385 resultados para Perinatal Outcome
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OBJECTIVES: The aims of this study were to determine the etiology, clinical features, and predictors of outcome of new-onset refractory status epilepticus. METHODS: Retrospective review of patients with refractory status epilepticus without etiology identified within 48 hours of admission between January 1, 2008, and December 31, 2013, in 13 academic medical centers. The primary outcome measure was poor functional outcome at discharge (defined as a score >3 on the modified Rankin Scale). RESULTS: Of 130 cases, 67 (52%) remained cryptogenic. The most common identified etiologies were autoimmune (19%) and paraneoplastic (18%) encephalitis. Full data were available in 125 cases (62 cryptogenic). Poor outcome occurred in 77 of 125 cases (62%), and 28 (22%) died. Predictors of poor outcome included duration of status epilepticus, use of anesthetics, and medical complications. Among the 63 patients with available follow-up data (median 9 months), functional status improved in 36 (57%); 79% had good or fair outcome at last follow-up, but epilepsy developed in 37% with most survivors (92%) remaining on antiseizure medications. Immune therapies were used less frequently in cryptogenic cases, despite a comparable prevalence of inflammatory CSF changes. CONCLUSIONS: Autoimmune encephalitis is the most commonly identified cause of new-onset refractory status epilepticus, but half remain cryptogenic. Outcome at discharge is poor but improves during follow-up. Epilepsy develops in most cases. The role of anesthetics and immune therapies warrants further investigation.
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Background Virtual reality (VR) simulation is increasingly used in surgical disciplines. Since VR simulators measure multiple outcomes, standardized reporting is needed. Methods We present an algorithm for combining multiple VR outcomes into dimension summary measures, which are then integrated into a meaningful total score. We reanalyzed the data of two VR studies applying the algorithm. Results The proposed algorithm was successfully applied to both VR studies. Conclusions The algorithm contributes to standardized and transparent reporting in VR-related research.
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When status epilepticus (SE) remains refractory to appropriate therapy, it is associated with high mortality and with substantial morbidity in survivors. Many outcome predictors such as age, seizure type, level of consciousness before treatment, and mostly, etiology, are well-established. A longer duration of SE is often associated with worse outcome, but duration may lose its prognostic value after several hours. Several terms and definitions have been used to describe prolonged, refractory SE, including "malignant SE," "prolonged" SE, and more recently, "super refractory" SE, defined as "SE that has continued or recurred despite 24 hours of general anesthesia (or coma-inducing anticonvulsants)." There are few data available regarding the outcome of prolonged refractory SE, and even fewer for SE remaining refractory to anesthetic drugs. This article reviews reports of outcome after prolonged, refractory, and "super refractory" SE. Most information detailing the clinical outcome of patients surviving these severe illnesses, in which seizures can persist for days or weeks (and especially those concerning "super-refractory" SE) come from case reports and retrospective cohort studies. In many series, prolonged, refractory SE has a mortality of 30% to 50%, and several studies indicate that most survivors have a substantial decline in functional status. Nevertheless, several reports demonstrate that good functional outcome is possible even after several days of SE and coma induction. Treatment of refractory SE should not be withdrawn from younger patients without structural brain damage at presentation solely because of the duration of SE.
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The incidence and outcome of group B streptococcal (GBS) sepsis were assessed prospectively between September 2011 and February 2015 in all tertiary care pediatric hospitals of Switzerland. We describe a low incidence of GBS early-onset sepsis (0.12/1000 livebirths) and a predominance of GBS late-onset sepsis (0.36/1000 livebirths), a pattern that has not been reported in other countries.
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Objectif : Abstract Le but de cette étude consiste à étudier un éventuel lien entre le dosage du traitement de substitution par la Méthadone® pendant la grossesse et les issues obstétricales (rupture prématurée des membranes, menace d'accouchement prématuré), ainsi que néonatales (telles que le retard de croissance intrautérin, l'adaptation néonatale, le sevrage néonatal aux opiacés et l'hypoglycémie néonatale). Nous évaluerons également le développement psychomoteur de l'enfant à court terme (jusqu'à 18 mois de vie) via l'échelle de Griffiths. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective sur 50 femmes enceintes sous Méthadone® suivies au CHUV et ayant accouché entre les années 2000 et 2010, ainsi que sur leurs enfants suivis par l'Unité du Développement du CHUV et évalués moyennant l'échelle du développement psychomoteur appelée Griffiths (il s'agit de 26 enfants entre 6-9 mois et 20 entre 18-19 mois). Pour ce faire, nous avons parcouru les différentes archives du CHUV (informatiques et papiers) dans un premier temps. Ces données ont été ensuite saisies dans un tableau Excel avant d'être analysées via STATA. Résumé des résultats : En fonction du dosage de la Méthadone®, 27% (dose plus faible) à 47 % (dose plus élevée) des femmes de notre collectif accouchent prématurément (p = 0.139). 48 % de leurs nouveau-nés présentent un retard de croissance intra-utérin (RCIU). Ce risque est d'autant plus élevé que la Méthadone est faiblement dosée (p = 0.073). Inversement au RCIU, le risque d'hypoglycémie néonatale croît avec la dose maternelle de Méthadone® (p = 0.148). La survenue du syndrome de sevrage néonatal aux opiacés ainsi que sa durée sont significativement plus importantes lorsque le dosage maternel de Méthadone est élevé (p = 0.022 ; p = 0.0118) ou lors de la prise concomitante de benzodiazépines (p = 0.004 ; p = 0.0129). La prise d'autres substances illicites a elle aussi tendance à prolonger le sevrage (p = 0.065). Entre 6-9 mois de vie, il y a plus de microcéphalie (périmètre crânien inférieur au P10) lorsque les enfants reçoivent une dose plus faible in utéro (p = 0.005). Le développement psychomoteur est quant à lui plus favorable lorsque le traitement de substitution est fortement dosé (p = 0.039) et que l'enfant vit chez sa mère biologique (p = 0.050) ou bénéficie d'un contact maternel régulier (p = 0.008). L'effet du dosage de la Méthadone® (p = 0.683) et du lieu de vie (p = 0.211) sur le développement psychomoteur ont néanmoins tendance à s'estomper entre 18-19 mois de vie. Conclusions : Bien qu'un traitement de substitution par la Méthadone hautement dosé augmente la survenue et la durée du syndrome de sevrage néonatal aux opiacés, il y a maintenant des indices pour un meilleur outcome de l'enfant lorsque la substitution est importante (moins de RCIU, de microcéphalie et un développement psychomoteur plus favorable). A propos de l'issue néonatale, tous les enfants nés de mères toxicodépendantes semblent être à risque d'hypoglycémie néonatale. Implications pratiques : Il serait désormais préférable d'augmenter les doses de substitution des futures mères toxicomanes d'autant plus lorsque celles-ci le réclament et tous leurs enfants devraient bénéficier d'une alimentation précoce et de contrôles glycémiques, même s'ils sont eutrophiques.