375 resultados para Wilkinson, Iain: Suffering : a sociological introduction
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In geriatrics, driving cessation is addressed within the biopsychosocial model. This has broadened the scope of practitioners, not only in terms of assessing fitness to drive, but also by helping to maintain social engagements and provide support for transport transition. Causes can be addressed at different levels by adapting medication, improving physical health, modifying behaviour, adapting lifestyle, or bringing changes to the environment. This transdisciplinary approach requires an understanding of how different disciplines are linked to each other. This article reviews the philosophical principles of causality between fields and provides a framework for understanding causality within the biopsychosocial model. Understanding interlevel constraints should help practitioners overcome their differences, and favor transversal approaches to driving cessation.
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In a cohort study of 182 consecutive patients with active endogenous Cushing's syndrome, the only predictor of fracture occurrence after adjustment for age, gender bone mineral density (BMD) and trabecular bone score (TBS) was 24-h urinary free cortisol (24hUFC) levels with a threshold of 1472 nmol/24 h (odds ratio, 3.00 (95 % confidence interval (CI), 1.52-5.92); p = 0.002). INTRODUCTION: The aim was to estimate the risk factors for fracture in subjects with endogenous Cushing's syndrome (CS) and to evaluate the value of the TBS in these patients. METHODS: All enrolled patients with CS (n = 182) were interviewed in relation to low-traumatic fractures and underwent lateral X-ray imaging from T4 to L5. BMD measurements were performed using a DXA Prodigy device (GEHC Lunar, Madison, Wisconsin, USA). The TBS was derived retrospectively from existing BMD scans, blinded to clinical outcome, using TBS iNsight software v2.1 (Medimaps, Merignac, France). Urinary free cortisol (24hUFC) was measured by immunochemiluminescence assay (reference range, 60-413 nmol/24 h). RESULTS: Among enrolled patients with CS (149 females; 33 males; mean age, 37.8 years (95 % confidence interval, 34.2-39.1); 24hUFC, 2370 nmol/24 h (2087-2632), fractures were confirmed in 81 (44.5 %) patients, with 70 suffering from vertebral fractures, which were multiple in 53 cases; 24 patients reported non-vertebral fractures. The mean spine TBS was 1.207 (1.187-1.228), and TBS Z-score was -1.86 (-2.07 to -1.65); area under the curve (AUC) was used to predict fracture (mean spine TBS) = 0.548 (95 % CI, 0.454-0.641)). In the final regression model, the only predictor of fracture occurrence was 24hUFC levels (p = 0.001), with an increase of 1.041 (95 % CI, 1.019-1.063), calculated for every 100 nmol/24-h cortisol elevation (AUC (24hUFC) = 0.705 (95 % CI, 0.629-0.782)). CONCLUSIONS: Young patients with CS have a low TBS. However, the only predictor of low traumatic fracture is the severity of the disease itself, indicated by high 24hUFC levels.
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De la sociologie de l'immigration vers les études transnationales? Les multiples approches de la sociologie des migrations en France.
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The use of data visualization in history leads to contradictory reactions: some are fascinated by its heuristic potential and forget their critical faculties while others reject this practice, suspecting it of hiding explanatory weaknesses. This paper proposes a distinction between demonstration visualization and research visualization, reminding that scholars should not only use data visualization for communication purposes, but also for the research itself. It is particularly in its more complex form that this research visualization category will be approached here: network analysis.
