148 resultados para Investing technique


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OBJECTIVE: An animal model has been developed to compare the effects of suture technique on the luminal dimensions and compliance of end-to-side vascular anastomoses. METHODS: Carotid and internal mammalian arteries (IMAs) were exposed in three pigs (90 kg). IMAs were sectioned distally to perform end-to-side anastomoses on carotid arteries. One anastomosis was performed with 7/0 polypropylene running suture. The other was performed with the automated suture delivery device (Perclose/Abbott Labs Inc.) that makes a 7/0 polypropylene interrupted suture. Four piezoelectric crystals were sutured on toe, heel and both lateral sides of each anastomosis to measure anastomotic axes. Anastomotic cross-sectional area (CSAA) was calculated with: CSAA = pi x mM/4 where m and M are the minor and major axes of the elliptical anastomosis. Cross-sectional anastomotic compliance (CSAC) was calculated as CSAC=Delta CSAA/Delta P where Delta P is the mean pulse pressure and Delta CSAA is the mean CSAA during cardiac cycle. RESULTS: We collected a total of 1200000 pressure-length data per animal. For running suture we had a mean systolic CSAA of 26.94+/-0.4 mm(2) and a mean CSAA in diastole of 26.30+/-0.5 mm(2) (mean Delta CSAA was 0.64 mm(2)). CSAC for running suture was 4.5 x 10(-6)m(2)/kPa. For interrupted suture we had a mean CSAA in systole of 21.98+/-0.2 mm(2) and a mean CSAA in diastole of 17.38+/-0.3 mm(2) (mean Delta CSAA was 4.6+/-0.1 mm(2)). CSAC for interrupted suture was 11 x 10(-6) m(2)/kPa. CONCLUSIONS: This model, even with some limitations, can be a reliable source of information improving the outcome of vascular anastomoses. The study demonstrates that suture technique has a substantial effect on cross-sectional anastomotic compliance of end-to-side anastomoses. Interrupted suture may maximise the anastomotic lumen and provides a considerably higher CSAC than continuous suture, that reduces flow turbulence, shear stress and intimal hyperplasia. The Heartflo anastomosis device is a reliable instrument that facilitates performance of interrupted suture anastomoses.

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La pose d'un cathéter veineux central peut se faire par plusieurs abords. La connaissance de l'anatomie, du matériel, la maîtrise des détails de la procédure pour chaque type d'abord et une attention particulière à l'asepsie sont des prérequis importants pour limiter les risques de complications et pour donner une information complète et exhaustive au patient. Cet article peut être utilisé comme base pour le développement d'une check-list, utile pour les médecins qui doivent procéder à la pose d'un cathéter veineux central mais qui ne possèdent pas encore une maîtrise du geste. Several approaches exist for central vein catheterization. Mastery of the various steps of this procedure and understanding of the basics of asepsis are critical to prevent any complication. They also built the basis for an exhaustive communication with the patient, to obtain an informed consent. This article can in addition be used to develop a checklist in order to (self-)assess competence in procedural skills

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Arteriovenous malformations (AVMs) may be cured by injecting liquid embolic agents such as Onyx. Reflux, however, can sometimes be difficult to control and may jeopardize a complete embolization. The pressure cooker technique (PCT) was designed to create an anti-reflux plug by trapping the detachable part of an Onyx-compatible microcatheter with coils and glue in order to obtain wedge-flow conditions, thereby enabling a better understanding of macrofistulous AVMs and a more comprehensive, forceful and controlled Onyx embolization. The PCT might enlarge the range of AVMs amenable to endovascular cure. Three illustrative cases are presented.

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Au cours des deux dernières décennies, la technique d'imagerie arthro-scanner a bénéficié de nombreux progrès technologiques et représente aujourd'hui une excellente alternative à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et / ou arthro-IRM dans l'évaluation des pathologies de la hanche. Cependant, elle reste limitée par l'exposition aux rayonnements ionisants importante. Les techniques de reconstruction itérative (IR) ont récemment été mis en oeuvre avec succès en imagerie ; la littérature montre que l'utilisation ces dernières contribue à réduire la dose d'environ 40 à 55%, comparativement aux protocoles courants utilisant la rétroprojection filtrée (FBP), en scanner de rachis. A notre connaissance, l'utilisation de techniques IR en arthro-scanner de hanche n'a pas été évaluée jusqu'à présent. Le but de notre étude était d'évaluer l'impact de la technique ASIR (GE Healthcare) sur la qualité de l'image objective et subjective en arthro-scanner de hanche, et d'évaluer son potentiel en terme de réduction de dose. Pour cela, trente sept patients examinés par arthro-scanner de hanche ont été randomisés en trois groupes : dose standard (CTDIvol = 38,4 mGy) et deux groupes de dose réduite (CTDIvol = 24,6 ou 15,4 mGy). Les images ont été reconstruites en rétroprojection filtrée (FBP) puis en appliquant différents pourcentages croissants d'ASIR (30, 50, 70 et 90%). Le bruit et le rapport contraste sur bruit (CNR) ont été mesurés. Deux radiologues spécialisés en imagerie musculo-squelettique ont évalué de manière indépendante la qualité de l'image au niveau de plusieurs structures anatomiques en utilisant une échelle de quatre grades. Ils ont également évalué les lésions labrales et du cartilage articulaire. Les résultats révèlent que le bruit augmente (p = 0,0009) et le CNR diminue (p = 0,001) de manière significative lorsque la dose diminue. A l'inverse, le bruit diminue (p = 0,0001) et le contraste sur bruit augmente (p < 0,003) de manière significative lorsque le pourcentage d'ASIR augmente ; on trouve également une augmentation significative des scores de la qualité de l'image pour le labrum, le cartilage, l'os sous-chondral, la qualité de l'image globale (au delà de ASIR 50%), ainsi que le bruit (p < 0,04), et une réduction significative pour l'os trabuculaire et les muscles (p < 0,03). Indépendamment du niveau de dose, il n'y a pas de différence significative pour la détection et la caractérisation des lésions labrales (n=24, p = 1) et des lésions cartilagineuses (n=40, p > 0,89) en fonction du pourcentage d'ASIR. Notre travail a permis de montrer que l'utilisation de plus de 50% d'ASIR permet de reduire de manière significative la dose d'irradiation reçue par le patient lors d'un arthro-scanner de hanche tout en maintenant une qualité d'image diagnostique comparable par rapport à un protocole de dose standard utilisant la rétroprojection filtrée.