482 resultados para Soins infirmiers--Pratique
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Que pensent les praticiens de la notion de supervision ? Comment la définissent-ils et quelle place lui accordent-ils dans la pratique clinique et dans la formation des jeunes futurs psychologues ? Quelques éléments de réponse à partir d'une enquête nationale.
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The complexity and difficulty of assessing psychiatric care for children and adolescents is a widely accepted reality. However, this should not discourage necessary efforts to stress the richness and efficiency of clinical practices, regardless of their theoretical models. We present the results of a quality-like survey addressing patient satisfaction and therapeutic alliance conducted in 2007 in an outpatient ward of the department of psychiatry for children and adolescents of the University of Lausanne (Service Universitaire de Psychiatrie de l'Enfant et de l'Adolescent - SUPEA, Lausanne). We developed a questionnaire on the basis of a "traditional" patient satisfaction survey, consisting of questions dealing with a range of different types of ambulatory settings and evaluating: access to care, quality of reception, patient's perception of the type of care and support offered, the therapeutic alliance and global satisfaction. Questions regarding the therapeutic alliance were based on the Revised Help Alliance Questionnaire (HAQ-II, Lester Luborski). Questionnaires were anonymous and self-administered by children from 10 years old up and parents separately. High levels of global satisfaction were reported (80% satisfied or very satisfied). Certain specific aspects seem to influence the global satisfaction level and therapeutic alliance. Patients with self-reported anxiety problems were less satisfied than those with selfreported conduct problems. The mode of reference of the patient, self or by parents versus by school or social workers, affected the perceived alliance. A higher frequency of sessions was also related to a better perceived alliance and satisfaction.
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Approximately 1% of the fetuses present some dilatation of their urinary tract in utero. More than 50% of these antenatally detected hydronephrosis will disappear spontaneously after birth. The other 50% comprises ureteropelvic junction obstruction, vesico-ureteral reflux and primary megaureters. Postnatal radiological evaluation (renal ultrasonography and VCUG) is performed in every infant with a significantly dilated renal pelvis (> 8 mm between 20 and 30 weeks or > 10 mm after 30 weeks in utero). Renal nuclear scan should be done in every child with significant/worsening post-natal hydronephrosis. Antibioprophylaxis will be started from birth to prevent urinary tract infection. Medical or surgical approach will be chosen in the light of the uroradiological exam results and the clinical progress.
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Many studies show strong variation of health consumption between regions, suggesting that theses variations are related to the uncertainty of medical practice or to other factors related to health services or patients attitude. However the statistical interpretation of these variations is far from easy: apart from usual and specific information bias, there are statistical problems when observing incidence of events like health care consumption: it is in fact a rare event, which is observed within small population, and among regions with unequal number of person. Therefore, most of the variation reported might be well explained by a purely statistical phenomenon. This paper presents some aspects of this variability for three common indicators of variation, and suggest the use of ad hoc simulation to get statistical criteria.
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Contexte¦Le VIH reste une des préoccupations majeures de santé publique dans le monde. Le nombre de patients infectés en Europe continue de croître et s'élève, en 2008, à 2.3 millions (1). De plus, environ 30 % des personnes séropositives ignorent leur statut et, de ce fait, contribuent à la propagation de l'épidémie. Ces patients sont responsables de la moitié des nouveaux cas du VIH (2) ; ils transmettent, en effet, 3.5 fois plus l'infection que les patients dont le diagnostic est connu (3).¦Aux USA, en raison de l'épidémiologie actuelle du VIH, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont, en septembre 2006, mis le point sur la nécessité d'étendre drastiquement les tests et, de ce fait, ont publié de nouvelles recommandations. Non seulement, le test devra dépasser les groupes à risque dans les zones à grande prévalence mais aussi, être répandu à toute la population adulte de 13 à 64 ans sauf si la prévalence du VIH est en dessous de 0.1 % (4). Cette démarche est appelée routine opt-out HIV screening et plusieurs arguments parlent en faveur d'un dépistage systématique. Cette maladie rempli tout d'abord les 4 critères pour l'introduction d'un dépistage systématique : une maladie grave pouvant être mise en évidence avant l'apparition des symptômes, son diagnostic améliore la survie par une progression moins rapide et diminution de la mortalité, des tests de dépistage sensibles et spécifiques sont disponibles et les coûts sont moindres en comparaison aux bénéfices (5). Aux USA, 73 % des patients diagnostiqués à un stade avancé de l'infection VIH entre 2001 