34 resultados para Anton Paar rotation viscometer
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Purpose: To evaluate the diagnostic value and image quality of CT with filtered back projection (FBP) compared with adaptive statistical iterative reconstructed images (ASIR) in body stuffers with ingested cocaine-filled packets.Methods and Materials: Twenty-nine body stuffers (mean age 31.9 years, 3 women) suspected for ingestion of cocaine-filled packets underwent routine-dose 64-row multidetector CT with FBP (120kV, pitch 1.375, 100-300 mA and automatic tube current modulation (auto mA), rotation time 0.7sec, collimation 2.5mm), secondarily reconstructed with 30 % and 60 % ASIR. In 13 (44.83%) out of the body stuffers cocaine-filled packets were detected, confirmed by exact analysis of the faecal content including verification of the number (range 1-25). Three radiologists independently and blindly evaluated anonymous CT examinations (29 FBP-CT and 68 ASIR-CT) for the presence and number of cocaine-filled packets indicating observers' confidence, and graded them for diagnostic quality, image noise, and sharpness. Sensitivity, specificity, area under the receiver operating curve (ROC) Az and interobserver agreement between the 3 radiologists for FBP-CT and ASIR-CT were calculated.Results: The increase of the percentage of ASIR significantly diminished the objective image noise (p<0.001). Overall sensitivity and specificity for the detection of the cocaine-filled packets were 87.72% and 76.15%, respectively. The difference of ROC area Az between the different reconstruction techniques was significant (p= 0.0101), that is 0.938 for FBP-CT, 0.916 for 30 % ASIR-CT, and 0.894 for 60 % ASIR-CT.Conclusion: Despite the evident image noise reduction obtained by ASIR, the diagnostic value for detecting cocaine-filled packets decreases, depending on the applied ASIR percentage.
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RESUME Fractures du fémur chez les enfants d'âge préscolaire. Expérience avec l'enclouage centromédullaire élastique stable chez 72 enfants Introduction L'immobilisation plâtrée est le traitement le plus fréquemment utilisé pour traiter les fractures du fémur chez les enfants d'âge préscolaire de moins de 6 ans. L'enclouage centromédullaire élastique stable (ECMES), qui a remplacé les immobilisations plâtrées chez les enfants d'âge scolaire, est une alternative qui n'a jamais été étudiée spécifiquement dans la tranche d'âge préscolaire. Matériel et Méthode Nous avons réalisé une étude rétrospective de tous les cas de fractures du fémur chez l'enfant de moins de 6 ans traitées par ECMES dans le service de chirurgie pédiatrique du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois et de l'Hôpital de l'Enfance de Lausanne sur une période de 15 ans. Résultats Parmi les 210 fractures du fémur traitées par ECMES entre le 1.1.1988 et le 31.12.2003, 74 fractures du fémur ont été identifiées chez 73 enfants âgés de 1.5 à 5.9 ans. Ces fractures étaient sous-trochantériennes (n=5), diaphysaires (n=64, dont 5 ouvertes), ou métaphysaires discales (n=4). Le type de fracture était transverse (n=35, dont 2 ouvertes), oblique (n=28, dont 3 ouvertes) au spiroïde (n=11). Quatre fractures étaient comminutives. Le temps opératoire moyen était de 56,9 minutes (limites entre 20 et 155 min.) pour les enfants ne présentant pas d'autre pathologie chirurgicale. Le séjour hospitalier moyen était de 9.1 jours (limites entre 1 et 46 jours) pour tous les enfants n'ayant pas de pathologie associée. Chez les enfants sans lésion ou pathologie associée, la première mise en charge s'est effectuée en moyenne au 14,1 ème jour post-opératoire (limites entre 1 et 42ème jour) alors que la première mobilisation a eu lieu en moyenne dès le 2,7ème jour post-opératoire (limites entre le 1 et le 14ème jour). 64 enfants ont été suivis à long terme avec un recul moyen de. 36,8 mois (limites entre 4 et 124 mois). Nous avons relevés 6 enfants avec une inégalité de longueur de plus d'un centimètre, alors que nous n'avons jamais constaté de défaut de rotation. Durant le 11 premières années de l'étude, 9 enfants ont dû être réopérés pour raccourcissement secondaire de broches extériorisées ou douloureuses sous la peau. Aucun problème de broche n'a été observé après introduction d'une nouvelle pince à couper. 2 réductions de fracture se sont faites à foyer ouvert. Une infection localisée transitoire du point de ponction d'une broche a été notée, sans ostéite associée. Discussion L' ECMES chez le petit enfant est techniquement réalisable sans véritable limite inférieure d'âge. Il favorise la mobilisation et la charge précoces. Les complications sont avant tout en rapport avec la technique et peuvent être évitées. Les résultats sont au moins aussi bons et meilleurs sur certains points que ceux publiés en utilisant les immobilisations. En outre ce traitement évite une longue hospitalisation. Conclusions L'ECMES peut être appliqué aux enfants de moins de 6 ans avec les mêmes bénéfices que ceux observés pour les plus grands, sans en augmenter la morbidité. La limite inférieure d'âge reste à déterminer. Un suivi à long terme s'impose pour vérifier l'absence d'inégalité de longueur des membres inférieurs.
