346 resultados para Voroncova, O. P.: Toponimika Respubliki Marij Èl


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L'hypophosphatémie sévère définie comme une phosphatémie plasmatique < 0.32 mmol/l (Norme : 0.8-1-4 mmol/l) est associé à une morbidité et mortalité accrues. Il s'agit d'un trouble électrolytique dont la prévalence a été évaluée entre 0.24-0.42 % dans une population d'un hôpital général. Un nombre considérable de maladies et de situations cliniques ont été identifiées comme étant associées à une hypophosphatémie. Méthodologie Etude rétrospective chez les patients du service de médecine interne du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV, Lausanne) au cours de la période 2008-2010 qui ont présenté au moins un épisode de hypophosphatémie sévère définie comme une phosphatémie ≤ 0.35 mmol/l. Nous avons obtenu les données sur l'âge, le sexe, et les taux plasmatiques de : calcium, albumine, créatinine, bicarbonate veineux, glucose et acide urique.Nous avons étudié la prévalence de l'hypophosphatémie sévère et les pathologies associées. Comparaisondans une analyse cas-contrôles des caractéristiques des patients avec hypophosphatémie sévère et ceux ayant des valeurs de phosphate plasmatiques normales(0.8-1.4 mmol/l). Résultats La prévalence des patients ayant présenté au moins une valeur de phosphatémie ≤0.35 mmol/l pendant l'hospitalisation est de 1.3% sur les trois années cumulées. Chez les 84 patients avec hypophosphatémie sévère, la majorité présente plusieurs causes concomitantes. Nous avons retrouvé les étiologies suivantes : dénutrition sévère, 59.5% ; dialyse, 34.5% ; diarrhées chroniques, 23.8% ; consommation chronique d'alcool, 21.4% ; syndrome de renutrition inappropriée (refeeding syndrome), 20.3% et hyperparathyr¯disme primaire, 4.8%. L'hypokaliémie, l'hypocalcémie et l'hypomagnésémie sont positivement et significativement associées à l'hypophosphatémie. Conclusion La prévalence est rare dans un service de médecine interne, mais reste très probablement sous- diagnostiquée. Les patients à risque de développer ce trouble électrolytique sont les patients souffrant de dénutrition avec son pendant le syndrome de renutritioninappropriée et la consommation chronique d'alcool, et les patients sous dialyse.

