319 resultados para AUTOSOMAL-RECESSIVE DEAFNESS


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Diastrophic dysplasia (DTD) is a recessive chondrodysplasia caused by mutations in SLC26A2, a cell membrane sulfate-chloride antiporter. Sulfate uptake impairment results in low cytosolic sulfate, leading to cartilage proteoglycan (PG) undersulfation. In this work, we used the dtd mouse model to study the role of N-acetyl-l-cysteine (NAC), a well-known drug with antioxidant properties, as an intracellular sulfate source for macromolecular sulfation. Because of the important pre-natal phase of skeletal development and growth, we administered 30 g/l NAC in the drinking water to pregnant mice to explore a possible transplacental effect on the fetuses. When cartilage PG sulfation was evaluated by high-performance liquid chromatography disaccharide analysis in dtd newborn mice, a marked increase in PG sulfation was observed in newborns from NAC-treated pregnancies when compared with the placebo group. Morphometric studies of the femur, tibia and ilium after skeletal staining with alcian blue and alizarin red indicated a partial rescue of abnormal bone morphology in dtd newborns from treated females, compared with pups from untreated females. The beneficial effect of increased macromolecular sulfation was confirmed by chondrocyte proliferation studies in cryosections of the tibial epiphysis by proliferating cell nuclear antigen immunohistochemistry: the percentage of proliferating cells, significantly reduced in the placebo group, reached normal values in dtd newborns from NAC-treated females. In conclusion, NAC is a useful source of sulfate for macromolecular sulfation in vivo when extracellular sulfate supply is reduced, confirming the potential of therapeutic approaches with thiol compounds to improve skeletal deformity and short stature in human DTD and related disorders.

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Due to imbalance in genetic material contribution, gynecological samples collected following a sexual assault are challenging to process in order to resolve the male contributor's DNA profile. We set up a new and fast procedure for the recovery and separation of cells from cotton swabs, or other supports. Using spermatozoa specific CD52 antibody coupled to magnetic beads along with magnetic columns, this procedure was first developed and optimized by flow cytometry. It allows the recovery of two enriched cell fractions: a sperm fraction, mostly enriched with the alleged offender's spermatozoa, and a non-sperm fraction, mostly enriched with cells from the victim. Processing fresh as well as six months old mock samples, made of buccal swabs loaded with sperm dilutions, resulted in full single NGM SElect DNA profiles of the sperm donors, respectively the epithelial cells donors, for the sperm and the non-sperm fractions. Untreated duplicate samples processed in parallel only provided the autosomal DNA profiles of the epithelial cells donors. This new procedure can be rapidly tested and adopted by forensic laboratories worldwide as it uses material already commercially available. Moreover it can be easily automated with existing platform, and could therefore provide a mean to rapidly reduce existing backlogs.

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Purpose: To report the clinical and genetic study of a child with bilateral anophthalmia. Methods: A 14-year-old Egyptian boy, born from consanguineous parents, underwent a general and a full ophthalmological examination. Mutation screen of the A/M genes with recessive inheritance was done stepwise and DNA was analyzed by Sanger sequencing. Results: Bilateral anophthalmia, arachnodactyly of the feet and high arched palate were observed on general examination. The parents were first cousins and healthy. Sequencing analysis revealed a novel compound heterozygous mutation in one of the copy of exon 2 of VSX2 and a possible deletion of at least exon 2 on the other allele. Conclusions: A compound heterozygous VSX2 mutation associated with anophthalmia was identified in a patient from an Egyptian consanguineous family. This report brings the number of VSX2 mutation in anophthalmia/microphthalmia (A/M) to 13. Functional consequences of the reported changes still need to be characterized, as well as the percentage of A/M caused by mutations in the VSX2 gene. This family also shows that despite consanguinity, heterozygous mutations can also happen and one should not restrict the molecular analysis to homozygous mutations.

