conclusion, differential thiol labeling with infrared dyes provides an additional tool for detection of low-abundant cysteine-containing proteins and for rapid identification of differences in the protein composition of two sets of protein samples.
Lack of MRI neurohypophyseal bright signal in a child with congenital nephrogenic diabetes insipidus
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Congenital nephrogenic diabetes insipidus (CNDI) is a rare disease characterized by the inability of the kidney to respond to arginine vasopressin (AVP). The absence of the neurohypophyseal 'bright signal' on T1 sequence magnetic resonance imaging (MRI) is considered as an argument in favour of the diagnosis of central diabetes insipidus (CDI). This observation is challenged as we hereby present a case of a child diagnosed with CNDI and who did not present MRI pituitary bright signal. A 6-month-old male presented with failure to thrive, polyuria and polydypsia. Family history revealed that the mother, 35 years of age, had been presenting polydypsia and polyuria, and she was investigated at the age of 6 years with no concluding diagnosis. The patient's physical exam showed a weight of 5215 g (−3 DS) and clinical signs of dehydration. The patient's plasma sodium level was 155 mmol/L, osmolality 305 mOsm/kg and urine osmolality 150 mOsm/kg. Brain MRI showed in T1 sequences the absence of the posterior pituitary bright signal suggesting the diagnosis of CDI (Figure 1). The child was treated with synthetic AVP analogue 1-desamino-8-d-arginine vasopressin (DDAVP) without improvement, which led to the consideration of CNDI. The diagnosis was confirmed by an elevated serum level of AVP of 214 pmol/L (reference value ≤4.34 pmol/L) and by genetic analysis demonstrating and T106C mutation in the V2R (X-linked CNDI). The child was treated with thiazide diuretic and increased fluids with restricted sodium intake. This resulted in catch-up growth and improved neurological development. A follow-up MRI was performed 6 months after the start of therapy with the same technique. At that time, the child's weight had improved to 9310 g (−1.5 DS) corresponding to a gain of 22 g per day, and he did not present any clinical signs of dehydration and had a normal plasma level of sodium (140 mmol/L). MRI showed that the bright signal was still absent.
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Il s'agit dans cet article de faire le point sur la question des relations polono-suisses au XVIIIe siècle, sujet souvent étudié par le passé et éclairé de manière nouvelle grâce à la publication récente de nombreux documents. Un examen systématique du Journal Helvétique (1732-1782) ainsi qu'une mise en valeur des articles « polonais » de l'Encyclopédie d'Yverdon ajoutent à cela des données qui permettent de proposer de nouvelles interprétations quant à la perception de la Pologne dans la Suisse francophone au temps de Stanislas-Auguste. Loin de consolider telle ou telle thèse explicative, par exemple sur la question du républicanisme ou sur les rapport confessionnels entre catholiques polonais et intellectuels protestants de Suisse, le propos tend plutôt à proposer de tenir compte du facteur conjoncturel et fortuit, lié à quelques individualités particulières, et d'éviter de tirer des conclusions par trop généralisantes. Les informations nouvelles qui sont aujourd'hui à disposition permettent de redéfinir les questions plutôt qu'elles n'apportent de réponses plus affirmées.
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(Résumé de l'ouvrage) L'histoire des religions autant dans ses procédés que dans ses concepts est fondée sur la comparaison. Tels le mythe, le sacrifice, l'initiation ou la purification, ces concepts comparatifs ont fini par être neutralisés dans une ontologie à prétention universelle. Des religions on en est revenu à la religion, pour le plus grand profit des théologiens chrétiens, protestants et catholiques, qui y ont trouvé une nouvelle légitimité académique. Raison supplémentaire pour revenir sur les démarches comparatives et pour en critiquer les effets totalisants : la comparaison s'impose comme méthode à condition d'être contrastive et différentielle. Elle induit un regard relativisant et décentré ; ce regard oblique d'une part rend justice aux spécificités des manifestations et pratiques religieuses décrites dans leur diversité ; d'autre part il est la condition même, en sciences humaines en général, d'une position critique, antidote indispensable aux replis disciplinaires et institutionnels de nos contemporains. Les contributions réunies ici à la suite d'une journée d'échange passée à comparer les démarches comparatives en histoire des religions entraînent lectrices et lecteurs des rites du polythéisme grec aux pratiques contemporaines du yoga, en passant par différentes prétentions universalisantes du monothéisme chrétien, par les pratiques de l'hospitalité en régime rabbinique et en hindouisme brahmanique, mais aussi par la question du salut individuel en philosophie néoplatonicien, ne ou en théologie augustinienne, par les gestes de la prière dans les religions amérindiennes et dans la mystique chrétienne ou par les prophétismes chrétien et musulman ; ceci par le biais de méthodes comparatives se fondant sur une démarche historique, structurale, discursive ou cognitive.
