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Resumo:
Selective pressures related to gene function and chromosomal architecture are acting on genome sequences and can be revealed, for instance, by appropriate genometric methods. Cumulative nucleotide skew analyses, i.e., GC, TA, and ORF orientation skews, predict the location of the origin of DNA replication for 88 out of 100 completely sequenced bacterial chromosomes. These methods appear fully reliable for proteobacteria, Gram-positives, and spirochetes as well as for euryarchaeotes. Based on this genome architecture information, coorientation analyses reveal that in prokaryotes, ribosomal RNA (rRNA) genes encoding the small and large ribosomal subunits are all transcribed in the same direction as DNA replication; that is, they are located along the leading strand. This result offers a simple and reliable method for circumscribing the region containing the origin of the DNA replication and reveals a strong selective pressure acting on the orientation of rRNA genes similar to the weaker one acting on the orientation of ORFs. Rate of coorientation of transfer RNA (tRNA) genes with DNA replication appears to be taxon-specific. Analyzing nucleotide biases such as GC and TA skews of genes and plotting one against the other reveals a taxonomic clusterization of species. All ribosomal RNA genes are enriched in Gs and depleted in Cs, the only so far known exception being the rRNA genes of deuterostomian mitochondria. However, this exception can be explained by the fact that in the chromosome of the human mitochondrion, the model of the deuterostomian organelle genome, DNA replication, and rRNA transcription proceed in opposite directions. A general rule is deduced from prokaryotic and mitochondrial genomes: ribosomal RNA genes that are transcribed in the same direction as the DNA replication are enriched in Gs, and those transcribed in the opposite direction are depleted in Gs.
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Bien que la lutte contre le dopage poursuive de nombreux objectifs à fin de détection, réduction, neutralisation et/ou prévention du dopage, l'approche actuelle se focalise essentiellement sur le processus judiciaire. A l'instar de la prise de décision dans le domaine de l'application de la loi, l'antidopage pourrait voir la portée et l'efficacité de son activité s'améliorer sensiblement en s'appuyant sur le Renseignement Forensique. En effet, des bénéfices notables pourraient découler d'une récolte d'information à plus large spectre, suivie d'une structuration et d'un traitement des données approfondis. Le Renseignement Forensique pourrait apporter une dimension logique étendue à l'interprétation des données relatives aux activités de dopage afin de supporter une approche globale et proactive outrepassant les limitations de l'approche actuelle réactive et du cas par cas. L'information provenant d'une variété de sources telles que des études physiologiques, épidémiologiques et sociologiques alimenterait une mémoire organisée afin de fournir du renseignement en temps réel sur la taille, la gravité et l'évolution de tout phénomène relatif au dopage. Du fait de la complexité du dopage, intégrer ces éléments aux résultats de chimie analytique des athlètes et au suivi longitudinal des biomarqueurs de dopage serait d'une grande aide pour élaborer des stratégies adaptées à chaque situation, que le phénomène soit global ou un cas isolé. Le processus du renseignement se fonde avant tout sur un raisonnement logique. La polyvalence et la flexibilité en découlant seraient de précieux atouts pour détecter, neutraliser, mettre fin et/ou prévenir le dopage, individuel ou organisé, ou le trafic de produits dopants. Cette méthodologie permettrait également d'affiner le ciblage des athlètes ou équipes et de fournir des preuves de dopage en l'absence de résultats d'analyses anormaux. Ainsi, par le Renseignement Antidopage une réponse proactive pourrait être proposée à tout phénomène de dopage potentiel ou émergent, ou aux problèmes existants en présentant des actions et/ou politiques innovantes.