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La cardiomyopathie hypertrophique (CMH) est la maladie cardiaque monogénique la plus fréquente, touchant environ 1 individu sur 500 dans la population (1,2). L'étiologie est familiale dans la majorité des cas avec une transmission de type autosomal dominant à pénétrance variable. Deux gènes principaux sont à l'origine de la maladie chez 70% des patients avec un test génétique positif. Il s'agit des gènes qui codent pour la chaine lourde β de la myosine (MYH7) et la protéine C liant la myosine (MYBPC3) (1-3). La CMH est définie par la présence d'une hypertrophie myocardique « inadéquate » car se développant en l'absence d'une cause d'augmentation de la post-charge (HTA, sténose aortique, membrane sous-aortique), d'une pathologie infiltrative ou d'un entrainement physique (4,5). Le plus souvent asymétrique et affectant préférentiellement le septum, cette hypertrophie s'accompagne dans près de deux tiers des cas d'une obstruction dynamique sous-aortique de la chambre de chasse du ventricule gauche par la valve mitrale (systolic anterior motion ou SAM). Cette obstruction est à la fois la conséquence du rétrécissement de la chambre de chasse par l'hypertrophie septale mais également d'un malpositionnement de la valve mitrale (6-8). On parle alors de Cardiomyopathie Hypertrophique et Obstructive (CMHO). L'obstruction - présente au repos dans 50% des cas et uniquement après manoeuvres de provocation dans l'autre moitié des cas (manoeuvre de Valsalva, test de vasodilatation par nitrite d'amyle) est à l'origine d'un gradient de pression entre le ventricule gauche et l'aorte, et donc d'une surcharge de pression pour le ventricule gauche. Cette surcharge de pression est à l'origine des symptômes classiquement rencontrés soit dyspnée et angor d'effort, présyncope voire syncopes à l'effort. Un gradient sous-aortique de plus de 50 mmHg (mesuré au repos ou après provocation) est considéré comme un gradient à valeur pronostique (6-8) et justifiant un traitement si associé à des symptômes. Le traitement médical des formes obstructives repose sur l'administration de substances inotropes négatives et/ou susceptibles de favoriser la relaxation myocardique tels que les béta-bloqueurs, les antagonistes du calcium et le disopyramide - pris isolément ou en association. Pour les nombreux patients qui deviennent réfractaires ou intolérants à ces traitements, deux interventions peuvent leur être proposées pour lever l'obstruction : une myotomie-myectomie chirurgicale du septum (9,10) ou une alcoolisation du septum par voie percutanée (7,8). Les indications à ces interventions sont les suivantes (7,8,11) : 1. Symptômes (dyspnée de classe fonctionnelle NYHA III ou IV, angor de classe fonctionnelle CCS III ou IV, syncope, ou présyncope) réfractaires au traitement médical ou intolérance du patient au traitement. Une dyspnée de classe II est considérée suffisante dans le cas de jeunes patients. 2. Obstruction sous-aortique avec gradient supérieur ou égal à 50 mmHg, au repos ou après manoeuvre de provocation, associée à une hypertrophie septale et à un mouvement systolique antérieur de la valve mitrale (effet SAM) 3. Anatomiecardiaquefavorableàuntraitementinvasif(épaisseurduseptumde plus de 16 mm) Si la myectomie chirurgicale reste la méthode de référence (12-18), l'alcoolisation septale du myocarde par voie percutanée est devenue un des traitements de choix dans la thérapie de la Cardiomyopathie Hypertrophique Obstructive réfractaire. Elle consiste à repérer par coronarographie l'artère septale nourrissant le septum basal hypertrophié, puis à y introduire un petit ballon pour isoler ce territoire du reste du lit coronaire avant d'y injecter une dose d'alcool à 95% comprise entre 1 et 5 cc. On crée ainsi un infarctus chimique, technique qui fut dans le passé utilisée pour le traitement de certaines tumeurs. Les effets ne sont pas immédiats et nécessitent généralement 2-3 semaines avant de se manifester. On assiste alors à une diminution progressive de l'épaisseur du myocarde nécrosé (7), à la disparition progressive de l'obstruction et à l'amélioration / disparition des symptômes. La question de savoir qui de la chirurgie ou de l'alcoolisation est le plus efficace a été source de nombreux débats (7,11-13,18). Par rapport à la chirurgie, les avantages de la méthode percutanée sont les suivants (11,14,15,18,19) : - Efficacités hémodynamique et fonctionnelle jugées comparable à la chirurgie selon les études - Taux de morbidité et de mortalité très faible et non supérieure à la chirurgie - Absence de sternotomie - Diminution de la durée de l'hospitalisation et surtout de la période de convalescence, le patient pouvant reprendre une activité dès son retour à domicile Certains experts émettent néanmoins des doutes quant à l'innocuité à long terme de la méthode, les zones nécrotiques pouvant servir de terrain arythmogène. Pour ces raisons, la méthode n'est pas recommandée chez les patients de moins de 40 ans (6,8). Le risque majeur de l'alcoolisation du septum proximal réside dans l'induction d'un bloc atrio-ventriculaire complet chimique, le noeud atrio-ventriculaire étant justement situé dans cette région. Ce risque augmente avec la quantité d'alcool administrée et nécessite, si persistance après trois jours, l'implantation d'un pacemaker à demeure. Selon les centres, le taux d'implantation d'un stimulateur varie ainsi entre 7% et 20% (7,14,20). L'efficacité clinique et l'incidence des complications est donc en partie liée à la compétence technique et à l'expérience de l'opérateur (7,14), mais aussi aux choix des patients. Il peut donc varier grandement selon les centres médicaux. L'étude proposée vise à analyser les résultats de l'alcoolisation obtenus à Lausanne, jusqu'à présent pas encore été étudiés, et à les comparer à ceux de la littérature.