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Different visual stimuli have been shown to recruit different mental imagery strategies. However the role of specific visual stimuli properties related to body context and posture in mental imagery is still under debate. Aiming to dissociate the behavioural correlates of mental processing of visual stimuli characterized by different body context, in the present study we investigated whether the mental rotation of stimuli showing either hands as attached to a body (hands-on-body) or not (hands-only), would be based on different mechanisms. We further examined the effects of postural changes on the mental rotation of both stimuli. Thirty healthy volunteers verbally judged the laterality of rotated hands-only and hands-on-body stimuli presented from the dorsum- or the palm-view, while positioning their hands on their knees (front postural condition) or behind their back (back postural condition). Mental rotation of hands-only, but not of hands-on-body, was modulated by the stimulus view and orientation. Additionally, only the hands-only stimuli were mentally rotated at different speeds according to the postural conditions. This indicates that different stimulus-related mechanisms are recruited in mental rotation by changing the bodily context in which a particular body part is presented. The present data suggest that, with respect to hands-only, mental rotation of hands-on-body is less dependent on biomechanical constraints and proprioceptive input. We interpret our results as evidence for preferential processing of visual- rather than kinesthetic-based mechanisms during mental transformation of hands-on-body and hands-only, respectively.
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Un protocole de tests sur labyrinthe radial permettant d'évaluer la navigation spatial chez l'homme a été réalisé. Ces tests sur labyrinthe radial sont basés sur le protocole utilisé sur l'animal modèle de schizophrénie dans le CNP (Centre de neuroscience psychiatrique) de Lausanne. Les recherches actuelles du CNP ont montré un déficit dans les capacités d'orientation spatiale de ces animaux [13]. Ainsi notre méthodologie consistera à tester des sujets humains dans des tâches de labyrinthe afin d'étudier de la manière la plus équivalente les différents déficits observés dans la pathologie humaine et dans le rat modèle. Cette démarche est à la base d'une approche translationnelle qui combine recherches cliniques et expérimentales. Le travail expérimental a été mené sur deux dispositifs analogues. a) «radial au doigt», ensemble de petits canaux qui peuvent être explorés par le doigt, yeux ouverts ou fermés et dans lesquels des textures différentes tapissent chaque bras. b) «radial sur écran tactile», deux labyrinthes qui comparent deux types d'indice locale, couleurs différentes ou patrons noir-blanc. Dans les deux dispositifs a été prévu une série de tests permettant d'évaluer la mémorisation des indices utilisés en les supprimant temporairement où en les mettant en contradiction. La première perturbation a pour but de tester l'importance du référentiel locale par une rotation de 90° du labyrinthe. La permutation des bras lors d'un dernier essai permet d'induire une situation ou les informations ont été soit correctes spatialement mais incorrectes localement (texture) soit inversement. Ces perturbations des informations sensorielles qui sont fournies au sujet, permettent d'observer les systèmes de repérage et leur poids relatif dans la construction d'un système de référence durant la navigation spatiale. Les résultats du labyrinthe radial au doigt montrent que dans les conditions utilisant les informations visuelles les participants sont sensiblement plus performants. Il est apparu que les informations visuelles prédominent sur les informations proprioceptives et tactiles. Ainsi dans la condition intégrant informations visuospatiales, proprioceptives et tactiles, les sujets basent plus fortement leur navigation spatiale sur les indices visuelles soit locale soit spatiale. Dans cette condition une différence significative de stratégie entre hommes et femmes est apparue. Les hommes se basent majoritairement sur des indices spatiaux tandis que les femmes préfèrent les indices locaux. En présence d'informations tactiles et proprioceptives mais en absence de la vision, les participants utilisent les références spatiale et locale complémentairement sans avoir un système prédominant. Alors que si uniquement les informations proprioceptives sont présentes, les sujets utilisent un système de référence spatiale (globale). Le labyrinthe radial sur écran tactile indique une différence de système de référence selon l'indice local employé. Les couleurs, étant des forts indices locaux, vont favoriser un système de référence local. Au contraire les patrons noirs-blancs sont des indices visiblement très complexes et difficiles à mémoriser qui vont pousser les sujets à utiliser une stratégie de référence spatiale.