et 2005 avaient eu recours à l'utilisation des systèmes de soins au moins une fois dans les 8 ans précédant le diagnostic (6). Ces occasions manquées font aussi partie des arguments en faveur d'un dépistage systématique. En règle générale, le médecin se basant uniquement sur les symptômes et signes, ainsi que sur l'anamnèse sexuelle sous-estime la population à tester. Ce problème de sélection des candidats n'a plus lieu d'être lors d'un tel screening. Après cette publication des recommandations du CDC, qui introduit le dépistage systématique, il a été constaté que seulement 1/3 du personnel soignant interrogé connaissait les nouvelles directives et seulement 20 % offrait un dépistage de routine à tous les patients concernés (7). Cette étude nous montre alors qu'il est impératif de vérifier le niveau de connaissances des médecins après la publication de nouvelles recommandations.¦Devant le problème de l'épidémie du VIH, la Suisse opte pour une stratégie différente à celle des Etats-Unis. La Commission d'experts clinique et thérapie VIH et SIDA (CCT) de l'OFSP a tout d'abord publié, en 2007, des recommandations destinées à diminuer le nombre d'infections VIH non diagnostiquées, grâce à un dépistage initié par le médecin (8). Cette approche, appelée provider initiated counselling and testing (PICT), complétait alors celle du voluntary counselling and testing (VCT) qui préconisait un dépistage sur la demande du patient. Malheureusement, le taux d'infections diagnostiquées à un stade avancé a stagné aux environs de 30 % jusqu'en 2008 (9), raison pour laquelle l'OFSP apporte, en 2010, des modifications du PICT. Ces modifications exposent différentes situations où le test du VIH devrait être envisagé et apportent des précisions quant à la manière de le proposer. En effet, lors d'une suspicion de primo-infection, le médecin doit expliquer au patient qu'un dépistage du VIH est indiqué, un entretien conseil est réalisé avec des informations concernant la contagiosité élevée du virus à ce stade de l'infection. Si le patient présente un tableau clinique qui s'inscrit dans le diagnostic différentiel d'une infection VIH, le médecin propose le test de manière systématique. Il doit alors informer le patient qu'un tel test sera effectué dans le cadre d'une démarche diagnostique, sauf si celui-ci s'y oppose. Enfin, dans d'autres situations telles que sur la demande du patient ou si celui-ci fait partie d'un groupe de population à grande prévalence d'infection VIH, le médecin procède à une anamnèse sexuelle, suivie d'un entretien conseil et du test si l'accord explicite du patient a été obtenu (10).¦Nous pouvons donc constater les différentes stratégies face à l'épidémie du VIH entre les USA et la Suisse. Il est nécessaire d'évaluer les conséquences de ces applications afin d'adopter la conduite la plus efficace en terme de dépistage, pour amener à une diminution des transmissions, une baisse de la morbidité et mortalité. Aux USA, des études ont été faites afin d'évaluer l'impact de l'approche opt-out qui montrent que le screening augmente la probabilité d'être diagnostiqué (11). En revanche, en Suisse, aucune étude de ce type n'a été entreprise à l'heure actuelle. Nous savons également qu'il existe un hiatus entre la publication de nouvelles recommandations et l'application de celles-ci en pratique. Le 1er obstacle à la mise en oeuvre des guidelines étant leur méconnaissance (12), il est alors pertinent de tester les connaissances des médecins des urgences d'Hôpitaux de Suisse au sujet des nouvelles recommandations sur le dépistage du VIH de l'OFSP de mars 2010.¦Objectifs¦Montrer que les recommandations de l'OFSP de mars 2010 ne sont pas connues des médecins suisses.¦Méthodes¦Nous testerons la connaissance des médecins concernant ces recommandations via un questionnaire qui sera distribué lors d'un colloque organisé à cet effet avec tous les médecins du service des urgences d'un même établissement. Il n'y aura qu'une séance afin d'éviter d'éventuels biais (transmission d'informations d'un groupe à un autre). Ils recevront tout d'abord une lettre informative, accompagnée d'un formulaire de consentement pour l'utilisation des données de manière anonyme. La feuille d'information est rédigée de façon à ne pas influencer les candidats pour les réponses aux questions. Le questionnaire comprend deux parties, une première qui comprend divers cas cliniques. Les candidats devront dire si ces situations se trouvent, selon eux, dans les nouvelles recommandations de l'OFSP en termes de dépistage du VIH et indiquer la probabilité d'effectuer le test en pratique. La deuxième partie interrogera sur la manière de proposer le test au patient. La durée nécessaire pour remplir le questionnaire est estimée à 15 minutes.¦Le questionnaire élaboré avec la collaboration de Mme Dubois de l'UMSP à Lausanne et vont être testés par une vingtaine de médecins de premier recours de Vidy Med et Vidy Source, deux centres d'urgences lausannois.¦Réstulats escomptés¦Les médecins suisse ne sont pas au courant des nouvelles recommandations concernant le dépistage du VIH.¦Plus-value escomptée¦Après le passage du questionnaire, nous ferons une succincte présentation afin d'informer les médecins au sujet de ces recommandations. Aussi, l'analyse des résultats du questionnaire nous permettra d'agir au bon niveau pour que les nouvelles recommandations de l'OFSP de mars 2010 soient connues et appliquées, tout en ayant comme objectif l'amélioration du dépistage du VIH.
