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Maximal fat oxidation (MFO), as well as the exercise intensity at which it occurs (Fatmax), have been reported as lower in sedentary overweight individuals but have not been studied in trained overweight individuals. The aim of this study was to compare Fatmax and MFO in lean and overweight recreationally trained males matched for cardiorespiratory fitness (CRF) and to study the relationships between these variables, anthropometric characteristics, and CRF. Twelve recreationally trained overweight (high fatness (HiFat) group, 30.0% ± 5.3% body fat) and 12 lean males (low fatness (LoFat), 17.2% ± 5.7% body fat) matched for CRF (maximal oxygen consumption (V775;O2max) 39.0 ± 5.5 vs. 41.4 ± 7.6 mL·kg(-1)·min(-1), p = 0.31) and age (p = 0.93) performed a graded exercise test on a cycle ergometer. V775;O2max and fat and carbohydrate oxidation rates were determined using indirect calorimetry; Fatmax and MFO were determined with a mathematical model (SIN); and % body fat was assessed by air displacement plethysmography. MFO (0.38 ± 0.19 vs. 0.42 ± 0.16 g·min(-1), p = 0.58), Fatmax (46.7% ± 8.6% vs. 45.4% ± 7.2% V775;O2max, p = 0.71), and fat oxidation rates over a wide range of exercise intensities were not significantly different (p > 0.05) between HiFat and LoFat groups. In the overall cohort (n = 24), MFO and Fatmax were correlated with V775;O2max (r = 0.46, p = 0.02; r = 0.61, p = 0.002) but not with % body fat or body mass index (p > 0.05). Fat oxidation during exercise was similar in recreationally trained overweight and lean males matched for CRF. Consistently, substrate oxidation rates during exercise were not related to adiposity (% body fat) but were related to CRF. The benefits of high CRF independent of body weight and % body fat should be further highlighted in the management of obesity.
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Introduction : Les fractures du membre inférieur (MI) de l'enfant traitées par immobilisation plâtrée engendrent une modification significative de la mobilité exacerbée en cas d'obésité. L'accéléromètre est un outil d'évaluation du degré d'activité physique (AP) de l'enfant scientifiquement validé. Il n'a jamais fait l'objet d'étude chez un enfant ayant souffert d'une fracture du MI. Le but de ce travail était d'identifier les problèmes dans l'utilisation d'un accéléromètre comme moyen de mesure de l'AP après fracture nécessitant une décharge du MI. Une adaptation de la réhabilitation post-traumatique en fonction du BMI pourrait alors être proposée. Méthode : Identification d'enfants âgés de 8 et 15 ans, victimes d'une fracture du membre inférieur, consultant aux urgences de l'Hôpital de l'Enfance d'octobre 2013 à mai 2014 et nécessitant une décharge post-traumatique. Etaient exclus les enfants polytraumatisés ou souffrants d'un déficit mental. Données pré-requises des patients: âge, poids, taille, sexe, mécanisme de l'accident, type de fracture et traitement. Proposition de port d'un Actiwatch® Spectrum au poignet et cheville pour la période de remobilisation en décharge. Identification des avantages et problèmes liés à l'usage de l'appareil durant les premiers 30 jours de la période de réhabilitation. Importance : L'absence totale d'étude sur la mobilité post-fracture, la complexité des problèmes liés à la marche en décharge, les contraintes de l'immobilisation plâtrée et la prévalence grandissante de l'obésité pédiatrique justifient la recherche d'un moyen fiable pour quantifier la mobilité d'un enfant en décharge après traumatisme du MI. Résultats : Sur 43 fractures du MI traitées à l'HEL durant la période de l'étude, 13 enfants identifiés, dont 1 exclu pour maladie psychiatrique, 1 refus de participation, 2 transferts immédiats, 2 non inclus pour causes pratiques. Sept garçons âgés de 11 à 16 ans ont accepté le port de l'Actiwatch® pour une durée variant entre 7 et 27 jours (moyenne 15). Nombre d'activités (NA) médians de 5 enfants: 171,79 ±105,37 [cpm]* à J1 et 219,48 ±145,52 [cpm] à J5. NA totales médianes sur 24h : 114'072±44'791 [cpm] à J1 et 234'452 ±134'775 [cpm] à J5. Une dynamique de regain de mobilité est mise en évidence avec intensités maximales et minimales du nombre d'activités pour chacun. La médiane du temps de sommeil des 5 enfants était de 716± 45,5 [mn]. Les problèmes rencontrés ont été d'ordre mécanique (Un Actiwatch® fut défectueux), d'ordre pratique (un perdu et rendu tardivement, un port intermittent, une réaction allergique au bracelet à 4j de port). Conclusions La compliance à l'utilisation de l'Actiwatch® sur toute la durée de la décharge n'était pas optimale. La mobilité moyenne des enfants était objectivable de par leur dynamique, leur intensité maximale et minimale et comparables vis-à-vis de certaines études. Une différence avec les sujets en surpoids est observable. La durée de sommeil de chaque enfant suggère que l'antalgie administrée en cours de traitement est suffisante. Utiliser ce capteur de manière prolongée et sur un grand collectif d'enfants serait un moyen fiable et simple d'objectiver la dynamique de reprise de l'activité physique chez ces patients. Profil de l'étude : observation de cas.