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L'agitation postopératoire chez les patients adultes dans les premières heures après le réveil¦est un domaine peu étudié. Nous avons effectué des recherches pour trouver des études¦concernant l'agitation postopératoire sur Pubmed pour les 10 dernières années. Les termes de¦recherche étaient agitation, emergence delirium, facteurs de risques (anglais : risk factors),¦agitation treatment, Riker scale. Ceci n'a permis de trouver que 2 études à propos de ce sujet.¦Pourtant, elle concerne environ 5% (1) (2) des patients adultes opérés, ce qui n'est pas¦négligeable.¦En effet, elle peut avoir de sérieuses conséquences en terme de lésions des patients¦(arrachement de cathéter, de tube d'intubation) ou du personnel soignant, ainsi qu'en terme de¦c»ts occasionnés par les différentes complications.¦Selon l'étude de Lepousé (1) et l'étude de Radtke (2), certains facteurs seraient déterminants¦dans la survenue de l'agitation postopératoire, dont quelques-uns sont évitables.¦Dans l'étude observationnelle prospective de Radtke (2), il a déjà été démontré que l'âge était¦en lien avec l'agitation postopératoire. Les tranches d'âge les plus à risque sont : les moins de¦40 ans (18-39 ans) (OR=2.1, CI=1.1-3.8, p=0.02) et les plus de 64 ans (OR=2.1, CI=1.1-3.4,¦p=0.02). Les études de Lepousé (1) et de Radtke (2) ont montré que la prémédication par¦benzodiazépines pourrait aussi être un facteur de risque (Lepousé (1): CI=1.1-3.3, p=0.02)¦(Radtke (2): OR=2.4, CI=1.0-5.6, p≤0.05). L'intensité de la douleur est également liée à la¦survenue d'une agitation postopératoire (OR=1.8, CI=1.0-3.0, p<0.04) (2). D'autres facteurs¦comme certains médicaments utilisés lors de l'anesthésie (l'étomidate) (2), le type de¦chirurgie [abdominale (1) (2), musculosquelettique (2), de la tête et du cou(2), de la¦poitrine(1)] seraient en lien avec la survenue d'une agitation postopératoire.¦4¦Il restait toutefois beaucoup de facteurs dont la relation avec l'agitation postopératoire n'avait¦pas été évaluée ou dont l'étude n'a pas eu de résultat significatif [par exemple, les¦benzodiazépines à long terme (1), ou l'anesthésie locorégionale(2)].¦Le but de cette étude était premièrement de déterminer si la fréquence de l'agitation¦postopératoire dans la population prise en compte ici est comparable à celle observée dans les¦études de Radtke et de Lepousé.¦Ensuite il s'agissait d'identifier, lors d'agitation postopératoire chez des patients adultes,¦parmi certains facteurs possibles, ceux pouvant être en lien avec l'agitation postopératoire, et¦s'ils étaient similaires à ceux retrouvés dans les études déjà publiées.¦Les comorbidités sont un de ces facteurs. La dose de benzodiazépines dans les 24 heures¦précédent l'intervention, ainsi que les benzodiazépines en médication chronique, par un effet¦paradoxal, pourraient être en lien avec un état d'agitation. Dans le même ordre d'idée, nous¦avons comparé le type d'anesthésie utilisé, locorégionale versus générale ou combinée, avec¦la survenue de cet état. Nous nous sommes aussi penchés sur la dose intraopératoire totale¦d'opi¯des et l'administration intraopératoire d'atropine, médicaments largement utilisés lors¦des interventions, et qui seraient des facteurs modifiables si une relation avec l'agitation était¦démontrée. Enfin, l'hypotension intraopératoire provoquant une hypoperfusion cérébrale¦relative pourrait être liée à la survenue d'une agitation postopératoire.¦Nous avons également observé d'autres variables, comme l'intensité de la douleur, déjà¦démontrée comme étant en rapport avec l'agitation postopératoire, et l'hypoxie¦intraopératoire, qui pourrait favoriser une hypoxie cérébrale, et par là une agitation.¦Enfin, nous avons cherché s'il existe un lien entre la survenue d'une agitation postopératoire¦et d'un état confusionnel postopératoire, c'est-à-dire se développant dans la semaine suivant¦l'opération, une question qui n'avait pas encore été étudiée.

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Problématique. Le vieillissement de la population continuera à transformer la démographie. Sa conséquence est une augmentation des besoins de santé chez les personnes âgées que le système sanitaire ne peut couvrir à lui seul. La contribution conséquente des aidants familiaux constitue un pilier nécessaire et essentiel du maintien à domicile. Or, les exigences du rôle d'aidant peuvent dépasser ses capacités et conduire à une hospitalisation. Ces sources de stress, auxquelles s'ajoutent les manifestations de la maladie du proche et des difficultés de collaboration avec les professionnels de santé, peuvent générer un sentiment d'impuissance chez l'aidant. Ce dernier s'ajuste à ce stress par des stratégies de coping, influencées par le degré de contrôle perçu, dont le niveau le plus bas est l'impuissance. But. Explorer la relation entre le sentiment d'impuissance et le coping chez l'aidant à l'occasion de l'hospitalisation du proche. Méthode. Cette étude corrélationnelle descriptive a été conduite auprès de 33 aidants familiaux dont le proche est hospitalisé, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Le questionnaire auto-administré comportait trois1 instruments : (a) questionnaire sociodémographique, (b) Ways of Coping Checklist-R, (c) sous-échelle d'impuissance de l'Empowerment Scale (allant de 1 à 4, quatre correspondant à un faible degré d'impuissance). Des comparaisons de moyennes et des corrélations de Pearson ont été effectués. Résultats. L'échantillon est constitué de 45,45 % d'hommes aidants, âgés en moyenne de 61 ans. Les participants viennent en aide à des proches âgés en moyenne de 79 ans. Pour la plus grande part, les aidants assistent leurs proches pour les activités instrumentales de la vie quotidienne. La moitié de l'échantillon fournit de 1 à 5 heures d'aide par semaine. Les participants se sentent relativement peu impuissants (M = 2,55). Cependant, plus l'âge des aidants augmente, plus l'impuissance augmente (r = -0,45 ; p < 0,0106). L'impuissance est plus élevée chez les hommes que chez les femmes (M = 2,40 vs M = 2,67 ; p = 0,0270). Dans cet échantillon, il n'y a pas de différence de sentiment d'impuissance selon que les aidants fournissent ou non une aide pour les activités de la vie quotidienne (AVQ), ni selon le nombre d'heures d'aide fournies par semaine. Le style de coping privilégié par les aidants est le coping centré sur le problème, puis sur la recherche de soutien social et finalement sur l'émotion. Les aidants fournissant de l'aide dans les AVQ privilégient le coping centré sur l'émotion alors qu'il n'existe pas de différence pour les deux autres styles de coping. Aucune relation entre l'impuissance et le coping n'apparaît. Conclusions. Malgré les limites de l'étude, notamment liées à la mesure de l'impuissance, les présents résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il est néanmoins préconisé d'approfondir les connaissances utiles au renforcement du rôle infirmier auprès des aidants familiaux. Cela doit contribuer à préserver la santé de l'aidant, son rôle auprès du proche et le maintien à domicile de ce dernier.