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Introduction : Bacteremia are among the leading forms of severe infections requiring ICU management, and have been reported to be associated with important morbidity and mortality. Bloodstream infection (BSI) can be classified as hospital-acquired (HA), healthcare-associated (HCA) and community-acquired (CA). Each type has its own characteristics and outcome. Methods : We analyzed all consecutive episodes of bacteremia occurring in patients hospitalized in our mixed 32-bed ICU over a 12 month period (01.10.2009-30.09.2010). HA BSI were prospectively included in a multicenter study (EUROBACT). We adapted the case report form to analyze retrospectively all other cases of BSI. Chi-square tests were used for the categorical variables and ANOVA tests for the continuous variables. Results : Bacteremia occurred in 103 patients (120 bacteria) for an incidence-density of 49.3 episodes/1000 admissions. Among HA episodes, about one quarter of episodes was related to vascular accesses, including two thirds acquired outside of the ICU. Concerning HCA BSI, two-thirds originated from the urinary tract. In contrast, a respiratory origin was found in one third of CA episodes. Multiresistant microorganisms were more frequent in HA and HCA BSI. The overall mortality was 32%, as compared to 7.9% and 13.6% for the overall ICU and hospital mortality of other ICU patients over the same period, respectively. In a multivariate model, age (1.06 [1.02-1.11]), septic shock (3.11 [1.16-8.33]) and renal remplacement (7.81 [1.50, 14.93]) were significantly associated with a fatal outcome. Conclusion : Two-thirds of bacteremia documented among ICU patients were nosocomial and in contrast to those community-acquired, Gram-negatives represented the majority of them. However, CA bacteremia were associated with a higher rate of septic shock and death. The microbiological characteristics of HCA episodes were more similar to those HA, that is why it is important to individualize this category in order to adapt the antibiotics.
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Bien que la transition des soins pédiatriques aux soins adultes soit extrêmement importante pour les adolescents souffrant de maladies chroniques, celle-ci se limite le plus souvent à un simple transfert. L'objectif de cet article est de décrire les barrières au bon déroulement de la transition du point de vue du patient et de sa famille, des professionnels de la santé et du système de soins; de détailler les éléments clés pour que la transition soit la moins traumatique possible; et d'énoncer les différentes approches proposées dans la littérature. [Abstract] The transition from pediatric to adult care of chronically ill adolescents Even though the transition from pediatric to adult health care is extremely important for chronically ill adolescents, most of the times it is limited to a simple transfer The objective of this paper is to describe the barriers to a smooth transition from the point of view of the patient and his/her family, the health professionals and the health system, to review the key elements for a smooth transition, and to address the different approaches proposed in the literature.
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Compared to total allergenic extracts, recombinant allergens available for specific IgE measurement represent an important advance in the diagnosis and treatment of IgE-mediated allergies. Recombinant allergens lead to define the sensitization profile of allergic patients, to identify markers of sensitization and to understand better polysensitivities related to cross-reactions and markers of severity of allergic reactions. They also contribute to the decision to establish tolerance induction (allergen specific immunotherapy) and the optimal selection of the allergenic composition of the vaccine.