36 resultados para Capital bancaire


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This paper shows that in a stylized model with two countries, characterized by different levels of financial development, the following facts can be replicated: 1) persistent current account surpluses and 2) high TFP growth in China. Under autarky, entrepreneurs in the emerging country overinvest in short-term projects and underinvest in long-term projects because short-term assets help them secure long-term investments in the presence of credit constraints. This creates an aggregate misallocation of capital. When financial markets integrate, entrepreneurs with long-term projects can have access to cheaper short-term assets abroad, which leaves them more resources to invest in their projects. This both reduces capital misallocations and generates capital outflows.

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Motivated by the Chinese experience, we analyze a semi-open economy where the central bank has access to international capital markets, but the private sector has not. This enables the central bank to choose an interest rate different from the international rate. We examine the optimal policy of the central bank by modelling it as a Ramsey planner who can choose the level of domestic public debt and of international reserves. The central bank can improve savings opportunities of credit-constrained consumers modelled as in Woodford (1990). We find that in a steady state it is optimal for the central bank to replicate the open economy, i.e., to issue debt financed by the accumulation of reserves so that the domestic interest rate equals the foreign rate. When the economy is in transition, however, a rapidly growing economy has a higher welfare without capital mobility and the optimal interest rate differs from the international rate. We argue that the domestic interest rate should be temporarily above the international rate. We also find that capital controls can still help reach the first best when the planner has more fiscal instruments.

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Suite aux graves crises bancaires et financières qui ont secoué la plupart de sociétés occidentales au début des années 1930, on assiste à un foisonnement de réglementations publiques sur les activités bancaires. Parmi les très nombreux pays qui mettent en place des législations bancaires, l'on compte notamment la Suisse et la Belgique. Plus précisément, la loi fédérale suisse sur les banques de novembre 1934 précède de quelques mois l'arrêté royal belge no 185 de juillet 1935. Alors que le contexte historique et l'élaboration respective de chacune de ces réglementations ont déjà fait l'objet de plusieurs analyses, la comparaison et la question des éventuels liens entre ces deux régimes de surveillance bancaire très proches sont encore largement inexplorées. Une analyse détaillée du processus d'élaboration de la réglementation bancaire belge révèle que la loi suisse a joué un rôle de modèle mis en avant en premier chef par les représentants du monde bancaire. Cette influence helvétique a contribué à façonner la régulation bancaire dans une perspective libérale ; elle répondait ainsi à deux besoins essentiels: limiter l'interventionnisme étatique au minimum, et court-circuiter le pouvoir de la banque centrale. Cette parenté de naissance entre les deux lois bancaires trouve son pendant dans les activités clés deux organismes de surveillance créés pour l'occasion, la Commission fédérale des banques à Berne et la Commission bancaire à Bruxelles. Disposant toutes deux de moyens d'actions limités, ces deux instances ont connu des parcours analogues au cours de leurs premières années d'activité.