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Chez les patients cancéreux, les cellules malignes sont souvent reconnues et détruites par les cellules T cytotoxiques du patient. C'est pourquoi, depuis plusieurs années, des recherches visent à produire des vaccins sensibilisant les cellules de l'immunité adaptative, afin de prévenir certains cancers. Bien que les vaccins ciblant les cellules T CD8+ (cytotoxiques) ont une efficacité in-vitro élevée, un vaccin pouvant cibler les cellules T CD8+ et CD4+ aurait une plus grande efficacité (1-3). En effet, les cellules T helper (CD4+) favorisent la production et la maintenance des cellules T CD8+ mémoires à longue durée de vie. Il existe un grand nombre de sous-types de cellules T CD4+ et leur action envers les cellules cancéreuses est différente. Par exemple, les lymphocytes Treg ont une activité pro-tumorale importante (4) et les lymphocytes Th1 ont une activité anti-tumorale (5). Cependant, le taux naturel des différents sous-types de cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes tumoraux est variable. De plus, une certaine flexibilité des différents sous-types de cellules T CD4+ a été récemment démontrée (6). Celle-ci pourrait être ciblée par des protocoles de vaccination avec des antigènes tumoraux administrés conjointement à des adjuvants définis. Pour cela, il faut approfondir les connaissances sur le rôle des cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes dans l'immunité anti-tumorale et connaître précisément la proportion des sous-types de cellules T CD4+ activées avant et après la vaccination. L'analyse des cellules T, par la cytométrie de flux, est très souvent limité par le besoin d'un nombre très élevé de cellules pour l'analyse de l'expression protéique. Or dans l'analyse des cellules T CD4+ spécifiques aux antigènes tumoraux cette technique n'est souvent pas applicable, car ces cellules sont présentes en très faible quantité dans le sang et dans les tissus tumoraux. C'est pourquoi, une approche basée sur l'analyse de la cellule T individuelle a été mise en place afin d'étudier l'expression du profil génétique des cellules T CD8+ et CD4+. (7,8) Méthode : Ce nouveau protocole (« single cell ») a été élaboré à partir d'une modification du protocole PCR-RT, qui permet la détection spécifique de l'ADN complémentaire (ADNc) après la transcription globale de l'ARN messager (ARNm) exprimé par une cellule T individuelle. Dans ce travail, nous optimisons cette nouvelle technique d'analyse pour les cellules T CD4+, en sélectionnant les meilleures amorces. Tout d'abord, des clones à profils fonctionnels connus sont générés par cytométrie de flux à partir de cellules T CD4+ d'un donneur sain. Pour cette étape d'optimisation des amorces, la spécificité des cellules T CD4+ n'est pas prise en considération. Il est, donc, possible d'étudier et de trier ces clones par cytométrie de flux. Ensuite, grâce au protocole « single cell », nous testons par PCR les amorces des différents facteurs spécifiques de chaque sous-type des T CD4+ sur des aliquotes issus d'une cellule provenant des clones générés. Nous sélectionnons les amorces dont la sensibilité, la spécificité ainsi que les valeurs prédictives positives et négatives des tests sont les meilleures. (9) Conclusion : Durant ce travail nous avons généré de l'ADNc de cellules T individuelles et sélectionné douze paires d'amorces pour l'identification des sous-types de cellules T CD4+ par la technique d'analyse PCR « single cell ». Les facteurs spécifiques aux cellules Th2 : IL-4, IL-5, IL-13, CRTh2, GATA3 ; les facteurs spécifiques aux cellules Th1 : TNFα, IL-2 ; les facteurs spécifiques aux cellules Treg : FOXP3, IL-2RA ; les facteurs spécifiques aux cellules Th17 : RORC, CCR6 et un facteur spécifique aux cellules naïves : CCR7. Ces amorces peuvent être utilisées dans le futur en combinaison avec des cellules antigènes-spécifiques triées par marquage des multimères pMHCII. Cette méthode permettra de comprendre le rôle ainsi que l'amplitude et la diversité fonctionnelle de la réponse de la cellule T CD4+ antigène-spécifique dans les cancers et dans d'autres maladies. Cela afin d'affiner les recherches en immunothérapie oncologique. (8)