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Les monographies consacrées à Jean-Baptiste Perronneau (ca 1715-1783) à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle traduisaient l'engouement pour l'art du XVIIIesiècle qui se déployait dans le Tout Paris de la Belle Époque. Elles rendaient justice au peintre de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, et à l'un des peintres favoris des contemporains des Impressionnistes qu'elles présentaient comme un artiste éclipsé de son vivant par son prestigieux aîné, Maurice Quentin Delatour (1704-1788). La première partie de la thèse étudie la carrière parisienne du peintre, ses appuis artistiques et sociaux, ses pratiques au pastel et à l'huile, de l'agrément en 1746 à la réception en 1753 et avant le début de la période des voyages en 1756. La rivalité avec Delatour, mise en scène dans un esprit d'émulation au Salon du Louvre pendant plus de vingt ans, y est largement évoquée. Un même nombre de portraits exposés fait comprendre que Perronneau avait de son vivant la faveur des artistes et du public. Il permet de mesurer les effets de la rivalité avec le peintre de Cour sur sa carrière. Delatour faisait exposer en 1750 son autoportrait à côté de son portrait demandé à Perronneau. Les qualités des deux peintres étaient comparées par la nouvelle critique. Notre étude s'attache à ce qui les rapproche comme à ce qui les sépare. Dans la deuxième partie, les peintres des milieux artistiques qu'il fréquente, Louis Tocqué, Jean-Baptiste Oudry, Charles Nicolas Cochin, pour citer les principaux, sont convoqués pour évaluer l'art de Perronneau dans ce que Cochin appelle la « ressemblance savante ». Les peintres les plus ambitieux s'attachent à son interprétation malgré les difficultés dues aux réactions de leur clientèle. La façon dont procède Perronneau est ici envisagée suivant deux aspects : d'une part, la composition du portrait selon une idée du naturel qui détermine l'attitude et une certaine imitation des défauts ; d'autre part, l'imitation de la nature qui réside dans les qualités de l'art, et donc picturales, appréciées des amateurs avertis. La façon qui lui est propre est de composer un naturel selon des poses variées, fondé sur la noblesse de l'attitude conjuguée à la simplicité, conformément à l'idéal courtois en vigueur depuis le XVIe siècle ; elle reste immuable au long de sa carrière. Dans l'imitation de la nature, sont mis en évidence des aspects cachés du faire lors de la mise en place du relief de la figure, les références aux maîtres anciens, Rembrandt, Van Dyck, la conscience de la distance à laquelle le tableau doit être vu, qui atténue la vigueur de la touche, comme le fait le verre qui sert aussi de vernis au pastel. L'idée de sprezzatura qui régit la distinction légère de la pose se décèle à la surface de ses portraits à travers l'apparence de facilité qu'il s'attache à leur donner, et jusque dans l'inimitable retouche finale. Grâce à la qualité de sa retouche, Perronneau accroît sensiblement dans certaines oeuvres à partir de 1768 l'expression savante et inventive de son sentiment. Afin de peindre comme il l'entend tout en gagnant sa vie et celle de sa famille, le peintre prend le parti de voyager comme l'y autorisait la libéralité de son statut. Dans la troisième partie est étudiée la trame de ses voyages que constituent les recommandations dont il bénéficie. Les identités des quatre cent dix modèles peints en France et en Europe de 1740 à 1782 sont systématiquement étudiées dans le catalogue ainsi que les conditions de leur rencontre avec le peintre. Elles décrivent une clientèle variée représentative de la mobilité des statuts dans l'Europe d'ancien Régime dont la composante nouvelle est la clientèle du monde de la banque internationale et du grand commerce. Leurs portraits peints à l'étranger ou dans les villes de Province que Perronneau présente au Salon irritent et inquiètent l'élite parisienne et donne lieu à de nouvelles tensions avec l'éternel rival, Delatour, au Salon de 1767. Perronneau se sent à juste titre évincé de Paris. Alors que l'on avait pu penser qu'il avait peu souffert des critiques du philosophe qui ne furent publiées qu'après sa mort, il apparaît que sa réputation pâtit de ses jugements diffusés par les nouvelles à la main au-delà des frontières et jusqu'auprès de la prestigieuse clientèle qui lui était acquise. Le travail sur son la carrière et l'oeuvre de Perronneau permet surtout une compréhension nouvelle de l'art du portrait au milieu du siècle, au moment où la représentation individuelle n'a jamais encore touché un aussi large public et où l'Académie ambitionne d'élever cet art au plus haut degré.
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Hemoglobin and its structures have been described since the 1990s to enhance a variety of biological activities of endotoxins (LPS) in a dose-dependent manner. To investigate the interaction processes in more detail, the system was extended by studying the interactions of newly designed peptides from the γ-chain of human hemoglobin with the adjuvant monophosphoryl lipid A (MPLA), a partial structure of lipid A lacking its 1-phosphate. It was found that some selected Hbg peptides, in particular two synthetic substructures designated Hbg32 and Hbg35, considerably increased the bioactivity of MPLA, which alone was only a weak activator of immune cells. These findings hold true for human mononuclar cells, monocytes and T lymphocytes. To understand the mechanisms of action in more detail, biophysical techniques were applied. These showed a peptide-induced change of the MPLA aggregate structure from multilamellar into a non-lamellar, probably inverted, cubic structure. Concomitantly, the peptides incorporated into the tightly packed MPLA aggregates into smaller units down to monomers. The fragmentation of the aggregates was an endothermic process, differing from a complex formation but rather typical for a catalytic reaction.