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Pour répondre à ces questions sur les enjeux du parcours de soins, nous allons estimer les recours aux médecins ambulatoires en 2003 à partir de l'enquête Santé Insee. Nous nous attacherons plus particulièrement à l'étude de la demande de consultations hors parcours de soins en fonction des déterminants sociodémographiques, économiques et éducatifs. L'objectif est d'évaluer si le cadre de la loi à la potentialité de bouleverser les pratiques de recours aux médecins ambulatoires, et d'évaluer les personnes qui ne s'inscrivent pas dans le schéma du parcours de soins coordonné et d'estimer les impacts possibles des incitations financières mises en place. Nous essayerons ensuite, au regard de nos résultats, de comprendre les objectifs de politique publique de cette réforme. [P. 15]
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Contexte : Parmi les infections nosocomiales, le Staphylocoque méticilline résistant (MRSA) est le germe pathogène le plus couramment identifié dans les hôpitaux du monde entier. La stratégie de contrôle des MRSA au CHUV implique le dépistage des patients à risque. Avec la méthode de dépistage par culture, le temps d'attente est de plusieurs jours. Ceci occasionne des problèmes dans la gestion des flux des patients, principalement à cause des mesures d'isolement. Pour réduire le temps d'attente, l'hôpital envisage d'utiliser une méthode de diagnostic rapide par "polymerase chain reaction" (PCR). Méthodologie : Les données concernant les dépistages réalisés, dans trois services durant l'année 2007, ont été utilisées. Le nombre de jours d'isolement a d'abord été déterminé par patient et par service. Ensuite une analyse des coûts a été effectuée afin d'évaluer la différence des coûts entre les deux méthodes pour chaque service. Résultats : Le principal impact économique de la méthode par PCR dépend principalement du nombre de jours d'isolements évités par rapport à la méthode de culture. Aux services de soins, l'analyse a été menée sur 192 dépistages. Quand la différence de jours d'isolement est de deux jours, le coût des dépistages diminue de plus de 12kCHF et le nombre de jours d'isolement diminue de 384 jours. Au centre interdisciplinaire des urgences, sur 96 dépistages, le gain potentiel avec la méthode PCR est de 6kCHF avec une diminution de 192 jours d'isolement. Aux soins intensifs adultes, la méthode de dépistage par PCR est la méthode la plus rentable avec une diminution des coûts entre 4KCHF et 20K CHF et une diminution des jours d'isolement entre 170 et 310. Pour les trois services analysés, les résultats montrent un rapport coût-efficacité favorable pour la méthode PCR lorsque la diminution des jours d'isolement est supérieure à 1.3 jour. Quand la différence de jours d'isolement est inférieure à 1.3, il faut tenir compte d'autres paramètres, comme le coût de matériel qui doit être supérieur à 45.5 CHF, et du nombre d'analyses par dépistage, qui doit être inférieur à 3, pour que la PCR reste l'alternative la plus intéressante. Conclusions : La méthode par PCR montre des avantages potentiels importants, tant économiques qu'organisationnels qui limitent ou diminuent les contraintes liées à la stratégie de contrôle des MRSA au CHUV. [Auteure, p. 3]
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Les problèmes de santé mentale au travail constituent un défi à la fois clinique, professionnel, économique et de santé publique. Les coûts totaux qu'ils génèrent en Suisse équivalent à 3,2 % du produit intérieur brut (PIB) suisse et ils aboutissent très souvent à un licenciement. La grande majorité des personnes sont soignées par un médecin de premier recours. L'Institut de Santé au Travail propose une consultation spécialisée dans les questions de souffrance au travail, offrant aux soignants de première ligne un avis ou un soutien pluridisciplinaire, dans une perspective collaborative des soins. Son action, adaptée aux besoins de chaque situation, va d'un avis à une orientation vers des spécialistes pouvant étoffer durablement le réseau (suivi psychiatrique, programme de soutien à l'emploi, avis juridique ou social). Mental health problems at work constitute a challenge in the clinical feld, as well in the professional, the economic and the public health perspective. The total costs they generate in Switzerland are equivalent to 3.2% of the Swiss gross domestic product and they very often lead to dismissal. The vast majority of people are treated by their primary care physician. The Institute for Work and Health features a specialized consultation on the topic of suffering at work, offering the primary care physicians a pluridisciplinary advice or support, in a collaborative care prospect. Its action, adapted to each situation's needs, goes from an advice to a referral to specialists that can strengthen the network on a long-term basis (mental health follow-up, supported employment program, legal or social advice).