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HLA-A2+ melanoma patients develop naturally a strong CD8+ T cell response to a self-peptide derived from Melan-A. Here, we have used HLA-A2/peptide tetramers to isolate Melan-A-specific T cells from tumor-infiltrated lymph nodes of two HLA-A2+ melanoma patients and analyzed their TCR beta chain V segment and complementarity determining region 3 length and sequence. We found a broad diversity in Melan-A-specific immune T-cell receptor (TCR) repertoires in terms of both TCR beta chain variable gene segment usage and clonal composition. In addition, immune TCR repertoires selected in the patients were not overlapping. In contrast to previously characterized CD8+ T-cell responses to viral infections, this study provides evidence against usage of highly restricted TCR repertoire in the natural response to a self-differentiation tumor antigen.

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BACKGROUND: Lipid-lowering therapy is costly but effective at reducing coronary heart disease (CHD) risk. OBJECTIVE: To assess the cost-effectiveness and public health impact of Adult Treatment Panel III (ATP III) guidelines and compare with a range of risk- and age-based alternative strategies. DESIGN: The CHD Policy Model, a Markov-type cost-effectiveness model. DATA SOURCES: National surveys (1999 to 2004), vital statistics (2000), the Framingham Heart Study (1948 to 2000), other published data, and a direct survey of statin costs (2008). TARGET POPULATION: U.S. population age 35 to 85 years. Time Horizon: 2010 to 2040. PERSPECTIVE: Health care system. INTERVENTION: Lowering of low-density lipoprotein cholesterol with HMG-CoA reductase inhibitors (statins). OUTCOME MEASURE: Incremental cost-effectiveness. RESULTS OF BASE-CASE ANALYSIS: Full adherence to ATP III primary prevention guidelines would require starting (9.7 million) or intensifying (1.4 million) statin therapy for 11.1 million adults and would prevent 20,000 myocardial infarctions and 10,000 CHD deaths per year at an annual net cost of $3.6 billion ($42,000/QALY) if low-intensity statins cost $2.11 per pill. The ATP III guidelines would be preferred over alternative strategies if society is willing to pay $50,000/QALY and statins cost $1.54 to $2.21 per pill. At higher statin costs, ATP III is not cost-effective; at lower costs, more liberal statin-prescribing strategies would be preferred; and at costs less than $0.10 per pill, treating all persons with low-density lipoprotein cholesterol levels greater than 3.4 mmol/L (>130 mg/dL) would yield net cost savings. RESULTS OF SENSITIVITY ANALYSIS: Results are sensitive to the assumptions that LDL cholesterol becomes less important as a risk factor with increasing age and that little disutility results from taking a pill every day. LIMITATION: Randomized trial evidence for statin effectiveness is not available for all subgroups. CONCLUSION: The ATP III guidelines are relatively cost-effective and would have a large public health impact if implemented fully in the United States. Alternate strategies may be preferred, however, depending on the cost of statins and how much society is willing to pay for better health outcomes. FUNDING: Flight Attendants' Medical Research Institute and the Swanson Family Fund. The Framingham Heart Study and Framingham Offspring Study are conducted and supported by the National Heart, Lung, and Blood Institute.

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In liver, the glyoxylate cycle contributes to two metabolic functions, urea and glucose synthesis. One of the key enzymes in this pathway is glyoxylate reductase/hydroxypyruvate reductase (GRHPR) whose dysfunction in human causes primary hyperoxaluria type 2, a disease resulting in oxalate accumulation and formation of kidney stones. In this study, we provide evidence for a transcriptional regulation by the peroxisome proliferator-activated receptor alpha (PPARalpha) of the mouse GRHPR gene in liver. Mice fed with a PPARalpha ligand or in which PPARalpha activity is enhanced by fasting increase their GRHPR gene expression via a peroxisome proliferator response element located in the promoter region of the gene. Consistent with these observations, mice deficient in PPARalpha present higher plasma levels of oxalate in comparison with their wild type counterparts. As expected, the administration of a PPARalpha ligand (Wy-14,643) reduces the plasma oxalate levels. Surprisingly, this effect is also observed in null mice, suggesting a PPARalpha-independent action of the compound. Despite a high degree of similarity between the transcribed region of the human and mouse GRHPR gene, the human promoter has been dramatically reorganized, which has resulted in a loss of PPARalpha regulation. Overall, these data indicate a species-specific regulation by PPARalpha of GRHPR, a key gene of the glyoxylate cycle.

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INTRODUCTION: Solid tumors are known to have an abnormal vasculature that limits the distribution of chemotherapy. We have recently shown that tumor vessel modulation by low-dose photodynamic therapy (L-PDT) could improve the uptake of macromolecular chemotherapeutic agents such as liposomal doxorubicin (Liporubicin) administered subsequently. However, how this occurs is unknown. Convection, the main mechanism for drug transport between the intravascular and extravascular spaces, is mostly related to interstitial fluid pressure (IFP) and tumor blood flow (TBF). Here, we determined the changes of tumor and surrounding lung IFP and TBF before, during, and after vascular L-PDT. We also evaluated the effect of these changes on the distribution of Liporubicin administered intravenously (IV) in a lung sarcoma metastasis model. MATERIALS AND METHODS: A syngeneic methylcholanthrene-induced sarcoma cell line was implanted subpleurally in the lung of Fischer rats. Tumor/surrounding lung IFP and TBF changes induced by L-PDT were determined using the wick-in-needle technique and laser Doppler flowmetry, respectively. The spatial distribution of Liporubicin in tumor and lung tissues following IV drug administration was then assessed in L-PDT-pretreated animals and controls (no L-PDT) by epifluorescence microscopy. RESULTS: L-PDT significantly decreased tumor but not lung IFP compared to controls (no L-PDT) without affecting TBF. These conditions were associated with a significant improvement in Liporubicin distribution in tumor tissues compared to controls (P < .05). DISCUSSION: L-PDT specifically enhanced convection in blood vessels of tumor but not of normal lung tissue, which was associated with a significant improvement of Liporubicin distribution in tumors compared to controls.

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Introduction/objectives: Multipatient use of a single-patient CBSD occurred inan outpatient clinic during 4 to 16 months before itsnotification. We looked for transmission of blood-bornepathogens among exposed patients.Methods: Exposed patients underwent serology testing for HBV,HCV and HIV. Patients with isolated anti-HBc receivedone dose of hepatitis B vaccine to look for a memoryimmune response. Possible transmissions were investigatedby mapping visits and sequencing of the viral genomeif needed.Results: Of 280 exposed patients, 9 had died without suspicionof blood-borne infection, 3 could not be tested, and 5declined investigations. Among the 263 (93%) testedpatients, 218 (83%) had negative results. We confirmeda known history of HCV infection in 6 patients (1 coinfectedby HIV), and also identified resolved HBVinfection in 37 patients, of whom 18 were alreadyknown. 2 patients were found to have a previouslyunknown HCV infection. According to the time elapsedfrom the closest previous visit of a HCV-infected potentialsource patient, we could rule out nosocomial transmissionin one case (14 weeks) but not in the other (1day). In the latter, however, transmission was deemedvery unlikely by 2 reference centers based on thesequences of the E1 and HVR1 regions of the virus.Conclusion: We did not identify any transmission of blood-bornepathogens in 263 patients exposed to a single-patientCBSD, despite the presence of potential source cases.Change of needle and disinfection of the device betweenpatients may have contributed to this outcome.Although we cannot exclude transmission of HBV, previousacquisition in endemic countries is a more likelyexplanation in this multi-national population.

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Purpose: Sirolimus (SRL) has been used to replace calcineurin inhibitors (CNI) for various indications including CNI-induced toxicity. The aim of this study was to evaluate the efficacy and safety of switching from CNI to SRL in stable renal transplant recipients (RTR) with low grade proteinuria (<1 g/24 h). Methods and materials: Between 2001 and 2007, 41 patients (20 females, 21 males; mean age 47 ± 13) were switched after a median time post-transplantation of 73.5 months (range 0.2-273.2 months). Indications for switch were CNI nephrotoxicity (39%), thrombotic micro-angiopathy (14.6%), post-transplantation cancer (24.4%), CNI neurotoxicity (7.4%), or others (14.6%). Mean follow-up after SRL switch was 23.8±16.3 months. Mean SRL dosage and through levels were 2.4 ± 1.1 mg/day and 8 ± 2.2 ug/l respectively. Immunosuppressive regiments were SRL + mycophenolate mofetil (MMF) (31.7%), SRL + MMF + prednisone (36.58%), SRL + prednisone (19.51%), SRL + Azathioprine (9.75%), or SRL alone (2.43%). Results: Mean creatinine decreased from 164 to 143 μmol/l (p <0.03), mean estimated glomerular filtration rate (eGFR) increased significantly from 50.13 to 55.01 ml/minute (p <0.00001), mean systolic and diastolic blood pressure decreased from 138 to 132 mm Hg (p <0.03) and from 83 to78 mm Hg (p <0.01), but mean proteinuria increased from 0.21 to 0.63 g/24 h (p <0.001). While mean total cholesterolemia didn't increased significantly from 5.09 to 5.56 mmol/l (p = 0.06). The main complications after SRL switch were dermatitis (19.5%), urinary tract infections (24.4%), ankle edema (13.3%), and transient oral ulcers (20%). Acute rejection after the switch occurred in 7.3% of patients (n = 3), and 2 acute rejections were successfully treated with corticosteroids and 1 did not respond to treatment (not related to switch). SRL had to be discontinued in 17% of patients (2 nephrotic syndromes, 2 severe edema, 1 acute rejection, 1 thrombotic micro-angiopathy, and 1 fever). Conclusion: In conclusion, we found that switching from CNI to SRL in stable RTR was safe and associated with a significant improvement of renal function and blood pressure. Known side-effects of SRL led to drug discontinuation in less than 20% of patients and the acute rejection rate was 7.3%. This experience underlines the importance of patient selection before switching to SRL, in particular regarding preswitch proteinuria.

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Furosemide (FD: Lasix) is a loop diuretic which strongly increases both urine flow and electrolyte urinary excretion. Healthy volunteers were administered 40 mg orally (dissolved in water) and concentrations of FD were determined in serum and urine for up to 6 h for eight subjects, who absorbed water at a rate of 400 ml/h. Quantification was performed by HPLC with fluorescence detection (excitation at 233 nm, emission at 389 nm) with a limit of detection of 5 ng/ml for a 300-microliters sample. The elution of FD was completed within 4 min using a gradient of acetonitrile concentration rising from 30 to 50% in 0.08 M phosphoric acid. The delay to the peak serum concentration ranged from 60 to 120 min. FD was still easily measurable in the sera from all subjects 6 h after administration. In urine, the excretion rates reached their maximum between 1 and 3 h. The total amount of FD excreted in the urine averaged 11.2 mg (range 7.6-14.0 mg), with a mean urine volume of 3024 ml (range 2620-3596 ml). Moreover, the urine density was lower than 1.010 (recommended as an upper limit in doping analysis to screen diuretics) only for 2 h. An additional volunteer was administered 40 mg of FD and his urine was collected over a longer period. FD was still detectable 48 h after intake. Gas chromatography-mass spectrometry with different types of ionization was used to confirm the occurrence of FD after permethylation of the extract. Negative-ion chemical ionization, with ammonia as reactant gas, was found to be the most sensitive method of detection.

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A 3D in vitro model of rat organotypic brain cell cultures in aggregates was used to investigate neurotoxicity mechanisms in glutaric aciduria type I (GA-I). 1 mM glutarate (GA) or 3-hydroxyglutarate (3OHGA) were repeatedly added to the culture media at two different time points. In cultures treated with 3OHGA, we observed an increase in lactate in the medium, pointing to a possible inhibition of Krebs cycle and respiratory chain. We further observed that 3OHGA and to a lesser extend GA induced an increase in ammonia production with concomitant decrease of glutamine concentrations, which may suggest an inhibition of the astrocytic enzyme glutamine synthetase. These previously unreported findings may uncover a pathogenic mechanism in this disease which has deleterious effects on early stages of brain development. By immunohistochemistry we showed that 3OHGA increased non-apoptotic cell death. On the cellular level, 3OHGA and to a lesser extend GA led to cell swelling and loss of astrocytic fibers whereas a loss of oligodendrocytes was only observed for 3OHGA. We conclude that 3OHGAwas the most toxic metabolite in our model for GA-I. 3OHGA induced deleterious effects on glial cells, an increase of ammonia production, and resulted in accentuated cell death of non-apoptotic origin.